L’association « Vondron’olona Miaro ny Fitondrana » (V.M.F.) a apporté son point de vue sur ce qui ne marche pas dans le pays. Comme son nom l’indique, il a défendu le pouvoir. Il s’agit, entre autres, des syndicats, notamment, au sein de la Jirama, du MAE, des douanes, de la CNaPS et des administrateurs civils. Le VMF estime ainsi que l’on pourrait bien défendre les intérêts des salariés mais cela ne signifie pas qu’on va faire des affaires nationales et du peuple des otages. Concernant la Jirama, cette ONG de citer l’explosion qui a eu lieu à Andekaleka, l’Etat a apporté sa contribution en apportant différents matériels. Et de se demander : qu’ont fait les dirigeants de cette société et les syndicats pour en arriver là ? Il y avait eu des arriérés, le pouvoir a octroyé des subventions et le VMF de fustiger les dirigeants de la Jirama ainsi que les syndicats de cette société. À propos du prix des carburants, cette ONG dénonce l’opposition qui a avancé 9 000 ariary comme prix du litre du gasoil, les pétroliers ont suggéré plus de 6 000 ariary le litre. Or, de son côté, le pouvoir a pu négocier le prix du gasoil à 4 900 ariary.
Recueillis par Dominique R.
