
La Compagnie générale d’hydroélectricité de Volobe (CGHV) collabore avec les acteurs de la communication. La semaine dernière, un atelier de renforcement de compétence a été organisé dans le but d’améliorer la connaissance des médias et des animateurs sur l’hydroélectricité. Selon les organisateurs, cette rencontre de travail permet à une trentaine de participants de mieux comprendre le monde de l’hydroélectricité, de mieux traiter les informations sur ce sujet, de manière professionnelle et objective, d’informer le public avec des données fiables, de mieux éduquer la population et d’engager cette population à devenir des citoyens responsables. Selon Aniella Vololoniaina, directeur régional de la Communication et de la Culture Atsinanana, le renforcement de capacité et de compétence des acteurs de la communication fait partie du planning des activités de sa direction. Le partenariat avec CGHV a donc permis à cette entité de réaliser ce projet visant à aider les journalistes et les animateurs radio à mieux connaître le domaine pour mieux communiquer par la suite. Pour sa part, Enick Razafindrakoto, communication manager de CGHV a souligné l’importance du partage d’expertises, dans le cadre de ce projet inclusif. « Le domaine de l’hydroélectricité concerne tout le monde. Cette collaboration indique que la présence de CGHV est un plus, qui va au-delà des valeurs ajoutées socio économiques », a-t-elle affirmé.
Effets d’entraînement. Le projet Volobe accorde une importance particulière à Toamasina , et à Madagascar dans son ensemble. L’amélioration de l’énergie, basée sur la fiabilité, la compétitivité et la durabilité figure d’ailleurs parmi les priorités de l’Etat. Le Projet Volobe Amont répond à ces critères, selon Rémy Huber, DG de CGHV. « Franchir l’étape cruciale à temps, qui est la signature des contrats, est une priorité pour la mise en place des infrastructures principales et également pour les projets annexes comme la réfection de routes, la construction d’un pont au-dessus de l’Ivondro… », a-t-il soutenu.
Antsa R.