La confirmation par la Cour électorale spéciale de l’élection du Président Hery Rajaonarimampianina est une belle et heureuse nouvelle pour Madagascar !
C’est une bonne nouvelle pour le Peuple malagasy qui va pouvoir participer à l’immense chantierdu développement, puis cueillir les fruits du progrès. C’est une excellente nouvelle pour l’image de notre Pays. C’est enfin un bon signe pour la communauté internationale qui dispose désormais d’un interlocuteur régulièrement élu.
Alors aujourd’hui, chacun doit mettre ses compétences, son enthousiasme et son savoir-faire au service du développement de Madagascar !
Au plan international, un souffle nouveau, animé par des personnes honnêtes, compétentes et crédibles, doit donner à notre Pays une nouvelle identité diplomatique et médiatique.
Il faut réenchanter notre diplomatie économique avec des méthodes nouvelles, un message nouveau et des personnes compétentes, honnêtes et familières des lieux de pouvoir.
Nous devons aussi rappeler l’importance de la coopération internationale. Par exemple, notre combat pour réintégrer la famille de la Francophonie, notamment sous son aspect économique, est prioritaire.
Alors, pour relever ce défi du développement économique et de l’amélioration de notre image à l’extérieur, nous devons élaborer une nouvelle diplomatie.
Une diplomatie ouverte au monde et totalement axée vers le progrès économique et social de notre Peuple. Dans cette dynamique, nous devons améliorer notre environnement des affaires. Il nous faut offrir les meilleures conditions d’accueil et de sécurité des investissements nationaux et étrangers.
Cette nouvelle diplomatie économique que j’appelle de mes vœux aura également à cœur de promouvoir le rayonnement international de notre culture particulièrement important pour notre image.
Notre priorité sera également de mobiliser tous les Malagasy « de l’extérieur » de bonne volonté qui disposent de réseaux d’amitié et professionnels puissants à l’étranger.
L’heure du rassemblement des femmes et des hommes honnêtes, compétents et de bonne volonté a donc sonné !«Tao trano tsy efan’irery» («une maison ne se construit pas seul»).