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lundi, juillet 1, 2024
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Rencontre IDC – Afrique : Le MMM, prêt à lutter pour la démocratie

Hajo Andrianainarivelo, président national du parti MMM, à la réunion de l’IDC, au palais du Luxembourg, Paris.

Bien que les résultats officiels du scrutin législatif du 29 mai ne soient pas encore proclamés, le parti MMM a déjà repris ses activités. 

Le président national du parti Malagasy Miara Miainga, Hajo Andrianainarivelo, a participé activement à la seconde édition de la conférence « Démocratie en Afrique » de l’IDC-CDI ou International Démocrate Centriste, qui s’est tenue le 14 juin au palais du Luxembourg, à Paris. Elle a, en effet, réuni un nombre important de Chefs d’Etat et de Gouvernement, de partis politiques africains et de partis politiques issus des autres continents. Tous les participants s’accordent sur le même objectif, celui d’unir les forces et les actions pour défendre la démocratie, les droits de l’homme, les libertés fondamentales, la paix et le développement en Afrique. Signataire de la « déclaration de Paris », le vice-président de l’IDC, Hajo Andrianainarivelo a ainsi réaffirmé l’engagement du MMM pour la lutte pour la démocratie. Le président national du MMM a été accompagné par Désiré Todizara, leader de la diaspora MMM.  

Fraudes électorales

« L’Afrique vit toujours dans un contexte politique mouvementé, caractérisé par des dynamiques violentes, des défis de gouvernance et des défis démocratique », peut-on lire dans « la déclaration de Paris » dont le MMM est signataire. Acteur principal des mouvements qui ont secoué le pays durant ces derniers mois, Hajo Andrianainarivelo a pu partager ses points de vue concernant la conjoncture particulière que la Grande île a connue. « Le terrorisme, l’absence de liberté d’expression, la corruption, l’autoritarisme, les fraudes électorales, l’inefficacité des gouvernements, ainsi que la faiblesse des situations républicaines, sont des situations qui déstabilisent les pays africains », ont constaté les participants avant d’ajouter que « ces situations favorisent un nouveau type de colonialisme mené par des acteurs étrangers, peu démocratiques, intervenant dans différents niveaux de la sphère politique des pays africains, avec des intérêts économiques et géostratégiques allant à l’encontre des intérêts locaux ». 

Face à ce sombre tableau,  les partis membres et participants de l’IDC Afrique ont pris la décision de faire un pas en avant et de renforcer le groupe de travail. L’objectif étant d’observer les réalités politiques, d’accompagner les partis membres, de défendre les acquis démocratiques et de dénoncer en toute indépendance et liberté, les actions arbitraires et les irrégularités multiples et diverses, commises par certains gouvernements. 

Julien R.

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