Une partie des établissements scolaires privés a déjà débuté la nouvelle année scolaire 2024-2025, hier, 2 septembre, soit une semaine avant la rentrée officielle dans l’éducation nationale malgache, prévue pour le 9 septembre 2024.
La nouvelle année scolaire 2024-2025 a commencé m hier pour une partie des écoles et collèges privés de la capitale. Pour les établissements scolaires français à Madagascar, la rentrée a lieu ce jour, 3 septembre 2024, après la rentrée des enseignants, hier. Ainsi, ce jour marque la fin des vacances et le début d’une nouvelle année, synonyme de nouveaux défis. Les élèves auront sept semaines de cours avant les prochaines vacances, celles de la Toussaint prévues à partir du 18 octobre 2024 à la sortie des classes, jusqu’au 3 novembre. Deux semaines de pause avant d’entamer sept autres semaines jusqu’aux vacances de Noël à partir du 20 décembre 2024.
Dans l’éducation nationale malgache, la rentrée scolaire 2024-2025 est fixée au 9 septembre 2024, après la rentrée des enseignants, hier, et la rentrée administrative une semaine auparavant. Les enseignants et personnels non enseignants bénéficient de plusieurs jours de formations avant de débuter l’année scolaire. Pour Antananarivo, en particulier, le responsable de la circonscription scolaire indique que le budget de fonctionnement sera disponible avant la rentrée scolaire. On notera la confirmation de la gratuité des inscriptions dans les écoles publiques – où les parents ne s’acquittent que des cotisations en vue d’honorer les salaires des enseignants non subventionnés par l’Etat – et la gratuité totale pour les élèves issus des familles les plus vulnérables. Une hausse des demandes d’inscription dans les écoles publiques a été notée cette année, confirmant la tendance de ces dernières années au cours desquelles les établissements scolaires publics sont de plus en plus sollicités par les parents d’élèves qui avaient auparavant scolarisé leurs enfants dans le privé. Face aux réalités économiques locales, nombreux parents d’élèves ne sont plus en mesure de supporter les charges liées à la scolarisation des enfants dans le privé.
Hanitra R.