L’affaire a focalisé les projecteurs des actualités tellement elle revêt à elle seule plusieurs délits dont un trafic d’influence, usage d’arme, usurpation de fonction et d’autres encore. Rina Rasoava, le rédacteur en chef du journal AoRaha, qui a été victime des actes sus-cités aura à soutenir et défendre sa cause devant la barre du tribunal correctionnel. La partie adverse, qui se dit un proche des gens du palais d’Etat, est le gérant d’une puissante société de transport. Un élan de solidarité s’est formé sur cette affaire et des internautes s’invitent sur les réseaux sociaux pour soutenir le journaliste. Un procès, somme toute, très suivi par l’opinion publique…
D.R