Un chef de zone administrative pédagogique (ZAP) a été tué par balle, mardi soir, dans le district de Sakaraha. Il s’agit du deuxième assassinat visant un cadre éducatif dans cette région.
Un nouvel acte de violence a coûté la vie à un responsable éducatif dans le district de Sakaraha. L’homicide a été perpétré par arme à feu alors que la victime exerçait ses fonctions dans ce secteur, dans la soirée du mardi. Les forces de l’ordre sont alors mobilisées. Une enquête approfondie a été ouverte pour déterminer les circonstances exactes de cet homicide, identifier ses auteurs présumés et établir leurs motivations. Quant à la dépouille de la victime, elle a été transférée vers le centre hospitalier d’Ankazoabo dans la nuit suivant l’incident.
Ce drame survient quelques mois seulement après un autre assassinat particulièrement brutal qui avait visé un autre chef de la ZAP de Sakaraha. Dans cette affaire, survenue au mois de juin, la victime avait été retrouvée sans vie à son domicile, laquelle présentait des mutilations importantes. Le logement avait été retrouvé verrouillé de l’extérieur, et la découverte du corps n’était intervenue que plusieurs jours après les faits.
La répétition de ces violences ciblées contre des représentants de l’administration scolaire plonge la communauté éducative dans la stupeur et la consternation. Les habitants expriment une vive inquiétude et appellent les autorités à intervenir avec célérité et détermination.
m.L
Sincères condoléances aux familles.
Que disent les gens de la politique de la région face à d’actes criminels qui amputent la vie sociale et de l’ enseignement d’éléments majeurs à son progrès ?
Tuer par méchanceté et par vengeance, est contraire à la démocratie