
2018 débute en fanfare pour Samoela. Le chanteur débutera la saison par une tournée européenne et enchaînera par des concerts aux USA et au Canada et passera par Bruxelles.
Toujours sur la route menant vers le succès ! Pour Monsieur « Bandy Akama », 2017 a été une totale réussite. De nombreux cabarets toujours à carton plein, des grands concerts où l’ambiance a toujours été au rendez-vous, des albums à succès… Samoela ne pouvait pas espérer mieux. Cette année, le chanteur a décidé de se surpasser et de continuer dans la même voie. Pourquoi en effet changer une formule qui gagne ? Le programme, pour l’interprète de « Zana-bahoaka », s’annonce déjà chargé. Du moins, pour le premier trimestre. Il partira prochainement pour l’Hexagone et effectuera une tournée européenne de deux mois et donnera également quelques concerts aux USA, Canada et à Bruxelles. Du 24 février au 27 avril, il parcourra la France. Ses fans malgaches à Paris, Lyon, Marseille, Toulouse, Bordeaux, Strasbourg, Lille, Nantes, Nice, Montpellier, La Roche, Annemasse, Clermont Ferrand … peuvent réviser dès maintenant les paroles de ses chansons. Il ne s’envolera pour le Canada et les Etats-Unis qu’au mois d’avril. La tournée prendra fin le 27 avril à Bruxelles.
Au-delà de nos frontières. Après 20 ans dans le milieu, le chanteur, contrairement à bon nombre de ses pairs, gagne en notoriété. A ses débuts, on disait déjà de lui qu’il était unique. Un audacieux qui a l’avenir devant lui. Et les gens avaient eu raison de croire en lui. Vingt ans après ses débuts, Monsieur « Bandy Akama » est effectivement toujours là. Il n’a cessé de composer, de produire des albums, de tourner, de donner des concerts même si parfois, le public faisait défaut. Mieux, il a ajouté une corde à son arc. L’interprète de « Zana-bahoaka » est passé de simple chanteur à entrepreneur à la tête de sa propre société : « Be Mozik ». Vingt ans après « Havako mamomamo », Samoela est toujours en selle. Il est même plus présent que jamais. Pas seulement en cabaret, mais sur les grandes scènes nationales et même internationales. Et il ne compte pas s’arrêter de si tôt !
Mahetsaka



