
La situation politique du pays attire les projecteurs et les élections prochaines seront dans la ligne de mire des observateurs. Le député français issu de la majorité présidentielle, Philippe Fait, a interpellé la ministre française de l’Europe et des Affaires étrangères, Catherine Colonna, sur la conjoncture politique à Madagascar. « Le développement politique malgache suscite des inquiétudes quant à l’impact potentiel sur la stabilité de l’île » a-t-il partagé à ce membre du gouvernement Macron dans une question écrite, émise le 29 août dernier, à l’Assemblée nationale française. Il estime, à cet effet, que « la période électorale en cours à Madagascar, avec les élections présidentielles prévues en novembre et décembre 2023, requiert une vigilance particulière de la part de la communauté internationale, y compris la France ». Philippe Fait a reçu, particulièrement, « les inquiétudes formulées par les acteurs économiques et industriels du secteur de la vanille ». Selon toujours ce député français, « l’industrie de la vanille, qui constitue une part importante de l’économie locale, pourrait être vulnérable aux perturbations politiques dans le pays ». Il souhaite, ainsi, « connaître les leviers mis en place pour accompagner de manière durable et sereine les acteurs économiques et industriels de ce secteur dans un contexte électoral instable ».
Recueillis par Rija R.
Ce député devrait fermer sa gueule !.
À Madagascar la France et les Français (vahaza moi aussi) ont des représentants élus et plus à même de s’exprimer.. EUX !.
Qu’il s’occupe de sa circonscription en France, la bas le bordel est déjà en place grace a des branques de son genre qui avec Micron 1er et les politiciens.nes ..de tous bords ont enfoncé un peu plus la France, moquée dans le monde !.
Alors du gland !, merci de vous écraser concernant Madagascac nous n’avons pas besoin de votre intervention car,si cela se passe mal ici ?.
Vous serez PLANQUÉ dans votre circonscription !
Nous dans la merde par votre connerie !.
Velomo
La meilleure façon de rendre service aux Malgaches c’est que la France enlève la naturalisation par une procédure de déchéance pour acte de traitrise contraire aux intérêts de La France de cet imposteur et dictateur qui manipule les élections pour perdurer au pouvoir et … voler avec la mafia qui le ligote !
Si besoin était , le zigue est en train de découvrir le constat des lacunes et de la stérilité des écoles d’antan et que les apprenants locaux contemporains n’ont pas su redresser jusque-là. Pour n’en citer que : diviser pour régner , infantilisation, l’état providence, aboulie, culpabilisation d’autrui, après moi le déluge… etc. Des tares qui ne peuvent que brider tout élan de progrès.
Si vous y ajoutez les dettes en souffrance pour cause d’Indépendance non achevée au regard du droit international ; une telle intention ne peut qu’ exprimer une lecture artificielle et maussade des lieux .
Un quelconque changement ne peut se faire que de l’intérieur du pays. Etre Endogène.
Il est temps de grandir avec Dignité.
L’autre imbécile qui n’a pas encore compris que son Rainilainga est un » vazaha taratasy » ce qui exige des droits et des devoirs envers Reny Malala . Le reste de ces blablas de taré et on les laisse à ces amis de la forêt comme Lambo Sauvage ! J’aime ..
Un peu de retenue.
Ce député ne s’est adressé à notre ministre des affaires étrangères, mais à son ministre. Il fait son boulot, c’ est tout. Peut-être que dans sa circonscription il y a des élécteurs concernés par la filière vanille.
En plus vu que nous ayons 60 ans d » histoire en commun, je considère que c’est son droit et j’ ajoute son devoir de s’ inquiéter pour ce qui se passe à Madagascar, et le devoir d’ingérence, ça existe et devra exister dans certaine circonstance. Vous croyez qu’ un député anglais n’ interpellerait pas son ministre au cas quelque chose de grave se passe aux USA
Ntsss . . . . il parle pour l’intérêt français dans le pays et non pour la situation de notre pays, et mes amis si heureux qu’on pense un peu à leur pays, .comme dans le cas de ce Sénateur français qui a osé interpeler ses dirigeants d’arrêter de vendre chez nous les téléphériques qui n’ ont plus preneur chez eux, allant jusqu’à en financer le coût à rembourser pour pouvoir récupérer ce que les entreprises de téléphérique ne retrouveront jamais plus chez eux, alors que le pays malgache est en ruine . . . (« Etat failli » avait dit un autre)