Suite à l’écroulement de rocher qui a fait des victimes à Ampamarinana, une communication verbale du ministère auprès de la présidence chargé des Projets présidentiels, de l’Aménagement du Territoire et de l’Équipement en date du 21 février 2018 entend réaffirmer l’interdiction de construire dans les zones exposées en permanence aux dangers d’éboulement. Interdiction qui «sera confirmée par arrêté ministériel» et qui «sera étendue à toute nouvelle acquisition de terrain de l’État et à tout morcellement d’initiative privée d’un terrain inférieur à 1 000m2» selon toujours la communication. Mesures auxquelles s’ajoute la «délimitation des zones inhabitables et inconstructibles» y lit-on.
José Belalahy