Organisé par Juniors pour Madagascar, une association regroupant des jeunes qui n’ont qu’un seul but, contribuer au développement de Madagascar par des Concepts innovants où l’entreprenariat est vivement encouragé. L’édition de cette année se déroulera du 25 au 27 novembre prochain. Le but ? Aider des jeunes qui ont un intérêt particulier pour la Grand-Île à développer et à concevoir des projets – des entreprises – innovants qui seront en étroite relation avec Madagascar. Et ce pendant seulement 54 heures.
Echanges. Le Start-up week-end Paris sera l’opportunité pour les jeunes de différents secteurs de présenter leurs idées, de recevoir des critiques ainsi que des conseils de leurs paires. Un espace où conseils, mentoring et partage d’expérience seront au rendez-vous. Les meilleurs projets quant à eux seront présentés aux chefs d’entreprises qui les challengeront. Une initiative qui tombe à point nommé à l’heure actuelle où la création d’entreprise constitue un pilier du développement aussi bien économique, sociale qu’humain pour Madagascar. Car, chaque entreprise qui s’y installera après cet évènement va à son tour participer de façon active à ce développement.
Diaspora. La Start-up Week-end deuxième édition se veut également être un outil mis à la disposition de l’importante diaspora malgache à Paris pour créer des entreprises à Madagascar. Des initiatives louables lorsque l’on pense à la situation actuelle du pays où le taux de chômage est assez élevé. La création d’entreprise en elle-même va permettre de créer de l’emploi qui à son tour va influencer, de façon générale, le niveau de vie de chaque citoyen. Ainsi, l’on pourrait s’attendre au développement de production, à la création de plus-value ainsi que l’augmentation du PIB – si l’on extrapole – après l’implantation de ces entreprises. Le développement humain ne peut se défaire à celui de l’économie et ces jeunes de la diaspora Malgache l’ont compris. Espérons que leur lutte sera positive à commencer par la Start-up Week-end Paris Madagascar Edition 2016.
José Belalahy