Présente à Madagascar depuis 1989, l’association SOS Village d’Enfants Madagascar procure le bien-être et un avenir meilleur pour les démunis, orphelins et autres.
Des jeunes pensionnaires de SOS Villages d’Enfants Madagascar, devenus des techniciens de Startimes Madagascar. Ce sera une réalité d’ici peu grâce à ce partenariat qui vient d’être signé hier entre les deux entités.
Socialement responsable
Signée respectivement par Julien Jin, DG de Startimes et Maria Raharinarivonirina PCA de SOS Villages d’Enfants Madagascar, la convention de partenariat en question consiste pour le groupe de télévision numérique à former et coacher les jeunes de l’association afin qu’ils puissent exercer un métier dans le secteur. Il s’agit en somme de donner à ces jeunes, issus des couches les plus démunies, une chance d’occuper un emploi décent. « A travers de partenariat, nous participons à la politique malgache d’employabilité », a déclaré le D.G de Startimes qui confirme ainsi son statut d’entreprise socialement responsable. Il s’agit en fait d’une politique générale du groupe Startimes International qui a signé, en mai 2018 à Nairobi, avec SOS Children’s Villages International, une convention de partenariat pour soutenir les enfants vulnérables et leur famille.
Vision
Actuellement, c’est dans plus de 10 pays africains, dont Madagascar que Startimes soutient les programmes de SOS Villages d’Enfants en offrant notamment des opportunités d’apprentissage aux jeunes de l’association. Le partenariat se fait à travers YouthCan pilotée par SOS Children’s Villages depuis 2017 et qui rassemble des entreprises visant l’insertion professionnelle des jeunes. Startimes rejoint ainsi d’autres entreprises comme Allianz, BNI, Axian, kentia Formation. Premier opérateur de télévision numérique en Afrique, avec plus de 10 millions d’abonnés et un signal couvrant tout le continent, Startimes possède sa propre plateforme de contenus variés. La vision de l’entreprise est de permettre à chaque famille africaine d’être capable de s’abonner à la télévision numérique.
R.Edmond.