
Si le service de la météorologie avance que la vague de chaleur de ces derniers jours relève d’un anticyclone, il se peut que cela soit également l’effet de la dégradation de l’environnement. Sur sa page Facebook, le ministère de l’Environnement et du Développement durable annonce que chaque année, 0,55 % de la faune et de la flore sont détruites et que 90 000 hectares de forêts disparaissent. Les conséquences de ces fléaux seraient multiples : l’augmentation de la température, l’insuffisance des précipitations, l’assèchement des rivières ou encore la dégradation des sols. Aussi, le ministère invite tout un chacun à préserver la nature et l’environnement dans la mesure du possible.
Anja RANDRIAMAHEFA