Les conditions de travail se dégradent davantage dans les pays africains. Avec la croissance de la demande d’emploi, le partage de revenu est loin d’être équitable entre employeurs et employés. Cependant, un groupe restreint d’employeurs contribuent à améliorer les conditions de travail des employés, dans le monde entier. DHL Express Afrique Subsaharienne en fait partie, et a reçu la certification Top Employer pour l’excellence des conditions de travail proposées à son personnel en Afrique. Cette certification Top Employers s’ajoute à celle obtenue dans six pays africains (Afrique du Sud, Nigeria, Kenya, Ouganda, Éthiopie et Ghana) pour leurs marchés locaux respectifs. Une étude indépendante menée par Top Employers Institute a montré que DHL Express fournit à son personnel des conditions de travail exceptionnelles. Elle est l’une des rares entreprises à obtenir la certification exclusive Top Employers Africa 2015 dans les différentes régions d’Afrique dans lesquelles elle opère.
Motivation. D’après Charles Brewer, directeur général de DHL Express Afrique subsaharienne, cette certification reconnaît les efforts déployés par l’entreprise en faveur de l’engagement, du développement et de la formation de ses employés sur le continent africain. Il indique que cette reconnaissance témoigne de la volonté de DHL Express de veiller à la motivation de ses employés, qui constitue un élément essentiel de la stratégie de l’entreprise. « Conscients de la nécessité d’instaurer une culture d’entreprise commune aux 220 pays dans lesquels nous opérons, nous avons créé le programme de formation Certified International Specialists (spécialistes internationaux certifiés), auquel l’ensemble de nos 3 500 employés présents sur le sol africain a participé. Du PDG au coursier, chaque employé de chaque pays a suivi ce programme de formation, dont l’objectif est de consolider nos compétences clés en tant qu’organisation. Cette formation a joué un rôle décisif dans notre capacité à fidéliser nos effectifs et à en assurer le développement à l’échelle internationale. »
Antsa R.