Au total, 203 étudiants ont terminé avec succès la formation dispensée par la Fédération des Hôteliers et de Restaurateurs de Madagascar (FHORM), en étroite collaboration avec l’Institut National du Tourisme et de l’Hôtellerie (INTH). Grâce au Projet d’Intérêt National Prioritaire (PINP), ils ont pu renforcer leurs compétences gratuitement pendant trois mois en hôtellerie de luxe. La remise de leur certificat s’est déroulée vendredi à l’hôtel Le Centell à Antanimena, marquant ainsi la clôture de ce programme ambitieux et porteur d’avenir. L’objectif de cette formation est de répondre au besoin croissant en main-d’œuvre qualifiée dans les domaines du tourisme, de l’hôtellerie et de la restauration, secteurs en pleine expansion. Les étudiants ont été formés aux standards de la relation client pour les très petites et moyennes entreprises, ainsi qu’au développement durable pour les hôteliers. Ces thématiques sont essentielles pour répondre aux attentes d’un secteur du tourisme et de l’hôtellerie en pleine transformation et pour rehausser les standards de notre pays sur la scène internationale. « Aujourd’hui, nous sommes fiers de célébrer vos efforts et réalisations. Votre engagement et votre volonté d’apprendre témoignent de votre détermination à devenir les futurs piliers de l’hôtellerie malgache. Vous avez su tirer profit de ces formations pour vous préparer à relever les défis d’un secteur en constante évolution. Ce n’est pas une fin, ce n’est qu’un début », a déclaré Johann Pless, PCA de la FHORM. Le projet PINP, déployé dans les régions d’Antananarivo, Nosy Be et Toliara pour le secteur tourisme, hébergement et restauration, a permis de former des talents dans trois domaines clés. Les formations ont été organisées avec l’appui du Fonds Malgache de Formation Professionnelle (FMFP). « Nous espérons que vous continuerez à exceller et à inspirer d’autres générations à suivre vos pas. Ensemble, nous avons franchi une étape importante pour élever le niveau du secteur et ouvrir de nouvelles perspectives pour l’avenir », a-t-il conclu.
Narindra Rakotobe