Il a été approuvé en conseil des Ministres mercredi dernier le budget de plus de 6,4 milliards Ar pour la construction des deux tronçons de route dans la Capitale et à Ambositra. Le premier tronçon de route concerne les travaux de réfection entre Ankadimbahoaka passant par la gare routière fasan’ny Karana jusqu’à la station d’essence Jovena à Anosizato, sur la route nationale No 58. Un budget de près de 2 milliards Ar sur cette enveloppe de 6,4 milliards Ar sera ainsi utilisé. En revanche, le reste servira à financer les travaux de construction d’un tronçon de route au départ de Serrure jusqu’à Mandaniresaka. C’est dénommé « Route d’Ambositra ». En outre, l’utilisation de crédit pour l’entretien des routes dans la ville de Mananara Nord, en face de la subdivision des Travaux Publics jusqu’au rond point d’Androkaroka, est également approuvée en Conseil des Ministres. Il en est de même pour la réhabilitation et la construction des avenues à Maroantsetra. Les travaux vont démarrer immédiatement après ces approbations en Conseil. Par ailleurs, des crédits des deux ministères en charge des Transports et des Travaux Publics, ont été réaménagés sur décision prise en Conseil des Ministres. L’objectif consiste à allouer un fonds servant à relancer le fonctionnement de la station de pesage des véhicules sur les routes nationales.
Navalona R.
Puisque parler d’AUDIT est très à la mode ( et pas seulement qu’en manip. politicienne), il faudrait d’urgence MAINTENANT et sans attendre encore plus l’accalmie politicarde,
procéder SYSTÉMATIQUEMENT et périodiquement à AUDITER toutes celles qui prétendent être PROFESSIONNELLES dans les TRAVAUX PUBLICS , routes etc.
Certaines, et elles le sont en majorité, ont obtenues leurs marchés de travaux par pure complaisance (politique , amicale, régionale….) sans réels soumissions techniques, comme dans le temps des vraies exécutions dans les normes internationales.
En conséquence, leurs « travaux » qui ne durent que l’espace d’à peine quelques mois , puis vite FOUTUS dès les premières pluies par exemple.
On en connait plein à Tana et ses Arrondissements ( 2eme etc).
Et on recommence à REPAYER les mêmes travaux, avec la ( les) même (s) entreprises (!) sans un compte rendu des mal façons ( déjà bâclé ou même inexistant en cours de ces travaux).
Et ça devient une affaire politique (EXPRÈS) pour dire que rien n’est fait sur ces plans là entre autres.
Pourvu que le bailleurs, surtout internationaux et sans les CORRUPTIONS d’usage réagissent et arrêtent les frais, et donnent l’exemple à des bailleurs locaux de bonne fois, Communes etc pour ÉCARTER LES INCOMPÉTENTS, juste érigés pour s’enrichir très vite par des prétendus « savoir faire »(!) maléfiques pour la Capitale, les villes, les régions.