Tsaralalàna : Simulacre de cambriolage ?

Il n’y avait aucune manifestation des personnes cambriolées durant ou après l’acte. Pas de cris ni d’appel au secours. Ces situations laissent les gens de la police dubitatifs au point ou certains pensent actuellement qu’il s’agirait d’un simulacre. Aussi certains observateurs trouvent-ils de ce fait-divers une pièce montée de toutes pièces. Le but serait de se faire rembourser par l’assurance. On sait que le cambriolage est couvert par une assurance de type tout risque. « Je trouve presque impossible de se faire délester d’une sacoche plein d’argent à Tsaralalàna, notamment à l’endroit où s’est déroulée l’attaque à main armée. A 10 mètres du lieu, il y a des policiers en permanence. Aux alentours, des gens du gardiennage privé sont nombreux et un peu plus en avant, d’autres policiers de circulation s’y trouvent. Tout cela sans oublier que le commissariat central de police se situe à une minute de l’endroit » nous a expliqué une autre source proche de la police. Une manière pour lui de soutenir la thèse d’un simulacre dans cette affaire. Si seulement les gens concernés, ceux qui devaient effectuer un versement, se seraient manifestés durant ou juste après le cambriolage, il est fort possible que le quartier de Tsaralalàna soit bouclé en un temps record. Maintenant que le mal est fait, la police n’écartera pas la thèse d’un cinéma…
D.R