Après l’intervention du chef de l’État, hier soir, on n’est mieux fixé sur la suite des événements qu’auparavant. C’est un véritable plaidoyer qu’il a fait pour défendre le bilan de son quinquennat en présence d’une assistance de notables et de personnalités du régime. Les Malgaches ont été submergés par les chiffres et les statistiques présentés et ont finalement eu une perception diffuse de la réalité actuelle.
Un plaidoyer du chef de l’État
Le président de la République qui est encore en fonction a, dans un premier temps, répondu aux multiples interrogations qui lui ont été adressées et auxquelles il a répondu avec une certaine habileté. Ce fut avec des chiffres qu’il a réfuté ceux avancés par les journalistes. Toutes les réparties du chef de l’État semblent clouer au pilori ces derniers ont été saluées par l’assistance. Le taux de pauvreté, l’inflation, le mauvais état des routes, les difficultés de la Jirama, tous les problèmes ont été évoqués. Les réponses ont été faites parfois avec véhémence, mais elles n’ont pas toutes convaincu. Le président a réussi, cependant, à désamorcer les critiques virulentes qui lui ont été adressées. Il a évité soigneusement de parler de promesses à faire car, a-t-il dit, ce sont les réalisations avant la fin de son mandat qu’il faut évoquer. Chaque interviewer a continué à lui rappeler les réalités auxquelles les Malgaches sont confrontés. Il a affirmé qu’il a une vision stratégique de ce qui doit être accompli pour le pays. A titre d’exemple, il a parlé de l’autoroute reliant Antananarivo-Toamasina qui permettra aux usagers de faire des économies de carburant. Il a touché un mot des Jeux des Îles dont il a la ferme conviction de leur réussite. Mais c’est vers la fin de l’entretien qu’a été abordée la question de la nationalité française acquise par naturalisation. Il s’est défendu avec une certaine conviction de son amour de la patrie sous les applaudissements de l’auditoire.
Patrice RABE
Et oui ces courtisans et autres flagorneurs ont applaudi mais le peuple Malgache s’est certainement senti insulté . L’autre mpisolelaka DOUGLAS s’est avec certitude ostensiblement salivé en admirant son Winston CHURCHIL » mofo gasy » ! Le PIB , l’IDH , la courbe du taux de pauvreté , le taux de croissance économique et l’inflation seront pris pour de la » poire » par le peuple Malgache pour cet chef d’état égocentrique et démagogue pour l’avenir avec » reny malala » des ses progénitures . Rainilainga Raindedaka ne pourra définitivement se départir de son image de trafiquant de bois de rose , de traitre , d’imposteur et de fraudeur de haut vol .
« Oviana ny Malagasy no efa sambatra ? » des mots que le Président a évoqué durant l’émission. 60 années ont passées, des président se sont succédé, mais ANDEKALEKA reste Andekaleka plus rien d’autre alors le délestage apparaît pour la première fois en 2008. Comment et pourquoi ? Les chiffres ne font que monter et descendre, mais la réalité depuis l’Independence reste le même. Sortir les mots Rainilainga, Rainidedaka, démagogue n’effacera pas les réalisations de ce régime. Le peuple aura le dernier mot en Novembre et décembre prochain.
Ianareo MPISOLELAKA efa dinty sisa anatin’ny loha ka tsy mahita ny lainga tsy tahotra tsy henatra hataon’ i Mamimbahoaka nareo . Mihevitra ny Malagasy ho babakoto ka FILIATION hono no nahazony nationalité ?! Tsy mahay mamaky décret de naturalisation sy journal officiel Frantsay ny olona aminareo . Izao indray nampiny hoe ny ho avy ny zanany hono no jereny dia mila citoyenneté Frantsay sao hadinony fa filoham-pirenena izy fa tsy mpivarotra bonbon coco ! Raha ny délestage indray dia aza manompa vahoaka fa taiza taona 2018 no nisy jiro tapaka lavareny toa izao , ny rano hilaharana . Mirediredy ny anareo aminin’ny tarehimarika diso na momba ny fahantrana na ny taux de croissance sy ny inflation . Izahay mba mahay mamaky teny ka mahita ny chiffres , rapports , statistiques ary classements rehetra ka aza heverina dondrona varotana saka be loha .
Tena Rainilainga Raindedaka ny anareo n’inona n’nona lazainareo no mpamadika tanindrazana , mpisiloky , mpanao hosoka ary mpanondrana bois de rose gaigilahy tamin’ny transition ireny . Ny Malagasy tsy adala ka ho voarebireby lava ary tsy ny sarimbakoliny lehiben’ny HCC iny no tsy hazahony daka vody !