Le problème des délestages, loin de diminuer, s’aggrave et est en train de détériorer sérieusement le climat sociopolitique à la veille de la célébration du 65ème anniversaire de l’indépendance. La population n’a plus en tête que les désagréments qu’elle doit subir à la suite de ces longues coupures d’eau et d’électricité quotidiennes. Ce n’est plus un bruit de fond sans conséquence qu’on entend, mais la montée progressive d’une véritable exaspération qui a lieu. Les responsables de la société d’État ne peuvent, pour le moment, qu’avouer leur impuissance devant la situation actuelle et demandent aux consommateurs de faire preuve de patience.
Une frustration de plus en plus grande de la population
Les explications pour justifier la recrudescence des délestages sont tout à fait plausibles. La baisse du niveau d’eau dans les réserves qui alimentent la centrale d’Andekaleka est réelle et la production d’électricité a dramatiquement baissé. Un programme de délestages tournants a donc dû être mis en place. Mais une partie de la production d’électricité du RIA est aussi assurée par des centrales solaires. Le niveau d’ensoleillement au début de ce mois a, lui aussi, beaucoup baissé, entraînant une baisse encore plus importante de l’alimentation du réseau. La société d’État a donc dû composer avec les circonstances. On est donc aujourd’hui arrivé à ces délestages de plus en plus longs et de plus en plus pénibles. La population en ressent douloureusement les conséquences. Les délestages ne se contentent pas d’être intempestifs, mais ils durent plus longtemps. La population, qui est en perpétuelle lutte pour sa survie, est épuisée et à bout de nerfs. Elle commence à mettre en cause les responsables au plus haut niveau de l’État. Certains se mettent à rappeler les promesses faites d’une résolution rapide des problèmes. Le temps est passé, mais ils sont restés. Des solutions ont été proposées, mais elles n’ont pas été suivies d’effet. Les appels à la patience sont, une fois de plus, lancés et ils sont entendus, mais suffiront-ils à apaiser cette frustration de plus en plus grande ?
Patrice RABE.
On ne serait pas dans cette situation dramatique de la population si RAINILAINGA RADOMELINA RATANDRAMETAKA RAINIDEDAKA a fait preuve d’un statut d’homme d’état avec le respect des projets hydroélectriques bouclés par le précédent régime !
»Madagascar Ranks 111 out of 140 in Rule of Law Index »
Non, non, Mr. Rajoelina, vous etes un excellent prédsident, je ne vais pas vous remouver, je suis si content que vous etes la, non, non, non, vous m’avez mal compris, je serais content si Madagascar descend encore à la derniere place… de ce ranking des Nuls, pour des Nuls: ils vous mentent, je jure, Mr le Président, ils vous mentent, je vous adore, svp, ne me faites pas frapper, pas encore……!
15 ans depuis le « Poutsch » c’etait 15 ans de perdu. Alors, prennez le. Madagascar en manioc: rendement 7 tonnes/hectar, Grezil: 28 tons/ha. Pourquoi, Mr Le Président, dites le moi: les Malgaches ne sont pas nul: c’est vous, et uniquement VOUS. Degagez, laissez le terrains a gents qui travaillent.