![Les « gris-gris » qui auraient été découverts dans l’enceinte de l’Université de Mahajanga.](https://www.midi-madagasikara.mg/wp-content/uploads/2014/03/Mahajanga-300x225.gif)
La situation évolue dans un autre sens pour l’université de Mahajanga, suite à des éventuelles découvertes de choses mystérieuses.
Apparemment, le problème lié à l’Université de Mahajanga n’a pas encore été résolu. Au contraire, celui-ci semble se compliquer, surtout après les éventuelles découvertes des gris-gris par les étudiants, qu’ils soupçonnent appartenir à un haut responsable de l’établissement. Et quelques-uns d’entre eux en témoignent : « Des gris-gris ont été découverts par hasard, mardi dernier, enterrés juste devant le secrétariat de notre Faculté et celui de l’Institut de Biologie Appliquée, dans l’enceinte de l’établissement. Ce sont des gens de bonne foi, bien placés pour connaître et ainsi de maîtriser les terrains de l’université, qui les ont trouvés ». Avant de continuer : « Ce n’est pas la première fois que de telles découvertes ont été faites. Et ces choses étaient toutes bien enterrées presque dans les endroits sensibles de notre établissement. Selon nos amis, les autres étudiants, ce sont ces choses maléfiques qui ont causé la mort de certains de nos amis, presque tous les ans. Et ce sont leurs forces démoniaques qui ont été à l’origine des tensions à l’université ».
Agression. Par ailleurs, ils n’ont pas manqué de remercier les forces de l’ordre locales d’avoir su réellement faire régner l’ordre comme il le faut. Cependant, ils dénoncent l’existence d’une agression perpétuée contre leur personne. « Un de nos amis vient d’être agressé brutalement sur le chemin de sa maison, en provenance du bord de la mer. Il a été ainsi gravement blessé au visage. Devant une telle situation, une plainte a été déposée ». En somme, ils lancent un appel fort au ministère de tutelle « afin de cesser enfin les ruses et tromperies sur la situation de l’Université de Mahajanga ». Une occasion pour ces étudiants de réitérer que 20 % d’entre eux seulement suivent actuellement les cours. Le reste serait encore oublié dans les campagnes, à cause de l’inexistence d’une déclaration officielle dudit ministère confirmant la reprise des cours.
Arnaud R.