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mercredi, décembre 4, 2024
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Vendredi joli

Trano Bongo Hôtel Tanjombato

Du jazz et du soul pour les amateurs

Ce soir, deux artistes offriront un répertoire très varié, allant des titres les plus anciens ou les standards vers les plus récents, toujours sur une interprétation qui leur ressemble, version  de la nouvelle génération. Tsanta et  Sity Rakoto, de jeunes mélomanes qui créent de

la « dentelle de Jazz » sensible et précieuse. Deux artistes bourrés de talent et pleins de ressources. Ils font leur chemin et sont des coups de cœur permanents chez les connaisseurs. Tsanta, plus connu à la trompette, sera au clavier, autre instrument de prédilection parmi tant d’autres chez lui. C’est un multi-instrumentiste fluide.

Passionnée depuis l’enfance, fascinée par la pop et la liberté du Jazz, Sity Rakoto quant à elle veut être à la hauteur de son ambition de qualité. Elle exprime amour, détresse, joie et espoir sur des mélodies envoûtantes. Mélomane et touche-à-tout, elle joue sur tous les registres. Sa voix douce et soul est comme une véritable fleur tropicale dont le parfum résiste au temps.

Alors, Trano Bongo Hôtel Tanjombato accueillera deux virtuoses. Les amateurs de jazz vont se régaler.

 

Piment café

Deux générations  partageront la même scène

Un rendez-vous à ne pas oublier ! Fara Gloum et Tselonina s’inviteront au Piment Café  Behoririka à 20h. « Un duo incontournable dans le paysage musical malgache depuis ces quinze dernières années ». Alors, tout se jouera dans le paradoxe, puisque le titre du cabaret est « Bitsika anaty orakoraka ». Comme toujours, ce moment va faire place à la guitare et au chant. Un minimalisme comblé par les textes de Tselonina, un des chantres de la chanson à texte malgache.

Ce concert au Piment Café ne sera pas le premier de Tselonina et Fara Gloum. Bien que plusieurs dizaines d’années séparent ces deux artistes, la connexion entre les deux sera palpable sur scène.

 

Ambohipo

Lion Hill et Jaovavy au Jao’s Pub

Une ambiance euphorique se profile à l’horizon pour ceux qui aiment vibrer aux rythmes des chansons d’amour de Lion Hill et des titres sans langue de bois de Jaovavy. Incarnant parfaitement l’image  du « bad gyal » par excellence, Jaovavy ne mâche pas ses mots. La tornade du ragga dance hall enflammera la tanière du roi du salegy ce vendredi. Grosses cylindrées, bling bling, danses sexy et l’attitude qui va avec… font des clips de la chanteuse une attraction à part entière.

 

Zo Toniaina/ Iss Heridiny

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