Si on ne voyait pas aux avant-postes l’un des favoris du Tour, en l’occurrence le Français Vincent Grazcik qui avait terminé à la seconde place du général de l’année dernière, c’est tout simplement parce que l’homme est malade. Des diarrhées qui l’ont alité depuis Toliara mais comme il s’agit surtout d’un compétiteur, il n’a jamais voulu lâcher prise en se payant même le luxe de se mettre sous perfusion à la fin de chaque étape pour se remettre sur pieds. Mais même si ce n ‘est plus le même Graczik, son courage lui vaudrait certainement une médaille.
Clément RABARY