
La sécurité du Pape François serait assurée par un service secret étranger lors de son séjour dans la Grande Île.
L’information émane d’une publication du site web officiel du Vatican. Publiée le 28 juin dernier, elle donne un calendrier « indicatif » de la visite papale. Ainsi, sa Sainteté va quitter le Mozambique pour Antananarivo le 6 septembre prochain. Diverses activités seront prévues le samedi 7 septembre prochain. « Le Pape rencontrera les autorités, la société civile et le corps diplomatique en début de matinée. Il prononcera ensuite une homélie lors de l’office de tierce, au monastère des carmélites déchaussées, avant de rencontrer les évêques du pays. Il visitera ensuite la tombe de la bienheureuse Victoire Rasoamanarivo. Il conclura la journée par une veillée avec les jeunes dans le champ diocésain de Soamandrakizay », avance le site web www.vaticannews.va.
Attendue. Par des millions de Malgaches, « la Grande messe sera célébrée au champ diocésain de Soamandrakizay ». L’information diffusée sur le site www.vaticannews.va noter que le Saint-Père devra ensuite « visiter le village Akamasoa du Père Pedro », avant de se « rendre sur le chantier de Mahatazana pour y réciter une prière pour les travailleurs ». Le Pape François devra clore sa seconde journée par une « rencontre avec les prêtres, religieuses et religieux, les personnes consacrées, et les séminaristes au collège Saint-Michel ». Il conviendrait de noter que le Pape quittera la Grande Île le mardi 10 septembre prochain, le lundi 9 septembre étant consacré à l’île Maurice. Interrogée sur la sécurisation de la visite papale, une source de première main de noter que « la sécurité de sa Sainteté est assurée par un service secret étranger. Ce dernier assure habituellement cette fonction lorsque le Pape François se déplace en Afrique ». Profitant de l’occasion, la source fait savoir que le calendrier publié sur le site devrait être pris à titre indicatif. « Le déplacement d’une personnalité telle que le Pape François doit être établi au millimètre près. Aucune erreur ne peut être tolérée. Ce qui est vrai, mais je voudrais attirer l’attention côté malgache. Il se peut qu’il y ait un changement en cours de route », a-t-elle renchéri.
Recueillie par José Belalahy