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ls étaient donc 17 enseignants d’Education Physique et Sportive à participer au stage d’initiation de quatre jours, du 11 au 14 octobre derniers, avec le concours du CISCO Mahajanga.
Le beach soccer est en train de reprendre goût à la vie grâce au coach et non moins instructeur Solofo Ramarolahy. La discipline a pratiquement touché le fond après avoir raté les éliminatoires du championnat d’Afrique aux Seychelles. La faute à l’ancien président de la commission de beach soccer au sein de la FMF, Alexandre Lay Mein, qui aurait voulu agir en solo alors que sa signature n’est même pas reconnue auprès de la FIFA pour une demande de subventions. Le refus de Zurich a été alors sans appel entraînant de facto un forfait qui est resté à travers la gorge des férus de beach soccer. Quelques mois plus tard, Solofo Ramarolahy refait surface pour sauver ce qui peut encore l’être en organisant un stage de quatre jours, du 11 au 14 octobre derniers, avec le concours du CISCO Mahajanga. Ils étaient 17 enseignants d’Education Physique et Sportive à participer à ce stage d’initiation au beach soccer.
Différents thèmes ont été choisis par le coach Solofo Ramarolahy, notamment, les techniques et tactiques du beach soccer, le coaching et les règles du jeu. Bref, tout le nécessaire pour pouvoir organiser des compétitions. Dans un avenir proche et toujours sous la houlette du CISCO Mahajanga, ces stagiaires vont s’atteler à organiser des compétitions inter-établissements de beach soccer. Le meilleur moyen pour faire retrouver des couleurs à cette discipline dans laquelle nous avons été champions d’Afrique pour ensuite participer au Mondial du Portugal. Une belle époque en somme avec un grand bravo au président de la Commission de beach soccer, un Reboza Cyrille qui a su trouver les ressources nécessaires pour mettre en place une organisation irréprochable.
Clément RABARY
