Dans son communiqué en date du 20 juillet, la Commission Nationale Indépendante des Droits de l’Homme (CNIDH) rappelle le droit de grève dont disposent les différents syndicats de Madagascar en vertu du Pacte international sur les droits économiques, sociaux et culturels et les limites imposées par les lois à l’exercice de ce droit. La CNIDH cite le SMM, le SECES, le SEM.PI.DOU qui, selon elle, « se sont montrés à la hauteur des responsabilités qui leur ont été confiées, en assurant un service minimum ou en privilégiant le dialogue avec leurs autorités de tutelle, pour défendre leurs intérêts tout en assurant au mieux leurs devoirs de service public ».
Recueillis par R. Eugène