La campagne électorale bat son plein actuellement dans la capitale. Chaque candidat essaie d’attirer le maximum de foule pour exposer son point de vue. Mais derrière chaque candidat, il y a quelqu’un qui peaufine les stratégies à adopter et c’est le rôle du directeur de campagne. Pour Lalao Ravalomanana du TIM, cela incombe à Val Andriamahaitsimiavona ; quant à Lalatiana Rakotondrazafy de l’association Freedom, c’est Bruno Rajaonarivelo ; pour Rajerison Véronique de l’«Union Nationale pour la Refondation et la Reconstruction de Madagascar » (UNRRM), le directeur de campagne est Toky Rakotomavo ; pour Harilala Ramanantsoa de Madavision, c’est Jao Ranaivo ; pour Lalatiana Ravololomanana du Front de l’opposition, c’est Guy Maxime Ralaiseheno, pour Hery Rafalimanana de « Iarivo Mitambatra », ce rôle a été attribué à Ralison Jaona ; pour Rakotoaritsifa Hasina de « Malagasy Miray sy Mifankatia » (MAMIMI), c’est Vincent Vladmir Rakotoarison. Pour les candidats de l’Arema et du Stand Up Tanà, respectivement Raniriharinosy et Andry Ranaivo, nous n’avons pas eu les noms de leurs directeurs de campagne.
Programme respectif. Toutefois, il faut remarquer qu’il y a une similitude dans leur façon de mener leur campagne. Il s’agit notamment de recourir à la sono mobile, du porte-à-porte ou par de meetings. Pour le rassemblement, cela pourrait avoir lieu en plein air ou en salle. Sans pour autant oublier le show électoral. Mais ce qui devrait faire la différence c’est leur programme respectif. Pour les premiers jours, chaque candidat n’a pas encore dévoilé son programme. Est-ce par crainte que leurs concurrents aillent s’en approprier ? Ou va-t-il le réserver pour les derniers jours de propagande ?
Dominique R.