Le parcours de Asaramanitra Ratiarson aux Jeux Olympiques de RIO s’ est arrêté au premier tour. Ce n’était pas faute d’avoir essayé mais voulant mieux faire, elle a d’ailleurs pris l’initiative de combat des moins de 48 kg, elle s’est exposée aux fautes. Le verdict final de 3 shido contre un seul pour la Cubaine Mestre Dayaris, montre que cela s’est joué à bien peu de choses et que Asaramanitra n’a pas à se plaindre d’avoir échoué devant la Cubaine qui venait de ravir en 2015 la médaille d’or des Jeux Panaméricains de Toronto. C’est dire que cette Mestre est une maestro qui a en plus l’expérience d’un judoka de 29 ans. Logique dans ce cas si le mari d’Asaramanitra, Theo Pitaval, affiche clairement qu’il reste fier de son épouse et qu’il a été le premier à la soutenir après son combat. Enfin presque, car le président Siteny Randrinasoloniako était aussi là comme lors des moments difficiles. Eh oui !
Clément RABARY