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lundi, mai 13, 2024
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Le Sénégal, un modèle de démocratie

Au Sénégal, le président sortant Macky Sall a félicité l’opposant Bassirou Diomaye Faye pour sa victoire à l’élection présidentielle bien avant la proclamation des résultats officiels par la Cour constitutionnelle. Cette réaction survient après celle du candidat du pouvoir, Amadou Ba, qui a reconnu sa défaite dès lundi soir. Cette nouvelle a surpris tous les observateurs qui avaient exprimé leur crainte d’une crise postélectorale après la période agitée du mois de février. Le Sénégal donne au continent africain l’exemple d’une démocratie où le changement peut se faire par la voie des urnes et sans violence. L’élection s’est faite en toute transparence et le résultat a été accepté par tous. Cette victoire a été accueillie dans la joie par des dizaines de milliers de Dakarois qui ont salué l’alternance après douze ans de présidence de Macky Sall.

Le Sénégal, un modèle de démocratie

Le Sénégal a toujours été considéré comme un modèle de démocratie. Cette année, il devait vivre une période électorale difficile, le régime au pouvoir commençant à s’essouffler. Les Sénégalais attendaient avec impatience l’élection présidentielle pour voir se réaliser une alternance démocratique. Le président sortant, Macky Sall, a décidé de reporter la date du scrutin et l’a fait entériner par l’Assemblée nationale. La réaction de la population n’a pas tardé et des centaines de manifestants ont crié leur colère dans les rues de Dakar. Les mouvements de contestation ont été violemment réprimés. Mais la Cour constitutionnelle a annulé la décision du report et décrété que le scrutin devait avoir lieu dans les plus brefs délais. La communauté internationale avait d’ailleurs manifesté sa désapprobation et s’était inquiétée de la tournure des événements. Le pouvoir a donc changé d’attitude. Il a pris des mesures d’apaisement, en amnistiant les manifestants arrêtés. Il a fixé une date pour les élections, celle du 20 mars. La campagne présidentielle n’a duré qu’une semaine, mais l’engouement des électeurs a été réel. Les Sénégalais ont montré leur soif de changement, en allant voter en masse pour le candidat de l’opposition. Dès lundi soir, Bassirou Diomaye Faye, d’après le décompte des voix, a déjà recueilli 50,7% des suffrages. L’alternance a donc eu lieu normalement . Le Sénégal reste donc un exemple pour tous les pays du continent africain. Cette année, une quarantaine de ces pays ont ou vont connaître des élections présidentielles.

Patrice RABE

Au Sénégal, le président sortant Macky Sall a félicité l’opposant Bassirou Diomaye Faye pour sa victoire à l’élection présidentielle bien avant la proclamation des résultats officiels par la Cour constitutionnelle. Cette réaction survient après celle du candidat du pouvoir, Amadou Ba, qui a reconnu sa défaite dès lundi soir. Cette nouvelle a surpris tous les observateurs qui avaient exprimé leur crainte d’une crise postélectorale après la période agitée du mois de février. Le Sénégal donne au continent africain l’exemple d’une démocratie où le changement peut se faire par la voie des urnes et sans violence. L’élection s’est faite en toute transparence et le résultat a été accepté par tous. Cette victoire a été accueillie dans la joie par des dizaines de milliers de Dakarois qui ont salué l’alternance après douze ans de présidence de Macky Sall.

Le Sénégal, un modèle de démocratie

Le Sénégal a toujours été considéré comme un modèle de démocratie. Cette année, il devait vivre une période électorale difficile, le régime au pouvoir commençant à s’essouffler. Les Sénégalais attendaient avec impatience l’élection présidentielle pour voir se réaliser une alternance démocratique. Le président sortant, Macky Sall, a décidé de reporter la date du scrutin et l’a fait entériner par l’Assemblée nationale. La réaction de la population n’a pas tardé et des centaines de manifestants ont crié leur colère dans les rues de Dakar. Les mouvements de contestation ont été violemment réprimés. Mais la Cour constitutionnelle a annulé la décision du report et décrété que le scrutin devait avoir lieu dans les plus brefs délais. La communauté internationale avait d’ailleurs manifesté sa désapprobation et s’était inquiétée de la tournure des événements. Le pouvoir a donc changé d’attitude. Il a pris des mesures d’apaisement, en amnistiant les manifestants arrêtés. Il a fixé une date pour les élections, celle du 20 mars. La campagne présidentielle n’a duré qu’une semaine, mais l’engouement des électeurs a été réel. Les Sénégalais ont montré leur soif de changement, en allant voter en masse pour le candidat de l’opposition. Dès lundi soir, Bassirou Diomaye Faye, d’après le décompte des voix, a déjà recueilli 50,7% des suffrages. L’alternance a donc eu lieu normalement . Le Sénégal reste donc un exemple pour tous les pays du continent africain. Cette année, une quarantaine de ces pays ont ou vont connaître des élections présidentielles.

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3 Commentaires

  1. RAINILAINGA doit avoir des sueurs froides . Le conseil constitutionnel Sénégalais n’est pas la basse cour constitutionnelle d’Ambohidahy avec une marionnette à sa tête pour recevoir des ordres . Leur loi fondamentale a été interprétée scrupuleusement concernant la binationalité . La RASANJY ministre de la justice chez nous a magouillé le certificat de nationalité Malagasy de Rainilainga . Le parlement au Sénégal a rejeté massivement l’initiative de Macky Sall de vouloir perdurer au pouvoir avec une date des présidentielles au rallonge . Les guignols de l’assemblée nationale à Tsimbazaza a entériné une disposition extraconstitutionnelle sur l’intérim à la présidence . Les résultats sont sortis avec une rapidité exemplaire au Sénégal tandis qu’ici le braconnier de flamants roses a fait l’impasse sur la confrontation des PV . La Ceni a eu le culot d’envoyer deux membres militants orange chez Poutine pour s’initier aux fraudes électorales pour les prochaines législatives . Macky Sall est un homme d’état qui a félicité un adversaire politique tandis que chez nous Rainilainga avec son 6e dan de karaté n’a pas eu le courage d’apporter ses contradictions face aux 11 candidats des présidentielles .
    On a honte d’avoir cet autocrate mégalomane , mafieux et corrompu encore au pouvoir qui va appauvrir davantage les Malgaches par son incompétence .

  2. Chacun a sa grille de lecture des élections présidentielles au Sénégal.
    La Dignité était au rendez-vous.
    Le respect était une valeur claire partagée par les dix neuf Candidats en lice . Un respect flagrant ,net , hors comédie, Les élections allaient,selon les obédiences, dans le sens de demander un changement de régime.Chaque candidat osait afficher sa personnalité voire son charisme et se présentait sous la bannière et les principes de son propre parti. Aucun candidat n ‘est allé remettre en cause les règles établies ; ni venir avec des idées préconçues, échafaudées ,dévoyées.
    Tous préconisaient la Souveraineté et la Grandeur de leur Nation.
    Les électeurs ont tranché sans extrapolation ni crier au voleur ! La jeunesse s’est exprimée en faveur de sa propre gent en délaissant la gérontocratie.
    On ne peut que saluer le jeune élu en mode républicain. Bon vent au duo politique qui s’est vu imposé par les dirigeants en exercice un parcours du combattant non mérité. Ce qui constitue pour lui une autre version de la Victoire.
    Néanmoins, cette victoire ne va pas traverser un long fleuve tranquille.
    Mais la trilogie : Victoire, Vouloir, Pouvoir peut se mettre en harmonie.

    • Une inculture flagrante et une analyse tronquée voire insincère d’un MPISOLELAKA du régime de Rainilainga . Le processus électoral n’a pas été un long fleuve tranquille dans ce pays . Le parlement a été saisi pour des enquêtes concernant des suspicions de corruption de certains membres du conseil constitutionnel . Des émeutes ont eu lieu à cause de la candidature validée d’une dame qui a caché sa binationalité comme Rainilainga . Macky Sall s’est plié au dialogue contrairement au président «vazaha taratasy » chez nous qui est resté méprisant et arrogant face aux initiatives du FFKM .
      Le collabo avec sa fausseté essaie de tirer profit et pervertir une démocratie outre-mer que Rainilainga n’a pas dans ses ADN . Au final ce larbin est un faux-cul d’une petitesse d’esprit et d’une malhonnêteté intellectuelle « manarapenitra » !

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