On dit que l’économie informelle n’a que des inconvénients : évasion fiscale, précarité des emplois, absence de protections pour les travailleurs… Mais elle peut être aussi une réponse aux défis économiques et sociaux que traverse un pays !
C’est pourquoi, chaque gouvernement doit peser soigneusement ces avantages et inconvénients avant d’inciter ou de réglementer l’économie parallèle !
Hasarotin’ny fanjakana loatra ny fikarakarana taratasy any amin’ny biraom-panjakana dia lasa kamo ny olona hiditra birao. Tsisy fanaraha-maso fa dia samy miliba manao kilavaka ny ankabeazan’ny any anaty biraom-panjakana any.
Pas d’accord avec votre analyse.
Le développement de l’économie parallèle n’a que des inconvénients, sauf pour l’exploitant :
– Perte fiscale : Les bénéfices échappent aux impôts et prélèvements; le chiffre d’affaires échappe à la TVA
– Concurrence déloyale avec le secteur formel
– Difficile pérennisation ou transmission de l’activité
– L’exploitant, le collaborateur et le salarié échappent à la protection sociale dont ils peuvent prétendre, accentuant ainsi la précarité ou la vulnérabilité en cas de survenance d’évènements : catastrophe naturelle, maladie, retraite ou décès. Ce mode d’exploitation favorise l’exploitation des salariés, souvent très pauvres : notamment enfants, jeunes adultes et des femmes ; serviables à merci sans droit et virés sans préavis ni droits
– Données macroéconomique erronées sur l’Etat réel de l’économie rendant toute stratégie et prévision incorrectes.