- Publicité -
dimanche, août 3, 2025
- Publicité -
Accueil Blog Page 10810

DE-CI…….DE-LA

0

Maurice, exposition à l’IFM. Dieudonné, son concepteur, est considéré comme un magicien de la ferronnerie. Ce véritable forgeron fait du fer ce qu’il veut. Il a créé un personnage, Maurice qui montre sa vision du monde dans le hall de l’IFM. Ce dernier mesure huit mètres de large et deux mètres vingt-cinq de haut. Ce personnage est venu au monde sur un minuscule bout de terre en plein milieu de l’océan, et il a grandi petit à petit. Obligé de quitter cet endroit à cause de sa taille, il a voyagé un peu partout dans  le monde. C’est à l’IFM qu’il a débarqué récemment et on peut l’y découvrir jusqu’au 31 janvier.

Patrice RABE

Marathon BOA de Bamako : Hajanirina Andriamparany le podium en ligne de mire !

0
Hajanirina Andriamparany recevant le maillot des mains du DG de la BOA, Abdallah Ikched, hier, à Antaninarenina. ( Photo d’Archives).
Hajanirina Andriamparany recevant le maillot des mains du DG de la BOA, Abdallah Ikched, hier, à Antaninarenina. ( Photo d’Archives).
Hajanirina Andriamparany recevant le maillot des mains du DG de la BOA, Abdallah Ikched, hier, à Antaninarenina. ( Photo d’Archives).

C’est la troisième année consécutive que Hajanirina Andriamparany représentera la Grande Ile au Marathon international de BOA Bamako, Mali.

Après 2011, 2012, 2013, Madagascar par le biais de la BOA Madagascar sera présent à la 6e édition du Marathon International BOA Bamako, Mali. Le marathonien Hajanirina Andriamparany tentera sa 3e aventure malienne, le dimanche 2 février avec le même parcours et mêmes pays participants à savoir Madagascar, Kenya, Sénégal, Niger, Ghana, Bénin, Burkina-Faso, Tanzanie et Côte d’Ivoire.

Faire mieux. L’année dernière, Haja a réalisé son meilleur résultat à ce marathon en figurant dans le top 5 avec un chrono de 2h 31’23’’71. « C’est très difficile de remporter le titre, mais je ferais de mon mieux cette année pour figurer sur le podium. Pourquoi pas la médaille d’argent ? » a-t-il lancé. Il est à signaler que lors de sa première participation, il a abandonné la course même s’il a mené la course pendant les 20 premiers kilomètres.  «  Haja s’est bien préparé depuis environ deux mois et on va honorer le soutien constant de la BOA » a expliqué Norolalao Ramanantsoa Andriamahazo, hier, au cours d’une conférence de presse au siège de la BOA Madagascar à Antaninarenina.

Réengagement. Le nouveau Directeur Général de la BOA Madagascar, le Marocain Abdallah Ikched a réitéré son engagement à soutenir l’athlétisme malgache. La BOA Madagascar a pris en charge les détails liés à ce déplacement : des équipements sportifs, le billet de transport entre autres. Abdallah Ikched d’expliquer que « la BOA se démarque de plusieurs acteurs qui peuvent contribuer à l’évolution de la culture et des sports du pays.  La BOA n’est pas une banque de parole mais aussi une banque en acte. Aussi, on ne refusera pas à soutenir un évènement qui partage les mêmes valeurs, à savoir la discipline, culture de l’effort, le fair-play, un esprit de compétition et un moral de gagnant, c’est le cas de ce marathon où la BOA envoie une délégation à Bamako. » Le choix de Hajanirina Andriamparany est vite fait pour la fédération surtout après sa belle prestation au marathon de Pyongyang qui était crédité de 2h 24. La délégation malgache dirigée par Mahatana Jean de la Croix à la fois coach quittera le pays demain.

T.H

JIU-JITSU BRESILIEN : Lova Randrianasolo, vice-champion d’Europe 2014 !

0

Cela fait 24 ans qu’il vit en France mais il a tenu à représenter Madagascar au championnat d’Europe de jiu-jitsu. Combattant professionnel en MMA ( free fight), Lova Randrianasolo combat aussi en jiu-jitsu brésilien pour améliorer son niveau de combat au sol. Il est sacré vice-champion d’Europe la semaine dernière chez les poids légers (-76 kg). « C’est un championnat extrêmement difficile. On était 40 dans ma catégorie. Il y avait des Russes, Espagnols, Danois, Finlandais, Anglais, Portugais, Italiens etc. Le jiu-jitsu brésilien est l’art martial le plus en vogue ces dix dernières années et je suis fier de représenter Madagascar et la France dans ce sport ».
Anny Andrianaivonirina

JCI Antananarivo : 9 projets dont 2 d’envergure nationale, réalisés en 2013

0

La passation de Collier entre l’ancien président de la Jeune Chambre Internationale (JCI) Antananarivo Fanoa Rakotoson et son successeur, Serge Razafindrabe s’est tenue à la Chambre de Commerce et d’Industrie à Analakely, mercredi dernier.  Les projets de cette année mettront en valeur les jeunes citoyens actifs, selon le nouveau président.

En présence des représentants du Bureau national 2013, des présidents locaux 2013 et des aînés ou sénateurs, Fanoa Rakotoson président de la JCI d’Antananarivo pour l’année 2013, a exposé tous les neuf projets réalisés durant son mandat. Deux d’entre ces projets ont été primés au niveau national. Il s’agit des projets Zazasoa Finaritra, meilleur projet communautaire, qui consistait à la réhabilitation d’une EPP et de la cinquième édition du Carrefour des Entrepreneurs, meilleur projet économique. Ces réalisations traduisent un grand succès pour cette organisation locale membre (OLM) de la JCI, ce qui lui a valu  le titre d’OLM la plus dynamique de Madagascar en 2013. Pour le jeune président sortant, l’objectif était de laisser ses empreintes de jeune citoyen actif et d’apporter un changement positif à la société. Après son mandat de président, Fanoa Rakotoson est nommé directeur Partenariat et Sponsoring de la JCI Madagascar.

Continuité. Pour sa part, le nouveau président de la JCI Antananarivo, Serge Razafindrabe a affirmé qu’il poursuivra avec son équipe les actions déjà entreprises auparavant, en accentuant les projets à la recherche de jeunes citoyens actifs, qui partagent les mêmes valeurs que les jaycees, des jeunes, qui, selon lui, seraient engagés à faire face aux défis de notre temps et qui seraient prêts à se dépasser pour devenir meilleur et rendre meilleur la communauté. La devise fixée pour 2014, « Au-delà de nos rêves », coïncide d’ailleurs avec cet objectif. Par ailleurs, il faut noter qu’avec leurs bonnes intentions et leurs initiatives, les jeunes de la JCI sont appuyés par plusieurs entités qui sont devenues leurs partenaires permanents, si l’on ne cite qu’Orange Madagascar, la banque BFV-SG, les brasseries STAR, Air Madagascar et Point Pacom.

Antsa R.

Association « Raiso ny Tanako » : Au chevet des victimes de l’explosion d’Anosy

0
Kezia Rakotomalala, Présidente de « Raiso ny Tanako », (à gauche) devant le lit d’Elisabeth G. Rasoanandrasana à l’HJRA, celle qui a perdu son pied gauche à cause de la forte explosion.
Kezia Rakotomalala, Présidente de « Raiso ny Tanako », (à gauche) devant le lit d’Elisabeth G. Rasoanandrasana à l’HJRA, celle qui a perdu son pied gauche à cause de la forte explosion.
Kezia Rakotomalala, Présidente de « Raiso ny Tanako », (à gauche) devant le lit d’Elisabeth G. Rasoanandrasana à l’HJRA, celle qui a perdu son pied gauche à cause de la forte explosion.

L’Association « Raiso ny Tanako », présidée par Kezia Rakotomalala a rendu visite aux 11 blessés par l’explosion d’Anosy encore hospitalisés à l’HJRA Ampefiloha hier, dans l’après-midi. Et celle-ci n’est pas venue les mains vides. Des enveloppes ont été offertes afin d’aider ces personnes à se rétablir vite. Ainsi, au total, une somme d’argent de 1 million d’Ariary a été départagée pour toutes les malheureuses victimes, parmi elles, le petit Andry Rasolofoson  (8 ans, encore dans un état critique) et sa sœur Aldas Razafindrina (9 ans), si leur petit frère vient juste de succomber à ses blessures. « Oui, c’est très peu, mais ça vient directement du cœur », affirme la Présidente de « Raiso ny Tanako ». Une occasion ainsi pour Kezia Rakotomalala de condamner les actes inhumains perpétrés contres ces pauvres gens. « En tant qu’association humanitaire qui prend donc en charge surtout les enfants et les adultes les plus défavorisés, nous ne pouvons pas tolérer de tels actes contre des pauvres innocents. C’est très malheureux de savoir que des Malgaches sont maintenant capables de tuer leurs frères malgaches, alors que nous avons toujours été des êtres sensibles », déplore-t-elle.  Avant de continuer : « Laissez les pauvres tranquilles !», vu que la majorité des victimes de ce drame a été des nécessiteux. En effet, bien que ce soit une toute nouvelle association, celle-ci a déjà réalisé beaucoup de biens pour la société. Dans ce sens, selon les explications de Kezia R, plus de 152 enfants sont maintenant scolarisés dans les environs d’Ambatobe et d’Analamahitsy. En outre, tous les jours, plus d’une dizaine d’enfants obtiennent deux repas par jour avant de rentrer chez eux. A noter que « Raiso ny Tanako » a son siège à Ambatobe.

Arnaud R.

Documentaire de création : Trois rendez-vous pour les auteurs –réalisateurs de l’Océan Indien

0

Tamatave va accueillir quelques-uns des plus grands évènements destinés à la production et au documentaire. La deuxième rencontre de film documentaire de création de l’Océan Indien est lancée. En guise d’ouverture ? La résidence d’écriture qui se tiendra vers la fin du mois d’avril. Comme chaque année, l’association DocMonde et ’Zay One Communication sont les coorganisateurs du festival de film documentaire. La Région Rhône-Alpes, à travers la coopération décentralisée avec la Région Atsinanana, a elle aussi, soutenu une fois de plus la manifestation.

« Le documentaire de création est un document où le cinéaste se pose des problèmes de forme et pas seulement de contenu. C’est une œuvre traitant de la réalité, passée ou présente, devant faire l’objet d’un travail de recherche, d’analyse, d’écriture, traduisant l’originalité du regard de ses auteurs réalisateurs ». L’association DocMonde dans le cadre du programme DocOI a organisé une résidence d’écriture de film documentaire de création du 28 avril au 12 mai 2014 à Tamatave. Une quinzaine d’auteurs –réalisateurs venant des Comores, de Maurice, Mayotte, La Réunion, Rodrigues, Seychelles et de Madagascar sont attendus pour la session. Les participants seront encadrés par deux formateurs qui, bien évidemment, sont des professionnels du métier. « A l’issue de la résidence d’écriture de Tamatave, les projets les plus aboutis seront sélectionnés pour participer aux 3es rencontres Tënk de coproduction qui réuniront un panel de plus de 30 professionnels (producteurs, diffuseurs, institutionnels) d’Océan Indien et d’Europe » a lancé Yvan Fabius de ‘Zay One Communication de Tamatave.

Rencontres Tënk de l’Océan Indien.  Ces rencontres s’étaleront sur deux jours. Elles se tiendront les 10 et 11 juin. Pour cette manifestation, une trentaine de professionnels originaires de l’Océan Indien et d’Europe seront de la partie. Ils sélectionneront les projets les plus aboutissants en vue d’une coproduction. Entre-temps, la deuxième rencontre documentaire de l’Océan Indien pour les films non compétitifs aura lieu, du 3 au 10 mai. Ceux qui désirent participer à ces évènements devront envoyer leurs dossiers de candidature comprenant page de garde, fiche d’inscription complétée, résumé du projet, note d’intention, indications sur le traitement audiovisuel envisagé et/ou un synopsis développé, curriculum vitæ détaillé de l’auteur réalisateur avant le 15 février à : yvanfabius@gmail.com et camgou@gmail.com. Autrement dit, il leur reste encore près de trois semaines.

Jean-Claude STEVE

Programme RISE : Un bilan positif pour 2013

0
Des boursiers de RISE à Mahatalaky.
Des boursiers de RISE à Mahatalaky.
Des boursiers de RISE à Mahatalaky.

Grâce au programme RISE, initié en partenariat avec  Rio Tinto et Pact Madagascar, l’éducation s’améliore dans l’Anosy.

Contribuer à l’amélioration de l’accès et la qualité de l’éducation à Fort-Dauphin. Tel  est l’objectif principal du programme RISE ou Rio Tinto Scholarship Education Program. Il s’agit d’un projet qui intervient dans 9 communes de la région Anosy. A savoir : Fort-Dauphin, Soanierana, Manambaro, Sarisambo, Ankaramena, Mahatalaky, Iaboakoho, Ampasy Nahampoana, Mandomondromotra. Pour 2013, RISE a enregistré un bilan positif, avec notamment, l’octroi de bourses scolaires pour 1 300 enfants pour les 9 communes, des bourses de mérite : pour les meilleurs obtenant des notes excellentes durant l’année scolaire, des bourses de succès pour les élèves nécessiteux, mais compétents et voulant continuer leurs études. Il y a même eu des bourses universitaires pour les meilleurs élèves ayant réussi au baccalauréat.

Fasimainty Center. Le programme a, par ailleurs, mis en place des activités éducatives  par des cours de soutien et des groupes d’éducation civique et de leadership parmi les jeunes dans les écoles. Comme le projet travaille avec Rio Tinto QMM, certains élèves sont orientés vers le Fasimainty Center, l’école de formation de cette grande entreprise minière. En tout cas, l’efficacité du programme se mesure par de bons taux de réussite aux examens.  Pour 2014 les actions vont se poursuivre avec notamment l’octroi de 242 bourses de mérite et de 250 bourses de succès. Et bien évidemment des bourses universitaires pour les bacheliers méritants.

R.Edmond

« Hôpitaly manara-penitra » : Quid de l’évacuation des eaux usées ?

0
La nuit de l’inauguration de l’hôpital « manara-penitra » d’Antananarivo, des victimes d’un accident survenu à proximité, y ont trouvé... portes closes !
La nuit de l’inauguration de l’hôpital « manara-penitra » d’Antananarivo, des victimes d’un accident survenu à proximité, y ont trouvé... portes closes !
La nuit de l’inauguration de l’hôpital « manara-penitra » d’Antananarivo, des victimes d’un accident survenu à proximité, y ont trouvé… portes closes !

Après l’inauguration de l’hôpital « manara-penitra » sis sur la route digue à Andohatapenaka, la semaine dernière, l’établissement n’était pas encore tout à fait prêt à accueillir ses premiers patients.

La population tananarivienne attend maintenant le véritable démarrage des activités de l’hôpital « manara-penitra » à Andohatapenaka. Inauguré jeudi dernier, celui-ci n’a pas encore pu accueillir des patients, la nuit suivante. En attendant que tous les services de cet hôpital soient entièrement fonctionnels, les patients continuent de fréquenter les autres hôpitaux publics, mais espèrent déjà que cet établissement flambant neuf est à la hauteur de leurs espérances. Quelques inquiétudes commencent, toutefois, à se manifester à propos du dispositif d’évacuation des eaux usées sorties de cet hôpital. Dans la mesure où aucune structure destinée au traitement des eaux usées n’est visible sur les lieux, celles-ci seraient-elles alors déversées dans l’Ikopa, ou alors vers l’autre versant ? La plus grande crainte des riverains et notamment des propriétaires des rizières à proximité, c’est de voir les eaux usées de l’hôpital « manara-penitra » emprunter les canaux d’évacuation des eaux pluviales et atteindre leurs champs. Les eaux usées issues d’un hôpital n’étant pas inoffensives, ni pour l’environnement, ni pour les activités agricoles, les craintes à ce propos sont légitimes.

Taxi-be. Quoi qu’il en soit, les usagers des services hospitaliers seront certainement nombreux à vouloir faire le déplacement lorsque ceux-ci seront totalement fonctionnels. Le volet transport est alors un aspect important pour la majorité des futurs patients et leurs familles. Jusqu’ici, l’endroit n’est desservi que par quelques lignes suburbaines de taxi-be, essentiellement par la ligne reliant Antananarivo à Ivato et celle d’Ambohitrimanjaka. Dans la mesure où la fréquentation de cette partie de la ville augmentera très certainement dès les premiers mois d’ouverture de l’hôpital, ce volet transport risque de devenir problématique pour le public. En font partie les familles de patients qui viendront rendre visite à leurs proches malades. Les visites se faisant généralement en fin de journée et en début de soirée, une telle perspective serait difficile à envisager pour les visiteurs non véhiculés, si ces des derniers ne sont pas assurés de pouvoir trouver un moyen de transport pour rentrer. Dans l’état actuel des choses, la probabilité de se retrouver au bord de la rue, attendant pendant de longs moments un hypothétique taxi-be en direction du centre-ville, reste assez grande ! Ou alors, mieux vaut n’y aller que durant la journée…

Hanitra R.

DE-CI…….DE-LA

0

#  Le « ba gasy » à l’honneur avec Sora-po au CGM. Transmettre à la nouvelle génération la sagesse de la culture malgache, la beauté de l’île, la douceur de sa nature, les pertinents messages des aînés, les traditionnels jeux d’enfants sans oublier le do-re-mi de l’amour.  « Sora-po » s’appelle en réalité Mami Rakotomavo et il est passionné de musique et la guitare est son instrument de prédilection. Il en joue avec maestria pour donner à ce « ba gasy » qu’il affectionne tout particulièrement. Samedi prochain, il sera sur scène au CGM avec son groupe.  Lui et ses camarades interpréteront des compositions fleurant  bon le terroir des hauts plateaux.  « Sora-po » mêlera avec bonheur le « ba gasy » et le classique. L’originalité sera au rendez-vous.

#  Issik au PUB. Ils ont chacun leur propre groupe. Le temps d’un concert, ils vont pourtant n’en former qu’un. Ils, ce sont Sanda et Sitraka Ranaivosoa, Jimmy Harrison, Titi Razakamiadana et Henintsoa Andriamasimanana.  Finaritra Razafindramboa donnera la touche féminine. La jeune chanteuse sera derrière le micro. Ce rendez-vous inédit, c’est ce samedi au Pub Ambatonakanga.

Recueillis par Patrice RABE / MAhetsaka