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jeudi, juillet 24, 2025
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Moramanga : Vazaha hita fay tao an-tranony

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Lehilahy iray teratany alemà no hita faty tao amin’ny efitrano fatoriany ny talata  lasa teo, tany Moramanga. Tamin’ny fizahana ifotony nataon’ny mpitandro filaminana no nahafantarana fa maty novonoina ity vazaha ity, nokendaina sy  notsatohana antsy teo amin’ny lohany. Gaga ny filoham-pokontany tao an-toerana, raha nahatsikaritra ny trano fonenan’ity teratany vahiny ity mbola tsy nivoha foana. Nanana ahiahy noho izany ireto farany ka nampandre avy hatrany ny mpitandro  filaminana. Nidina nijery ifotony tany amin’ilay trano ireto farany ka akory ny hatairan’ny rehetra fa ny fatin’ilay vazaha no novantanin’izy ireo tao amin’ny efitrano fatoriany tao. Tombanana ho ny alin’ny alahady hifoha alatsinainy teo no nanatanterahan’ireo tsy mataho-tody ity asa ratsiny ity. Araka ny fanampim-panazavana, manambady vehivavy gasy ity teratany vahiny ity ary any Moramanga izy ireo no mipetraka. Ity rangahy ity irery anefa no hita faty tao an-tranony nandritra. Mety ho ny hamono ity vazaha ity fotsiny koa no tena anton-dian’ireo olon-dratsy, satria tsy naka zavatra hafa tao an-trano izy ireo. Tsy nisy nahita rahateo ny zava- nitranga. Efa eo am-pelatanan’ny mpitandro  filaminana ny raharaha ka efa mandeha ny famotorana sy fikarohana ireo olon-dratsy.

r.s.

Chine : Des Malgaches vendues et abusées sexuellement, selon le SPDTS

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Jeannoda Norotiana, Présidente du SPDTS, non moins un défenseur des droits des travailleurs et des domestiques.
Jeannoda Norotiana, Présidente du SPDTS, non moins un défenseur des droits des travailleurs et des domestiques.
Jeannoda Norotiana, Présidente du SPDTS, non moins un défenseur des droits des travailleurs et des domestiques.

Le SPDTS, présidé par Jeannoda Norotiana a fait appel aux journalistes pour dénoncer l’existence d’une escroquerie à grande échelle mettant pour premières victimes d’innocentes Malgaches venant de Madagascar.   

Le trafic d’être humain continue à exister selon le Syndicat des Professionnels Diplômés en Travail Social (SPDTS), et de nouveaux cas seraient enregistrés tous les jours. Mais au grand étonnement de tous, voilà que la Chine est maintenant impliquée, d’après toujours ce syndicat. «Des filles malgaches sont vendues dans ce pays, pour devenir les objets sexuels de leurs acheteurs», indique Jeannoda Norotiana. Dans ce sens, elle a enregistré ses communications téléphoniques avec les victimes, en les faisant écouter aux journalistes réunis à son siège à Soamanandrariny. «Une fois arrivées, l’on nous fait subir des examens physiques pour connaître notre corps. Et c’est après qu’on nous met à la vente. Nos prix varient en  fonction de la couleur de notre peau», raconte alors les victimes dans la communication téléphonique. Ainsi, selon ces témoignages, si ces filles sont noires, leur prix serait de 20 millions d’Ariary. Et si elles ne le sont pas, elles seraient vendues à 24 millions d’Ariary. Selon toujours les témoignages, ces victimes arrivent par vagues depuis Madagascar, dont une vague comprendrait approximativement une vingtaine de personnes. D’après toujours le SPDTS, cela fait maintenant presque trois ans qu’un tel commerce a existé, mais il se serait toujours fait à l’insu de la grande majorité des Malgaches. «Même la plupart des parents des victimes ne savent pas que leurs enfants sont livrés à de tels trafics», raconte Jeannoda Norotiana, une vraie militante pour le respect des droits de l’homme.

Violées toutes les nuits. Jeannoda Norotiana continue : «La plupart des acheteurs seraient des fermiers répugnants, des invalides, et n’habitent pas les villes chinoises, mais dans les campagnes lointaines. Du coup, ces filles sont contraintes de faire les durs travaux d’homme». De leur coté, dans la communication à distance, les victimes racontent: «au lever du jour, on nous fait porter de lourdes charges pleines de champignons. Et toutes les nuits, nos maîtres nous obligent à faire des rapports sexuels avec eux. Chacune de nous est violée tous les soirs. Et quand ils ont peur que nous prenions la fuite, on nous enferme en groupe dans des maisons dont nous ne sommes même pas en mesure de localiser». Selon le SPDTS, la plupart de ces filles ne maîtrisent pas du tout la langue chinoise. «Par conséquent, elles ne peuvent pas vraiment indiquer leur vraie position». D’ailleurs, les voix dans les appels indiquent : «Nous ne savons même pas où nous sommes exactement».     

Centre commercial. En effet, selon toujours les informations recueillies auprès de ce syndicat des militants pour la lutte contre le non-respect des droits de l’Homme, avant de quitter Madagascar, ces filles auraient travaillé dans les centres commerciaux chinois, outre ceux de Tana. Ainsi, après qu’on leur aurait proposé une nette amélioration du niveau de vie une fois en Chine, elles auraient accepté. «On leur aurait promis de faire le même métier ou devenir des domestiques une fois arrivées en Chine», confie Jeannoda. Pourtant, selon les témoignages, ce n’est pas du tout ce qui a été convenue qui se présente une fois arrivées à destination. «Elles ont été victimes d’une escroquerie de la part de leurs agences de voyage dans les deux pays, Madagascar et Chine, ainsi que de tous ceux qui ont aidé pour leur voyage», dixit la numéro un du SPDTS. Et ce n’est pas tout, Jeannoda Norotiana poursuit en affirmant qu’une fois ces filles arrivées à destination, leurs papiers auraient été confisqués, les privant de tous leurs droits.

En outre, d’après toujours les SPDTS, les victimes auraient affirmé que deux femmes malgaches seraient au cœur de ce trafic. Par ailleurs, selon Jeannoda N., d’autres personnalités malgaches venant des ministères auraient également facilité leur sortie au pays, en faisant les signatures des visas. Jusqu’ici, la version des représentants des autorités chinoises à Madagascar n’a pas encore pu être obtenue. Un de nos confrères a déjà passé un coup de fil à l’ambassade de la Chine à Madagascar, hier. Mais on lui aurait répondu que les responsables ne seront là que lundi prochain.

Arnaud R.

Météo : La dépression tropicale Colin aux larges de Madagascar

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Les nuages et le soleil jouent à cache-cache dans le ciel de Tanà, c’est dire que la tempête tropicale Colin n’a pas encore de conséquences sur le temps qu’il fait à Madagascar. Néanmoins, Colin devrait évoluer au stade de cyclone tropical d’ici quelques jours, à surveiller de près les 12 et 13 janvier prochain. Situé à 3 000 km de la Réunion, c’est le troisième système dépressionnaire de cette saison cyclonique 2013-2014 dans l’Océan Indien. Cette tempête tropicale modérée se déplace rapidement, à 31 km/h vers l’ouest-sud-ouest. Malgré tout, le BNGRC et toutes les entités partenaires se tiennent prêts pour d’éventuelles interventions au cas où ce cyclone s’approcherait de Madagascar. Car si Colin se trouve encore à des milliers de kilomètres des côtes malgaches, la vigilance est de mise. Par ailleurs, un autre système dépressionnaire se trouvant dans le Canal du Mozambique se trouve désormais loin au Sud de Madagascar, et devrait rapidement se dissiper.

Anjara Rasoanaivo

Tennis – Championnat d’Afrique Australe : Vahia et Sariaka qualifiés pour le Kenya

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Sariaka Radilofe s’est inclinée en demi-finale.
Sariaka Radilofe s’est inclinée en demi-finale.
Sariaka Radilofe s’est inclinée en demi-finale.

Fin de parcours pour les deux jeunes raquettes malgaches Vahia Rabarijaona et Sariaka Radilofe, mais ils se sont quand même qualifiés pour les Championnats d’Afrique juniors à Nairobi, Kenya au mois de mars.

Sariaka Radilofe engagée pour les demi-finales devant la  Sud-africaine Corine De Wall s’est inclinée sur le score de 2 sets à 0, 6/0 -6/4. Elle jouera le match de la troisième place en quête de la médaille de bronze ce jour. Vahia Rabarijaona a battu Moses du Zimbabwe, hier, en match de classement par 2 sets à 1, 6/4 -1/6 – 6/1, il disputera la 5e place ce jour.
T.H

Guide du week-end

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Maître Gims au Coliseum. Plus qu’une journée à patienter ! C’est en effet demain après-midi le rendez-vous tant attendu avec le fameux Maître Gims. Les portes seront ouvertes dès 10 h 30. D’ailleurs, une séance de zumba sera au programme pendant la matinée. Les stars locales se relaieront sur scène en attendant l’entrée en scène de l’interprète de « Bella ». Y-Zit, Marion, Agrad & Skaiz, Meizah, Farah, Alson, Odyai, THT, Weez Jay… passeront l’un après l’autre. La star de la journée ne montera sur scène que vers 15 h. Il assurera une prestation de 45 mn. Oui, ce n’est pas suffisant mais c’est mieux que rien. Des Dj de renom assureront la suite de l’évènement.

Red Metal au CFM. Vony et ses compagnons de scène sont de retour ! Demain après-midi, le chanteur et ses musiciens vont investir le Centre Franco-Malgache. Intitulé « Black to blast », cet évènement est dédié au hard rock. Tous les grands succès de Red metal et d’autres titres, aussi hard que les leur, qu’ils affectionnent particulièrement, composeront également le répertoire. Vony, pour ce concert au CFM, sera accompagné de Zozo et de Nary à la batterie Poon, Deba et Njaka seront à la guitare et Mandimby à la basse. Se préparant à toutes les éventualités, le groupe a en réserve un « groupe électrogène » au cas où surviendrait une panne d’électricité.

Mahetsaka

Peste : Le ministère de la Santé publique se veut être rassurant

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Le ministère de tutelle invite les médias à ne pas frustrer l’opinion publique.
Le ministère de tutelle invite les médias à ne pas frustrer l’opinion publique.
Le ministère de tutelle invite les médias à ne pas frustrer l’opinion publique.

Face aux cas confirmés de peste et au nombre de décès liés à la peste, le ministère de la Santé publique veut rassurer la population en rappelant les gestes d’hygiène de base afin d’éviter de contracter la maladie.

Face à la recrudescence des cas confirmés de peste, le ministère de la Santé publique a publié un communiqué visant à rassurer la population quant à cette maladie. Ainsi, en septembre 2013, huit districts ont été particulièrement touchés par la peste. Il s’agit de Mandritsara, Soanierana Ivongo, Ikongo, Tsiroanomandidy, Ikalamavony, Moramanga, Andilamena, Manjakandriana. 319 personnes ont été suspectées d’avoir contracté la maladie, 79 d’entre elles en ont péri. Le ministère de la Santé publique ajoute que seul le district de Tsiroanomandidy compte encore des cas de peste, trois personnes y sont traitées. Il affirme alors que l’épidémie est totalement maîtrisée. Selon le ministère, le retard de l’arrivée de la personne infectée au centre de santé, entraînant le retard du traitement approprié, et la méconnaissance des procédures à prendre en cas de peste dans un périmètre constituent les raisons principales de cette épidémie.

Précautions. La peste est une maladie qui a existé depuis des millénaires. A Madagascar, la peste refait chaque année son apparition entre septembre et avril, faisant sur son passage des dizaines de morts. Cette maladie se transmet de rongeur en rongeur et atteint l’homme à travers les piqûres de puces. Ces cinq dernières années, 450 cas annuels ont été comptabilisés. 103 personnes en ont été tuées en 2012, elles étaient 192 en 2011. Le ministère de la Santé publique préconise alors de respecter quelques règles de base d’hygiène: en cas de toux, il faut masquer la bouche et le nez à l’aide d’un mouchoir, enlever les broussailles et tout ce qui peut attirer les rats et les rongeurs, bien nettoyer la maison afin d’éviter les puces, ne pas incendier les forêts et les plaines car cela pousse les rongeurs à trouver refuge dans les villages, et surtout piéger les rats vivants et les brûler vif dans des trous afin de tuer les puces infectées avant de les enterrer. Et si une personne est suspectée d’être infectée par la peste et montre certains symptômes tels que la fièvre, le mal de tête, elle a des ganglions, et tousse du sang, il faut au plus vite l’emmener dans un centre de santé et prévenir les autorités compétentes. A Madagascar, le traitement des malades de la peste est gratuit.

Anjara Rasoanaivo

Agriculture : 20 000 tonnes de semences de riz certifiées

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Les semences certifiées constitue l’un des piliers de développement de la filière rizicole. (Photo d’archives)
Les semences certifiées constitue l’un des piliers de développement de la filière rizicole. (Photo d’archives)
Les semences certifiées constitue l’un des piliers de développement de la filière rizicole. (Photo d’archives)

Les semences de riz certifiées mises en vente sur les marchés restent insuffisantes. On n’enregistre que 1 000 tonnes l’année dernière malgré le fait qu’il existe une dizaine de centres de production de semences localisés dans les zones à forte potentialité en riz dans toute l’île. On peut citer, entre autres, les régions du Nord-Est, Nord-Ouest, des Hautes Terres Centrales, du Sud-Ouest et du Centre-Ouest. Cette insuffisance de l’offre provoque cependant la baisse de la production rizicole dans tout Madagascar. Face à cet état de fait, le ministère de l’Agriculture en collaboration avec l’Agence Nationale de Contrôle de Semences sont à pied d’œuvre pour améliorer cette offre de semences de riz certifiées via la mise en œuvre de la stratégie national du développement rural.

Amélioration des recherches. L’objectif de cette stratégie consiste à déterminer la production de semences de riz certifiées dans les cinq années à venir. A cet effet, il est prévu que la quantité de semences rizicoles certifiées s’élève à 3 000 tonnes cette année. Cette offre va augmenter progressivement. Et d’ici 2018, la prévision de production de ces semences certifiées est de 20 000 tonnes, a-t-on appris de source auprès du ministère de tutelle. Entre temps, les recherches en matière de production de variétés de semences plus performantes et productives seront améliorées tout en tenant compte des impacts du changement climatique dans les régions productrices de riz. Force est de reconnaître que les semences constituent l’un des piliers de développement de la filière rizicole dans le pays.

Navalona R.

Cérémonie à la CENI-T : Nouveau boycott de la mouvance Ravalomanana

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La mouvance Ravalomanana a encore boycotté la cérémonie de proclamation des résultats provisoires des élections législatives qui s’est déroulée hier au siège de la CENI-T. En effet, aucun représentant de cette entité politique, à l’exception de Mahafaritsy Samuel qui était présent sur le lieu en tant qu’ancien président de l’Assemblée nationale et ancien Ambassadeur, n’a été aperçu à Alarobia. Faut-il rappeler que les leaders de cette mouvance politique ont décidé d’adopter cette position pour exprimer leur insatisfaction par rapport aux résultats provisoires du second tour de l’élection présidentielle. Pour eux, la CENI-T a modifié les résultats, puisque le Docteur Jean Louis Robinson est sorti vainqueur du scrutin du 20 décembre dernier.

Davis R

Université de Mahajanga : L’Emmo Reg tire à balles réelles, des blessés et des arrestations

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uneLe feu couvait depuis plusieurs mois déjà. Hier, la poudre a parlé

La Cité des Fleurs a connu une journée mouvementée, hier vendredi. Tôt dans la matinée vers 6 heures 30 minutes, un mouvement estudiantin a été réprimé durement  par des éléments de l’Emmo Reg. Selon des sources concordantes, les étudiants de l’université d’Ambondrona ont riposté par des jets de pierres.  Certaines sources avancent même que des étudiants auraient en leur possession des cocktails Molotov. Un « sakoroka » préparé au lourd bilan. Inférieurs en nombre, les militaires ont été contraints d’user des balles réelles pour couvrir leur retraite. Très vite, ils se trouvaient au milieu d’une meute prête à tout. Les contestations des étudiants remontaient au mois d’octobre de l’année 2013. Selon des sources estudiantines, leurs revendications tournent sur trois dossiers : logements, présence des hommes appartenant à une société de protection civile qui ont blessés plusieurs de leurs camarades le mois d’octobre de l’année dernière et surtout le retour de 14 étudiants frappés par une mesure universitaire. Montrés comme meneurs de grèves, ces individus ne pourront plus fréquenter les établissements universitaires du pays. Et le « sakoroka » a eu lieu. Hier, ils étaient au nombre de 500, selon les sources officielles, à manifester leur mécontentement, banderoles à l’appui. Et l’inévitable s’est produit quand les militaires leur ont interdit de manifester. Pris de cours, les éléments de l’Emmo Reg, dans un premier temps et pour disperser les manifestants, ont usé des grenades lacrymogènes.  Mais très rapidement, selon toujours nos sources, ils étaient à cours  de munitions. Face à eux, pourtant, les jets de pierres ont pris de l’intensité. Cernés de toute part, les militaires ont été contraints de se protéger. Selon un haut gradé, il est temps d’user de leurs armes pour se dégager. Et c’était à ce moment qu’un des manifestants a été atteint à la jambe par une balle réelle. Ce qui n’a pas du tout arrangé les choses. Et les affrontements ont pris une autre tournure. Et le bilan est lourd. Un étudiant atteint au ventre a nécessité une intervention chirurgicale à l’hôpital d’Androva. Un gradé de la gendarmerie a été blessé à la tête. Selon un du membre du collectif des étudiants, très en colères, quelques éléments incontrôlés ont perpétré des actes de vandalisme dans des bureaux de l’université. Ainsi, des bureaux ont été saccagés et une trentaine d’ordinateurs détruits.

Aux dernières nouvelles, tard dans la soirée de sources hospitalières, quatre personnes ont perdu la vie à Mahajanga, des étudiants.

r.s.

Atallah Béatrice : « En cas des élections partielles nous comptons sur le PACEM »

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7 heures de temps d’affilée  (de 10 h à 17 h), telle a été la durée de la publication des résultats provisoires des législatives du 20 décembre dernier. En marge de la cérémonie, le président de la CENI-T, Atallah Béatrice a déclaré que « s’il y avait des élections partielles, nous compterions sur le PACEM ». Pour en revenir à la publication des résultats, Atallah Béatrice a spécifié qu’il y avait eu 2 054 dossiers de candidature reçus  pour 151 sièges à pourvoir.

Validation. Lors de son allocution elle n’a pas manqué aussi de parler des opérations de collecte,  de contrôle, de saisie et de validation des suffrages respectifs des 2 054 dossiers. Une fois saisies, les données ont été communiquées pour un contrôle de conformité au Centre National du Traitement des Données Informatiques (CNTDI). Elles ont ensuite été validées par les commissaires nationaux, puis enregistrées, partagées avec les CED et mises en ligne sur le site internet de la CENI-T.

Rapport d’activité. Elle a tenu également à signaler que « la CENI-T va s’atteler à la rédaction de son rapport d’activité au cours des 22 mois passés. Nous entamerons cet exercice tout en sachant que l’article 10.a de la Feuille de route assigne expressément à la CENI-T la mission d’organiser trois types d’élections, la présidentielle, les législatives et les municipales ». Sur ces dernières élections, le président de la CENI-T  de remettre cette décision entre les mains de celui qui va être élu président de la République. Etant donné, a-t-elle mentionné, que le président de la République met fin au mandat général de la CENI-T, de ses démembrements, par décret pris en conseil des ministres.

Dominique R.