C’est une solution pour la bonne gestion du carburant aussi bien pour les particuliers que pour les entreprises et même l’administration. Vivo Energy qui assure la distribution et la commercialisation des carburants et lubrifiants Shell innove. Elle vient de lancer sur le marché la nouvelle carte de recharge Liberta qui a fait l’objet, avant-hier d’une présentation en grande pompe au Carlton. Première monétique à Madagascar dans le secteur de l’énergie, Liberta est pratique, simple à acquérir et à utiliser et surtout disponible dans une multitude de vendeurs agréés. Bref, il s’agit d’un moyen de paiement moderne, simplifié, sécurisé et rechargeable à souhait. La carte Liberta qui est déjà disponible sur le marché se décline en valeurs faciales de 500 000 ariary, 80 000 ariary et 145 000 ariary, avec coût d’acquisition initiale de seulement 1500 ariary. Une carte de recharge qui permet à son utilisateur de régler ses dépenses en carburants lubrifiants et autres services disponibles dans les stations-service Shell et également de gérer ses dépenses en rechargeant la carte selon ses besoins. En tout cas, en mettant sur le marché cette nouvelle carte de paiement en station-service, Shell Vivo Energy Madagascar vient de créer un événement commercial majeur, et offre aux consommateurs une facilité de gestion des carburants.
Le candidat malheureux au 1er tour Fetison Rakoto Andrianirina soutient Jean Louis Robinson.
Le candidat malheureux au 1er tour Fetison Rakoto Andrianirina soutient Jean Louis Robinson.
Président du parti RDS (Renouveau pour la Démocratie Sociale), il donne ses analyses de la situation politique actuelle.
Midi :Vous êtes un des candidats malheureux du premier tour de la présidentielle. Comment voyez-vous votre avenir politique ?
FRA :« Je tiens à réitérer mes sincères remerciements à toutes et à tous ceux qui m’ont donné leur confiance. L’exploitation de mon score, aussi faible soit-il, va me permettre de mieux connaître les besoins réels des électeurs, outils indispensables devant m’aider à bien préparer et asseoir mon parcours politique qui, j’en suis convaincu, ne s’arrêtera pas là. »
Midi : Dès le soir du 25 octobre 2013, vous avez déjà déclaré votre soutien au candidat Robinson. Pourquoi ?
FRA :« Nous nous efforçons de changer la manière de faire la politique à Madagascar. La politique n’est pas toujours une question d’intérêts personnels ou du Parti. Le Renouveau pour la Démocratie Sociale (RDS) entend défendre et promouvoir les valeurs universelles dont se nourrissent la démocratie et les libertés fondamentales à Madagascar. Il est évident qu’il ne peut en aucune manière défendre, de près ou de loin, celles ou ceux qui se sont comportés comme les fossoyeurs de cette démocratie. Je trouve très logique qu’instinctivement notre Parti a tout de suite soutenu le candidat Jean Louis Robinson. Décision parfaitement partagée par les adhérents. »
Midi : Jean Louis Robinson est soutenu par l’ancien Président en exil en Afrique du Sud. Est-ce à dire que vous êtes favorable pour le retour de ce dernier à Madagascar ?
FRA :« Pour avoir une vision plus claire et précise sur ce dont Madagascar a réellement besoin, il ne faut jamais confondre la défense des valeurs et principes à un adoubement d’une personne. Marc Ravalomanana doit revenir à Madagascar au même titre que les autres exilés politiques. Madagascar a besoin de tous ses enfants pour assurer son redressement et après une longue période de crise et de surcroît cyclique, personne ne peut prétendre y arriver tout seul. Dirigeants, opposition et l’ensemble de la population doivent se donner la main pour cet élan de redressement. »
Midi : D’après vous, les révélations entendues lors du second débat télévisé concernant la bi-nationalité et l’adhésion au Parti Socialiste Français de Jean Louis Robinson constituent-elles une force ou une faiblesse pour ce candidat ?
FRA :« Nous évoluons dans un monde devenu multipolaire, le domaine économique doit primer sur toutes les décisions. Madagascar, de par son positionnement géographique et ses richesses, est courtisé de toutes parts. La relation avec la France doit évoluer ensemble dans le respect d’intérêts réciproques entre partenaires. Pourquoi la France et Madagascar ne pourraient évoluer ensemble à travers des intérêts réciproques à fixer d’accord parties ? Un bon accord sincère et sans arrière-pensées avec Madagascar garantit à la France une présence pacifique dans cette zone de l’Océan Indien et du Canal de Mozambique. Monsieur Robinson peut assurer ce rôle. Le Parti RDS, partage aussi certaines valeurs du Parti Socialiste Français. »
Midi : Pour terminer, comment voyez-vous l’après-deuxième tour ?
FRA :« Face aux rumeurs de fraude, j’invite la population Malagasy à venir voter massivement et ce, en faveur du candidat Jean Louis Robinson afin d’écarter toute velléité de remise en cause des résultats de cette élection. Un écart de voix substantiel entre les deux candidats priverait Madagascar d’une nouvelle crise ; notre priorité étant de parachever le processus de réconciliation et le redressement socio-économique de notre pays. »
L’ambiance de fête sera au rendez-vous de la Grande Braderie de Madagascar.
L’ambiance de fête sera au rendez-vous de la Grande Braderie de Madagascar.
Une trentaine de nouveaux participants font leur entrée dans la Grande Braderie de Madagascar. Preuve que cet événement attire encore et toujours les professionnels de la distribution.
Les produits spécifiques de Noël et des fêtes de fin d’année, comme les jouets, l’habillement, la mode et autres cadeaux seront évidemment au premier rang lors de la prochaine édition de la Grande Braderie de Madagascar spécial Noël qui se déroulera au Palais des Sports et de la Culture du 18 au 23 décembre prochain.
Prix réduit. Mais tous les autres produits ne seront pas en reste, puisque le propre de la Grande Braderie de Madagascar, l’événement commercial grand public qui connaît le plus de succès à Madagascar est de pouvoir proposer aux milliers de visiteurs des gammes d’articles de tous les secteurs d’activités dans un même endroit et à prix réduit. Alimentation, textile, multimédia, téléphonie, musique, chaussures, bref de quoi satisfaire tout le monde par un peu moins de 300 participants qui feront tout, en termes de qualité et de prix pour satisfaire le public. Un public de plus en plus exigeant et qui réclamera probablement la réduction des prix qui fait aussi la renommée de la Grande Braderie de Madagascar.
Nativité. Sur ce point, d’ailleurs, Harilala Ramanantsoa Présidente de Madavision a encore confirmé, hier lors d’une conférence de presse qu’outre l’obligation d’affichage des prix de tous les produits, des contrôles systématiques seront effectués pour vérifier, si les participants jouent bien le jeu de la remise d’au moins 15 %. Mais en fait, certains participants qui veulent liquider au plus vite leur stock feront mieux et iront jusqu’à 50 % de réduction. Côté animation, l’ambiance sera évidemment à la Noël car Madavision et ses partenaires, ainsi que les participants eux-mêmes mettront naturellement la décoration spécifique de la Nativité. Quant à la restauration, Salone sera là avec ses nombreux produits alimentaires, mais il y aura également d’autres restaurants pour des cuisines variées.
Microcred. Enfin, la grande nouveauté de cette édition spéciale Noël sera à coup sûr, la présence de Microcred Banque en tant que sponsor officiel. Banque de proximité, mais faisant également office d’institution de microfinance, Microcred s’approchera donc encore davantage du grand public, durant la Grande Braderie de Madagascar où elle prouvera qu’elle est vraiment faite pour les personnes qui sont exclues du système bancaire ou qui ont des difficultés à se procurer de crédits. Microcred proposera aux participants et aux visiteurs de la Grande Braderie des offres de produits et services diversifiés et adaptés aux besoins de chacun.
La signature de convention entre l’Union européenne, la CUA via le Samva, l’Apipa et l’ONG Lalana, d’une valeur de 3,3 milliards Ar, a eu lieu hier matin. Cette aide de l’UE porte sur les projets de réduction des risques d’inondation dans les bas quartiers de Tanà.
Une montée des eaux jusque dans la chaussée, dans des quartiers comme Andrefan’Ambohijanahary hier, cause des embouteillages monstres dans la ville. En réalité, ces montées des eaux usées ne font que favoriser tous les risques de maladies liées à l’insalubrité, d’autant plus que les tonnes d’ordures partout à Tanà ne font qu’augmenter tous ces risques. Aujourd’hui, ce sont toutes les catégories de population qui s’exposent à ces maladies. La commune urbaine d’Antananarivo est en ligne de mire quant à l’assainissement de la ville. Celle-ci, visiblement débordée, a donc fait appel aux bailleurs de fonds internationaux pour la soutenir dans ses tâches. L’Union européenne a donc offert une enveloppe de 3,3 milliards Ar afin de mettre en œuvre les projets de réduction des risques d’inondation dans les bas quartiers, pour une durée de 8 mois. Cette somme sera répartie entre la CUA via la Samva, le service chargé de l’assainissement et de la maintenance de la ville, l’Apipa et l’ONG Lalana.
Assainissement. La CUA projette donc de mettre tout en œuvre, pour les 2 prochains mois, à assainir la ville. Il s’agira d’actions d’urgence de maintenance des infrastructures du système de drainage et de curage des canaux de la ville. A plus long terme, il s’agira de réduire les risques d’inondation par le nettoyage et le curage de 80 km de canaux de drainage se déversant vers le canal Andriantany dont 115 ha de bassins tampon, mais aussi d’évacuer les déchets vers la décharge d’Andralanitra et la réparation des équipements mécaniques et électriques de 5 stations de pompage. Quant à l’APIPA, il s’agit du drainage de 50 km de canaux, 105 ha de bassins tampon et une station de pompage à nettoyer et 35 km de canaux de drainage à curer. L’ONG Lalana assurera la sensibilisation des habitants des 88 fokontany vulnérables des 6 arrondissements qui seront concernés par le projet. Mais un bon geste citoyen commence aussi par soi, en évitant de jeter des ordures dans les canaux.
A presque 10 jours de Noël, la ville se pare de toutes ses couleurs. Les boutiques de jouets scintillent, surtout aux yeux des enfants, il en est de même pour les aires et les centres de jeu pour enfants. A la galerie Smart à Tanjombato, Okalou organise une grande parade magique et féérique avec comme personnages les Dora, les Mickey et Minnie… Défilé, saynètes et danses, petit train… il y en aura pour tout le monde. D’autres animations viendront s’ajouter à cela, tel le cirque de Noël, Just dance, simulateur de course ou encore jeux en bois style kermesse.
S’il est élu Président, Jean Louis Robinson ne sera plus au second plan par rapport à Marc Ravalomanana.
S’il est élu Président, Jean Louis Robinson ne sera plus au second plan par rapport à Marc Ravalomanana.
La classe politique se pose des questions sur les termes du « deal » entre Marc Ravalomanana et Jean Louis Robinson qui se sont rencontrés plus d’une fois en Afrique du Sud. Sans compter les coups de fil de l’un à l’autre et vice-versa.
Tout ce qu’on sait parce que les deux parties le font savoir, c’est que Jean Louis Robinson a pris l’engagement de faire revenir dare-dare Marc Ravalomanana au pays, s’il est élu Président de la République. Celui qui est devenu le candidat par substitution ou par défaut (c’est selon) des « Zanak’i Dada » suite à la disqualification de Lalao Ravalomanana, s’engage aussi à nommer cette dernière à la Primature tel qu’il l’a dit et redit urbi et orbi depuis la campagne pour le premier tour.
Négociations. Ce que l’on sait moins, c’est qu’entre autres clauses de l’accord, Marc Ravalomanana aurait également exigé la moitié des ministères. Une contrepartie somme toute logique car le candidat n°33 ne serait sans doute pas arrivé en tête au soir du 25 octobre dernier, s’il n’avait pas bénéficié du soutien actif de l’ancien Président et de sa mouvance. Jean Louis Robinson n’aurait d’ailleurs pas caché cette condition de Ravalo lors de ses négociations avec des candidats éliminés au premier tour. Les uns ont fait avec et les autres visiblement pas.
Ministères-clés. Par contre, on ne sait pas trop les portefeuilles demandés par l’ancien Président en exil pour sa mouvance ou les « Zanak’i Dada » (c’est du pareil au même), quoiqu’il soit à peu-près sûr qu’il s’agit des ministères-clés pour ne citer que celui des Finances et du Budget. Pour sa part, Jean Louis Robinson, s’il sort victorieux du scrutin du 20 décembre prochain, aura la haute main sur les ministères des Forces Armées et des Affaires Etrangères qui font traditionnellement partie des domaines réservés du Président de la République. Et ce, même si des proches de Faravohitra rentrés d’exil, semblent avoir des visées sur des ministères de souveraineté qui relèvent des pouvoirs régaliens du Chef de l’Etat. De toute façon, en faisant savoir que ce sera lui seul le Président s’il est élu, Jean Louis Robinson se veut être loyal mais pas vassal.
: Les nombreuses personnalités du monde universitaire entourant l’ambassadeur de Chine, SEM. Yang Min. (Photo Yvon RAM)
Institut Confucius. Depuis son ouverture, il y a cinq ans, on constate l’intérêt croissant des jeunes pour la langue de Mao.
: Les nombreuses personnalités du monde universitaire entourant l’ambassadeur de Chine, SEM. Yang Min. (Photo Yvon RAM)
Le chinois est une des langues de communication les plus utilisées dans le monde. Comment pourrait-il en être autrement, puisque le nombre de ses locuteurs dépasse le milliard et demi d’individus dans le monde ? L’importance de la Chine, sa civilisation et son poids démographique et économique expliquent le rôle que ce pays joue sur le plan international. Les Malgaches commencent eux aussi à s’intéresser à sa culture. A l’université d’Ankatso, l’Institut Conficius dispense un enseignement académique à des étudiants voulant apprendre cette belle langue. Des centaines d’apprenants l’ont fréquenté durant ses cinq années d’existence. Un certain nombre d’entre eux ont continué leurs études supérieures dans des universités chinoises. Ceux qui sont revenus au pays ont tout de suite été embauchés dans des entreprises chinoises installées à Madagascar. C’est donc avec une certaine fierté que les responsables de cet institut ont dressé le bilan de leurs activités lors de la célébration du cinquième anniversaire de cet établissement universitaire, hier matin. Quinze professeurs malgaches et vingt expatriés chinois y enseignent. La cérémonie a vu la présence de l’ambassadeur de Chine à Madagascar, SEM. Yang Min et de nombreuses personnalités du monde universitaire. Une salle de documentation informatique dotée de quinze ordinateurs a été inaugurée à cette occasion.
Le niveau d’une discipline sportive dépend en première partie de la priorisation de ce sport. La mise en valeur des sportifs aussi est requise. Mais un accent sur les infrastructures est un autre choix qui vaut le coup. Le tennis de table par le biais d’une famille de passionnés le fait actuellement. Côté marketing, la marque Korrola sait jouer dans l’arène du sport. Elle offre un revêtement carré au gagnant des jeux de pronostics pour les championnats de Madagascar de tennis de table. Mieux, pour tout le mois de novembre et celui de décembre, ils font un prix spécial et des facilités de paiement pour les clubs ayant un certificat de conformité.
Pour Gilles Hugon, les défaites font aussi partie de l’apprentissage.
Pour Gilles Hugon, les défaites font aussi partie de l’apprentissage.
Première sortie et premiers couacs pour l’entraîneur français Gilles Hugon qui a tenu à s’expliquer avec les journalistes, hier au centre de Carion.
Un aveu d’impuissance en fait pour l’ancien entraîneur des Astres FC de Douala qui reconnaissait qu’il s’attendait à de tels résultats, un retentissant camouflet en fait avec 5 à 1 contre l’Angola et 6 à 0 face au Mozambique.
« On ne peut pas faire grand-chose devant des joueurs angolais de 23 ou 24 ans alors que nous étions venus pour faire une évaluation sur le potentiel des jeunes membres du Barea Academy », explique-t-il.
N’empêche, la sévérité des scores plus adaptés au tennis qu’en football, renvoie tout le monde à l’objectif initial de cet Academy qui est de redorer l’image du football malgache. L’insuffisance de résultat est le seul argument ayant conduit la FMF à faire une croix sur les compétitions seniors. Aussi et en revenant sur les résultats au Mozambique, on peut parler d’un échec. Cuisant qui plus est.
Au-delà de l’essai de Gilles Hugon en effet, Madagascar avait aussi une réputation à défendre en remportant ce même tournoi en 2005. On ne reviendra pas sur l’âge réel ou pas de Pamphile, Eddy et les autres à l’époque, mais on retiendra que cela avait au moins marché. Tout simplement parce que Titi Rasoanaivo et Jean Marie Razafiarison ont pris des joueurs évoluant dans l’élite malgache et donc capables de faire jeu égal avec d’autres géants africains.
Et quand Gilles Hugon insiste sur sa volonté de maintenir le groupe tel qu’il est, c’est-à-dire une catégorie bâtarde allant de 16 à 20 ans, on ne sait plus vraiment où il veut en venir. A moins d’être…débile.