En marge de la cérémonie d’inauguration des locaux de l’ITBM, le Premier ministre, Jean Omer Beriziky a apporté des explications sur la nomination d’Officiers supérieurs à la place des chefs de région. « Contrairement aux critiques, cette décision ne consiste pas à donner les pouvoirs aux militaires, d’ailleurs, elle a été prise conjointement avec le président de la Transition et la ministre de tutelle », a-t-il soutenu. Et lui d’expliquer que ce sont les responsables au niveau des régions classées zones rouges en matière d’insécurité qui ont été remplacés. D’après le PM, « la nomination de personnalités neutres est nécessaire vu le contexte politique actuel. D’autant plus que la nomination des chefs de région a toujours été une nomination politique ». A noter que les nouveaux chefs des régions Atsimo Andrefana, SAVA et Diana ont rendu une visite de courtoisie à la ministre de la Décentralisation, Ruffine Tsiranana hier. Une occasion pour la ministre de rappeler à ces hauts responsables leurs missions qui consistent à l’élection et à la lutte contre l’insécurité.
Tamin’ny efatra ora sy sasany, omaly, no taitra tampoka ny olona raha nahita firehetana tao amin’ny trano iray tetsy Analakely. Rehefa nohamarinina dia trano fitehirizana entan’ny « Le Glacier » izy io. Herinaratra nifandray, na « court-circuit », hatreto no heverina fa nitarika ny loza. Maro ny entana kilan’ny afo tao. Na izany aza anefa dia vetivety dia voafehy ihany ny afo rehefa tonga teo an-toerana ny mpamonjy voina avy etsy Tsaralalàna, tsy dia mifanalavitra loatra an’Analakely. Na izany aza anefa dia sahirana ihany ny mpamonjy voina indraindray, toa ny omaly, noho ny tsy fisian’ny fantson-drano (bouche d’incendie). Tsy maintsy izay rano entiny amin’ny kamiaony ihany no ampiasaina noho ny fahasimban’ireny fantson-drano izay misy isaky ny kartie ireny. Vokatr’izany, raha lany ny rano nentina dia tsy maintsy mamatsy indray, na koa manafatra kamiao hafa. Tsy mba nisy mihitsy ny drafitr’asa mba ho fanarenana ny fantson-drano teto an-drenivohitra. Ekena fa ny fako sy ny loto aloha no tena laharaham-pahamehana. Fa ny firehetana ihany koa rehefa mitranga dia mety mbola ambony lavitra noho ireo ny afitsony. Indrindra amin’ity Antananarivo feno fanamboarana tsy ara-dalàna ity, hany ka lasa mivongovongo ny trano fonenana, na ny elakelan-trano aza zara raha misy.
Jocelyn B. Radifera s’en est allé. On garde de lui des souvenirs impérissables mais surtout, celui d’un homme discret et efficace, chaleureux et d’une très grande compétence.
Orphelin très tôt, Jocelyn B. Radifera fut élevé avec son frère Jackie et sa sœur Mireille par ses grands- parents. Louis et Alice (Mama Bako) Rakotomalala, premier Ambassadeur de Madagascar aux Etats-Unis et auprès des Nations unies à New York (1960-1968), un homme pétri de culture et de civilité et d’un héritage séculaire. L’éducation qu’il en a reçu l’aura conduit à la carrière et aux qualités humaines qui l’ont fait apprécier dans ses activités et ses relations.
Carrière. Intelligence vive, grande finesse d’esprit, Il est devenu un grand technicien de la Finance. Sa carrière a commencé à Madagascar à la Banque Nationale de l’Océan Indien (1967-1969), après ses études de Finances et Affaires Internationales à Howard University à Washington et à l’Ecole Bancaire de la Banque Nationale de Paris. Il le poursuivra à la Banque Mondiale, Département des Opérations Financières Internationales(1969-1997) en enrichissant sa formation et son expérience dans le domaine. Ainsi, il suivit le Corporate Finance Program de Harvard University à Boston ( 1971) et l’Executive Development Progam (niveau 1 à 3 de 1987 à 1991). A la Banque Mondiale, il fut Cadre Principal en Finance Internationale puis Chef de Division en charge notamment des emprunts de la Banque Mondiale sur les marchés de capitaux des pays asiatiques, du Moyen Orient et des pays scandinaves ainsi que de la coordination des marketings financiers et des instruments financiers spéciaux pour les banques centrales ainsi que de l’assistance technique financière aux banques centrales selon leurs besoins. Il fut aussi administrateur des dettes financières de la Banque Mondiale. Après sa retraite de la Banque Mondiale, il s’installa comme consultant en Finance et Investissements (1997-2004) avant d’entamer une grande carrière diplomatique en tant qu’Ambassadeur Extraordinaire et Plénipotentiaire de Madagascar au Japon (2004-2007) avec juridiction sur la Thaïlande, Singapour et la Corée du Sud puis aux Etats-Unis (2004-2010) avec résidence à Washington.
Relations publiques. Doué d’un véritable talent pour la diplomatie, l’Ambassadeur Radifera maintint au Japon, où il avait déjà officié comme directeur adjoint de la Banque Mondiale, des activités de relations publiques importantes pour une meilleure visibilité de Madagascar dans le cadre notamment du Forum de la société civile avec la TICAD. C’est durant son mandat que la qualité des relations entre Madagascar et les Etats-Unis a atteint son pic avec le programme Millenium Challenge Compact dont Madagascar fut le premier signataire et le premier bénéficiaire. C’est avec beaucoup de talent qu’il a assumé ses fonctions d’ambassadeur au profit de Madagascar durant les années Bush et les premières années Obama.
Madagascar perd en lui l’un de ses fils les plus brillants sur la scène financière internationale et diplomatique. Jocelyn Radifera laisse une veuve, Erna Radifera, elle-même staff du Fonds Monétaire International, et deux fils qui lui ont donné 5 petites filles. Notre journal réitère à sa famille toute sa sympathie et ses sincères condoléances.
Un atelier de renforcement de capacité des femmes candidates aux législatives s’est tenu le 20 novembre dernier, à Antsiranana. Portant notamment sur le cadre juridique et les médias. Avec la participation d’une vingtaine de candidates provenant des différents districts des régions SAVA et DIANA. Cet atelier a été organisé par la CENI-T, en collaboration avec la Plate-forme des femmes en politique de l’Océan Indien et le PNUD. Lors de son intervention, la représentante résidente du PNUD, Fatma Samoura, a tenu à rappeler qu’« il serait illusoire de parler de développement durable si les femmes qui sont des artisanes de ce développement ne font pas partie de celles qui votent les lois, élaborent des stratégies de développement et veillent à leur exécution ».
Le Centre Ilaiko, sis à Soavimasoandro et à Manarintsoa Isotry, un projet dans le cadre de la préservation de la sécurité humaine, en collaboration avec l’Unicef Madagascar et d’autres collaborateurs techniques et financiers, a procédé hier à la remise de certificat de fin de formation pour 160 personnes, enfants et adultes, issues des familles les plus défavorisées, après avoir suivi une formation en sécurité humaine et en micro-entrepreneuriat. Une formation gratuite donc. En effet, le but est d’aider les plus défavorisés, selon les explications d’Oméga Razanakolona, Coordinatrice Générale du Centre Ilaiko. En effet, après cette formation, chacun de ces bénéficiaires recevra 50 000 Ariary comme fonds de soutien à son projet, a-t-on confirmé.
750. Selon toujours les explications, depuis la création du Centre, plus de 750 individus y étaient déjà passés, et ont tous également pu tirer des bénéfices. En effet, le Centre accueille les individus, adultes ou enfants, issus des familles les plus démunies pour créer à la fin leurs propres projets à leurs choix, dont 70% pour le commerce, 20% pour la transformation, et 10% pour les services. Outre ces formations pour les concrétisations de projets, le Centre propose également d’autres services, entre autres, service accueil pour tous ceux qui ont besoin de conseil pour leur parcours économique, etc. En ce qui concerne la formation, elle a duré 30 heures.
Pour répondre aux principaux grands soucis des parents à l’égard de leurs enfants, les Lions et Leos de Madagascar lancent un programme de transfert de compétences humaines aux jeunes. C’est le Programme « LIONS QUEST », fruit d’une recherche ayant emmené l’UNICEF et l’OMS à établir que “les compétences humaines”, éléments-clés pour l’épanouissement des jeunes. En effet, Lions Quest est un ensemble d’outils pédagogiques pour l’épanouissement personnel, ayant comme cibles les jeunes des écoles primaires, des collèges et des lycées. Trois ateliers ont été ainsi réalisés, pour sensibiliser et mobiliser respectivement les Lions et Leos d’Antananarivo (19 octobre), les Lions et Léos de la SAVA avec les partenaires potentiels (30 octobre), et les partenaires au niveau central (le 2 octobre). Le Comité Directeur du programme, dirigé par le Lions MJF Zelh Randrianjanahary, en est l’organisateur. Et les 5, 8 et 9 novembre, l’on a procédé au montage du dossier de demande de subvention auprès de la Fondation du Lions Clubs International, pour la mise en œuvre d’un projet pilote. Ledit projet concernerait la clé pour «l’adolescence», à réaliser au niveau d’un collège privé de Sambava et du CEG Nanisana.
34 000 $US. En outre, l’atelier de plaidoyer, auquel ont assisté les sommités Lions, dont les Past-Présidents de Conseil de Gouverneurs, Paul-France Giraud, Louis Sagot, et le Past-Gouverneur Claude ANDREAS, ainsi que celles de l’Education Nationale, Samuelson Daumet Randriakoto, Directeur de l’Education Fondamentale, et de Jean Paul Razafiarisaona, Directeur des Curricula, ainsi que des Intrants: Jean-Baptiste Randrianandrasana, Directeur de l’Office de l’Education de Masse et du Civisme. Une occasion pour le Comité Directeur de présenter le dossier de projet ficelé. Les participants se sont mis d’accord pour poursuivre la démarche afin de démarrer le projet pilote en février 2014, et la formation des enseignants en juin 2014. Notons que le montant du projet s’élevée 34 000 $US, dont les contributions nationales couvriront plus des 25%.
D’après nos sources, les Sous-officiers refusent pour le moment de rouler pour cette manœuvre de « déstabilisation ».
La cérémonie de proclamation officielle des résultats du premier tour de l’élection présidentielle aura lieu ce jour au siège de la Cour Electorale Spéciale à Ambohidahy. Alors que le peuple malgache attend impatiemment cet évènement qui nous permettra de se concentrer sur le second tour, certains politiciens avides de pouvoir tentent d’autres manœuvres pour torpiller le processus. En effet, mis à part certains politiciens et quelques candidats malheureux du premier tour qui réclament l’annulation des résultats du scrutin du 25 octobre dernier, et certaines entités politiques qui persistent et signent en annonçant que « l’élection ne constitue pas une solution à la crise », l’on a également appris qu’un lobbying est actuellement en cours au niveau des casernes pour convaincre les Hommes en treillis de soutenir un éventuel projet de mise en place d’un Directoire militaire ou d’une Transition-bis (c’est selon). Ce serait le cas d’un Officier Général en retraite qui, durant cette période d’entre-deux-tours, aurait dirigé plusieurs rencontres avec des Officiers supérieurs qui sont toujours en service. Ces rencontres qui se seraient tenues à Antanimena et du côté d’Andoharanofotsy, auraient été une occasion pour cet Officier supérieur très connu de convaincre les militaires à soutenir son projet. Par ailleurs, dans ce sens, des tractations seraient déjà en cours au niveau des casernes. En tout cas, d’après nos sources, les Sous-officiers refusent pour le moment, de rouler pour cette manœuvre de « déstabilisation ». Faut-il rappeler qu’au mois de mai dernier, les Forces armées se sont engagées à respecter la neutralité et les principes de l’éthique et de la déontologie.
« Action ». En tout cas, la question est de savoir à qui profite cette nouvelle « action » qui est toujours en gestation. Bon nombre d’observateurs pointent du doigt les politiciens membres de l’Alliance pour la Paix et la Refondation de la Nation (APRN) qui ont entrepris plusieurs mouvements pour contester la tenue des élections. D’ailleurs, plus d’un pense que cette alliance composée des mouvances Ratsiraka et Zafy serait soutenue indirectement par la mouvance Rajoelina. Une information qui a circulé depuis quelque temps mais dont la véracité reste à vérifier. Certains observateurs estiment également que le Pasteur Mailhol pourrait être impliqué dans ce projet. Ce dernier qui a toujours annoncé qu’il deviendra président de la République en 2013, pourtant, à un mois et demi de la fin d’année, son accession au pouvoir reste encore incertaine, voire impossible. En tout cas, il est fort possible que les autorités transitoires ont déjà été mises au courant de l’existence de ce projet de coup d’Etat, c’est pourquoi le Conseil des ministres a décidé dernièrement de nommer des Officiers supérieurs aux postes de Chef de région. Au cours de la conférence de presse qu’ils ont tenue hier, l’Emmoreg a déjà lancé une mise en garde contre tous ceux qui envisagent de provoquer des troubles pendant et après la cérémonie de proclamation des résultats définitifs de la Présidentielle qui se tiendra ce matin à Ambohidahy.
L’équipe de la GNVB termine la compétition à la 5e place. (Photo d’Archives)
L’équipe de la GNVB termine la compétition à la 5e place. (Photo d’Archives)
La GNVB s’empare de la 5e place après leur victoire devant leurs compatriotes de l’AS Tiavo, hier à la Coupe des Clubs Champions de la Zone 7. Les joueuses de Stef’Auto de Toamasina tenteront une place pour la finale ce jour face à Curepipe Starlight de Maurice.
Les champions de Madagascar de la Gendarmerie Nationale du Volley-ball (GNVB) ont achevé la 20e Coupe des Clubs Champions de la Zone 7 sur une bonne note.Ils ont tenu leur rang, hier, au Gymnase de Pandit-Sahadeo à Vacoas face aux volleyeurs de l’AS Tiavo. C’est sur le score sans appel de 3 sets à 0, (25-22, 25-17 et 25-16) que les Antsirabéens se sont imposés devant les Franco Ravelomantsoa et consorts. Une victoire qui place la GNVB à la 5e place du classement général chez les hommes. Une nette amélioration par rapport à l’édition à domicile en 2012.
Il est à signaler que cette rencontre n’est autre que le remake de la finale du Championnat de Madagascar entre les deux équipes dont la rencontre a été interrompue. Sans tergiverser la GNVB n’a pas démérité à son titre.
Stef’Auto joue son va-tout. Du côté des dames, les Championnes de Madagascar et vice-championne de la Zone 7 de Stef’Auto tenteront un exploit inédit cet après-midi pour les demi-finales. Handicapée par le manque d’effectif avec 7 joueurs seulement et sans entraîneur, la troupe à Melissa, Rose de Lima, Lalah, Nadjmah et compagnie devront défier les Mauriciennes du Curepipe Starlight hôtes de la compétition. « On a une réelle chance de se qualifier pour la finale. L’adversaire est prenable et surtout le moral de la troupe est au beau fixe. On va montrer que même avec un sous-effectif, on peut y arriver » a souligné Nadjmah, la capitaine de l’équipe malgache. L’année dernière, les volleyeuses de l’Est ont déjà battu ces Mauriciennes, mais cette fois-ci, elles évoluent à domicile et devant un public acquis à leur cause. Autant le dire que l’optimisme est de mise quant à une qualification de l’unique représentante féminine de la Grande Ile pour la finale. En cas de victoire, elles affronteront une équipe réunionnaise soit le Saint-Denis Olympique ou le Volley-ball Côte Ouest en finale.
Un vidéo projecteur remis à l’association Serasera.
Un vidéo projecteur remis à l’association Serasera.
Airtel Madagascar ne se lasse jamais des actions sociales. Cette fois-ci, c’était au tour de l’association Serasera de recevoir des matériels, en l’occurrence : un vidéo projecteur, 2 lits jumeaux et 2 matelas. Ces matériels remis par une délégation d’Airtel Madagascar conduite par Mme Mina Razafimahefa permettront à cette association de mieux assurer sa mission qui est d’écouter et de recevoir les jeunes âgés de 15 à 24 ans en leur proposant des services d’information, de conseil et d’orientation sur la santé reproductive, la dépendance aux produits psycho-actifs et le VIH/Sida. Ce centre d’écoute a reçu cette année 37 910 appels. Airtel a apporté son soutien à cette association depuis sa création en 2006, en mettant à la disposition de cette dernière une ligne verte le 511, tous les appels étant totalement pris en charge par l’opérateur en téléphonie mobile. D’ailleurs à l’heure actuelle, presque 70% des appelants de la ligne verte utilisent le réseau Airtel.
Rija, Luk et Mahery donneront un concert au JJ House pour fêter leurs vingt ans d’amitié en musique.
Rija, Luk et Mahery donneront un concert au JJ House pour fêter leurs vingt ans d’amitié en musique.
Il ne leur est jamais venu l’idée de former un groupe. Quand ils sont ensemble sur un même titre, sur une même scène, le résultat est tout simplement bluffant. Ils ont préféré se trouver sur une même scène de temps à autre. Et cela dure depuis 20 ans.
Amis ? Ils le sont. Mais au-delà de l’amitié, il y a la musique. Ils ? Devinez qui ils sont. Mon premier est un crooner qui fait sensation à chacune de ses apparitions sur scène. Oui, il est très à cheval sur la ponctualité et il ne donne pas de spectacle visuel. Quand il se met derrière un micro, la gent féminine, du moins la plupart, tombe cependant toujours sous le charme de sa voix enchanteresse. Il a commencé sa carrière il y a plus de vingt cinq ans. Entre lui et ses fans, c’est cependant toujours le grand amour. Oui, vous l’avez compris, il s’agit de l’incontournable Rija Ramanantoanina.
Deux membres de Johary. Mon second, lui, est un artiste à multiples facettes. Tantôt folk, tantôt chanson à texte… Il joue sur tous les registres. D’ailleurs, il a déjà partagé la scène avec de nombreux artistes issus de différents horizons musicaux. Et quand il ne se glisse pas dans la peau de Levelo ou de Gabhy (Jeneraly), il interprète les compositions inédites de Barijaona. Lui ? C’est Mahery.
Mon troisième, lui est tout autant capable de jouer les voix de tête que la basse. Grand amateur de jazz, il est pourtant plus connu dans le monde du « kalon’ny fahiny ». Luk, car c’est de lui dont il s’agit a investi, à plusieurs reprises, le Ccesca, avec le groupe Ny Omaly pour redonner vie aux grands succès de Naly Rakotofiringa, de JJ Tseheno ou encore ceux de Barijaona. Comme Mahery, il fait aussi partie du groupe Johary. Ce dimanche pourtant, c’est en trio qu’il va remonter sur scène.
Trio. Chacun de son côté, Luk, Mahery et Rija excelle mais c’est en trio que les gens les apprécient le plus. Ce n’est d’ailleurs pas sans raison que les trois compères partagent la scène depuis aujourd’hui vingt ans. Après le Piment Café en avril dernier, le CLT Tsiadana la semaine dernière, ils vont se retrouver autour d’un déjeuner concert au JJ House Alasora ce dimanche pour arroser leurs vingt ans d’amitié… en musique. Et bien évidemment, tous les fans sont conviés à cet évènement organisé par la chorale d’Ambavahadimitafo. Pour ceux qui n’ont encore pu se procurer leurs tickets, ceux-ci seront encore disponibles sur les lieux.