Un moment de joie pour les élèves de l’EPP Ambaniala Itaosy, grâce à Airtel.
Un moment de joie pour les élèves de l’EPP Ambaniala Itaosy, grâce à Airtel.
Entreprise citoyenne et fidèle à son engagement social, Airtel Madagascar poursuit les bonnes actions. La dernière en date a été la remise de fournitures scolaires aux élèves de l’EPP Ambaniala Itaosy. Et ce, en collaboration avec l’association « Enfants de la Joie » A cette occasion Airtel Madagascar a été représentée par Mamie-Agnès Muadi, Directeur des Ressources Humaines et Géraldine Gerant, Directeur du Service Clientèle. Elles ont remis aux 800 élèves de l’EPP Ambaniala Itaosy 6 000 cahiers. Un moment de joie pour ces élèves dont la plupart des parents n’ont pas les moyens d’assurer convenablement leur scolarité.
Comme tous les jours, la chaleur étouffante de la journée a atteint son sommet hier à midi, avec 31°C sur le mercure. Et puis, en un rien de temps, le ciel s’est attristé, laissant place à un gris des mauvais temps, et puis le tonnerre a grondé. Le compte à rebours a commencé et en moins d’une minute, un torrent de pluie s’est abattu sur la ville d’Antananarivo, avec des grêlons dans certains quartiers. Tout le monde a été pris de cours, et beaucoup ont dû se réfugier sous n’importe quel abri pour éviter d’être mouillé. Mais les conséquences directes d’une telle pluie ne se font pas attendre. Déjà, dans certains quartiers, les eaux ont commencé à monter, tandis que les rues ont été envahies de détritus emmenés par les ruissellements de l’eau. Enfin, les voitures les plus vulnérables ont payé cash cette pluie torrentielle. Partout à Tanà hier, les embouteillages ont été insoutenables !
Araka ny vaovao azo avy any an-toerana dia fantatra izao fa niampy telo indray ny isan’ny olona namoy ny ainy vokatr’ilay fihinanana henan’antsantsa tany Mahasoa, Fenerive-Est. olona mpianaka ary iray trano ireto namoy ny ainy ireto. Efa andro vitsivitsy izay no efa tsy nahatsiaro tena izy ireo ary dia izao niafara tamin’ny fahafatesana izao. Na dia tonga any an-toerana aza moa ny tomponandraiki-panjakana dia toa tsy dia misy vaha olana mahomby entin’izy ireo fa mbola mitombo hatrany ny isan’ny maty. Mangataka ny hotsaboina any Toamasina ireo marary saingy tsy misy mpiatonka azy ireo. Ireo namoy ny ainy izao no raisin’ny faritra an-tanana ny fikarakarana azy ireo. koa handrasana ho faty daholo izany ve ireo marary vao horaisin’ny fanjakana an-tanana?
Le développement agricole dans l’Amoron’i Mania vient de franchir un nouveau palier avec la mise en application d’un 4e projet financé par le FIDA du nom de FORMAPROD ou Programme de Formation et d’Amélioration de la Production Agricole et portant sur 10 ans.
C’est ainsi que la cellule locale de FORMAPROD plus connue sous le nom de Conseil Régional de la Formation Agricole (CRFA) a vu le jour, la semaine dernière, à Ambositra, au cours d’une réunion de tous les responsables à tous les niveaux. Une réunion qui s’est surtout penchée sur le budget de FORMAPROD pour l’exercice 2014 mais qui a également servi à élire les membres de son antenne locale, puisque le projet en question touche 13 régions de Madagascar dont l’Amoron’i Mania par le truchement de la commune la plus vaste de la Région en l’occurrence Ambatofinandrahana comme Pôle de Développement Agricole et Economique.
Une vingtaine de personnes siègent désormais au bureau du CRFA avec à leur tête Joseph Razafimaharo. Un choix logique dans la mesure où il s’agit du Chef de Région de l’Amoron’i Mania qui est à même de séparer le bon grain de l’ivraie, puisque cette Région est déjà à pied d’œuvre avec, depuis 2008, un schéma régional de l’aménagement du territoire mais aussi un Programme Cadre de Développement Régional portant sur 10 ans et qui ne prendra fin qu’en 2015.
La présence aux côtés du Chef de Région du Directeur Régional du Développement Rural, Dieu Donné Ravelosaona, un agronome de formation, constitue du reste une garantie du fiabilité du projet.
Tout s’enchaîne donc pour un véritable développement rural et agricole avec en priorité l’aide aux jeunes ayant suivi une formation professionnelle cadrant avec les besoins de la population donc faisant partie des filières dites porteuses.
Et comme le volet formation veut ratisser large, le CRFA aura également en charge la dotation en matériels des animateurs et des socio-organisateurs.
Omaly hatramin’ny 4 ora hariva, tsy mbola nandrenesana vaovao ny momba ilay fakana an-keriny teratany Karàna iray tany Toamasina niseho ny alatsinainy hariva tamin’ny 5 ora. Ny hany fantatra aloha hatramin’izao dia tsy mbola naharay fangatahana onitra na « rançon » ny fianakavian’ilay karàna.
Araka izany dia manjavozavo ny fandehan-javatra. Tamin’ny fotoana nitondran’ireo jiolahy an’ity olona ity dia voalaza fa handeha hody any amin’ny tranony izy. Eo amin’ny lalana Marechal Lattre de Tassigny no misy ilay fivarotana ary eny amin’ny Rue du Commerce izy no mipetraka. Lalana tokony ho eo amin’ny 15 mn eo, somary mangina tsy dia maro mpandeha. Ankeviny efa narahan’ireo olon-dratsy ity lehilahy ity ka rehefa tafiditra tao amin’ny garazany dia nanaovan-dry zalahy tamba-be nosintonina. Tsy hay anefa izay zavatra niseho na nanohitra ny anao lahy na ahoana fa nampiasa basy ireo mpaka an-keriny. Marihina fa manana toe-bataba ranjanana be ity nalaina an-keriny ity sady matanjaka. Mbola ny vaovao re teny an-toerana no nahalalana fa intelo nirefotra ny basy ary nisy nahatsikaritra aza fa toa nianjera ilay karàna. Tamin’izany no nitaritany azy niditra ilay fiara 4X4 miloko mainty. Tena manahy mafy ny fianakaviany amin’izay mety ho fahasalamany amin’izao fotoana izao.
On ne regarde pas tous dans la même direction quant à la tenue des élections. Il y a ceux qui sont absolument contre, d’autres qui sont pour. Les premiers jugent que l’important c’est de procéder d’abord à la réconciliation nationale. Mais la question se pose : cela ne va-t-il pas prolonger davantage la Transition ?
Si certains se focalisent sur les préparatifs pour le deuxième tour et les législatives, d’autres se concentrent sur la tenue d’une réconciliation nationale avant ce deuxième round de la présidentielle. Pour ne pas dire ceux qui opposent à la tenue des élections et qui les trouvent inopportunes pour le moment. Ainsi, Didier Ratsiraka de réitérer sur l’importance du « Fihavanana », lors de la célébration de son anniversaire le 9 novembre dernier, à l’Espace Sahamadio Ilafy. L’ancien président a également proposé de « diriger ensemble le pays ». En se référant probablement à la tenue du sommet à quatre. Avant d’enchaîner que tout le monde devrait se mettre autour d’une même table. Mais la question se pose sur sa faisabilité ?
Réconciliation nationale. De leur côté, les autorités traditionnelles entendent tenir un sommet national avant la fin de l’année. Et même si elles ne l’ont pas dit ouvertement, elles roulent également pour la réconciliation nationale. Probablement avant le deuxième tour. Rejoignant ainsi les idées émises par Deba. Quant à Pety Rakotoniaina, il persiste et signe que la tenue des élections n’est pas opportun car cela va engendrer des troubles. L’Alliance pour la Paix et la Refondation Nationale (APRN) du PDS de Fianarantsoa partage ainsi les points de vue du professeur Zafy Albert.
Avant les élections. Comme on le sait, l’homme au chapeau de paille s’est toujours opposé à la tenue des élections. Ce dernier n’a cessé de prôner la tenue d’une réconciliation nationale avant toute élection. Il propose également la tenue d’un référendum constitutionnel. Quoi qu’il en soit, si l’on ne parle que du deuxième tour et des législatives qui auront lieu exactement d’ici un mois, ceux qui sont chargés de leur organisation sont à pied d’œuvre. Et ils sont prêts à rectifier leur tir pour les élections du 20 décembre prochain.
Le Water Aid avec d’autres collaborateurs, mettent en vente des techniques de marketing visant à permettre à tous les Malgaches d’avoir accès aux latrines.
Pour Madagascar, la célébration de la journée mondiale des toilettes a été célébrée dans la commune rurale d’Ambatomanga.
Le Water Aid avec d’autres collaborateurs, mettent en vente des techniques de marketing visant à permettre à tous les Malgaches d’avoir accès aux latrines.
Environ 10 400 Malgaches, dont 6 900 d’enfants de moins de 5 ans, meurent de la diarrhée tous les ans. C’est même la deuxième cause de la mortalité infantile dans le pays. C’est ce qui a été enregistré lors de la célébration de la Journée Mondiale des toilettes, dans la commune rurale d’Ambatomanga hier. Des chiffres alarmants. Tout ceci est effectivement causé par l’impureté de l’eau et au manque d’assainissement et d’hygiène, selon les explications. En effet, l’on sait qu’il n’y a même pas trois ans de cela, 12 millions de Malgaches ont encore déféqué à l’air libre, soit 60% de la population. Et c’est seulement 39,5% de cette population qui a accès à des latrines munies de dalles. Le mauvais assainissement, un problème qui fait perdre des sommes énormes au pays car selon toujours les explications, « le pays perd 201 milliards d’Ariary par une somme équivalente à 15 115 Ar par personne, soit 1% du PIB ». En d’autres termes, « tous les ans, Madagascar perd 0,8 milliard de dollars à cause des pertes en productivité pendant la maladie, le temps d’absentéisme au travail et à l’école engendré par la non-utilisation de latrines». Des problèmes évitables, selon les dires, si tous les Malgaches utilisent une latrine et évitent de déféquer à l’air libre. En effet, le thème choisi pour la célébration de cette journée mondiale des toilettes, est : « Ataontsika laharam-pahamehana ny Fahadiovana », la traduction libre de « priorisons les questions d’hygiène ». Pourtant, selon les constatations du Représentant Résident du Water Aid, Lovy Rasolofonamana, hier à Ambatomanga, lors de cette journée, la réalité en est autrement, malgré les conséquences graves que pourrait engendrer ce manque d’assainissement et d’hygiène. Ainsi, à l’occasion de cette journée, cette Ong internationale, par le biais d’un nouveau rapport co-publié par le Conseil de concertation pour l’approvisionnement en eau et l’assainissement (WSSCC), de lancer un appel à l’endroit des gouvernements, de la société civile, et les entreprises que « nous ne pouvons plus attendre».
Grands émois et beaucoup de fierté pour la LFL Madagascar, une société du groupe Food and Allied Industries LTD, grâce à l’obtention de la certification ISO 9001 : 2008, le 3 août dernier. Hier, au Cneagr à Nanisana, ils ont présenté leurs nouveaux produits, et ont partagé leurs expériences avec les professionnels du secteur de l’élevage. Il s’agit de diverses gammes de provende sous forme de farine, de granulés et de miettes sous divers conditionnements, en sacs de 10 kg et de 25 kg. Cette certification garantit ainsi la conformité aux normes internationales de tout le processus de production, de vente, d’achat et d’approvisionnement des matières premières et des conditionnements, mais aussi des activités de supports telles que les ressources humaines, les moyens techniques et la gestion des prestataires. Cependant, cette certification est soumise à une évaluation permanente pour garantir une amélioration constante des modes de fonctionnement.
Mihabiby ny olona amin’izao ka tsy mifandefitra intsony na dia samy mpihavana izao aza. Ny asabotsy hariva teo dia mpirahavavy niady lova no nifampitetika tamin’ny antsy tany Beroroha. Nandriaka ny rà. Tsy nananany antra fa avy hatrany dia notetitetehany tamin’ilay zavamaranitra ny rahavaviny, maty tsy tra-drano vokatr’izany. Niatomboka tamin’ny fifamaliana momba ity ady lova ity ny raharaha. Nihejan-droa ny tady avy eo ka samy nanao vava na ny andaniny na ny ankilany. Tamin’ny ora farany anefa dia tsy nahatsindry fo ny iray ka nandray antsy, dia niafara amin’izao vono olona mahatsiravina izao. Lasa nitsoaka ilay nahavanon-doza ka mbola karohana hatramin’izao.
Plus de 40 jours après les lynchages d’un Malgache, d’un Français et d’un Italien à Nosy-Be, la dépouille de l’Italien Roberto Gianfalla se trouve toujours sur place alors que celle du Français Sébastien Judalet a été rapatriée en France mercredi dernier. Et la famille de l’Italien, qui vit à Annecy dans les Alpes, dénonce le peu de soutien des autorités italiennes, selon RFI.
Selon toujours la même source, c’est la sœur de Roberto Gianfalla qui se bat aujourd’hui pour son frère. Pour pouvoir l’enterrer tout d’abord, l’Italie n’ayant pas d’ambassade à Madagascar. Carmela Gianfalla a pris contact avec celle en Afrique du Sud, mais elle a obtenu peu d’aide de sa part. Quant à la France, elle a le sentiment qu’elle n’est pas non plus intéressée par cette affaire. La plainte qu’elle a déposée a été transmise au parquet de Bobigny, saisi du cas de Sébastien Judalet, autre victime de ce lynchage. Mais pas de réponse pour le moment alors que ce même parquet a mené une enquête sur Sébastien Judalet qui a conclu que les rumeurs de pédophilie et de trafic d’organes étaient infondées. Carmela Gianfalla souhaiterait elle aussi laver le nom de son frère. Aujourd’hui elle est en arrêt de travail. Elle passe ses journées au téléphone et sur internet et espère désormais un retour du corps de son frère en début de semaine prochaine.
