Le corps sans vie d’un militaire a été retrouvé mort sur la plage à Fort-Dauphin vers la fin de semaine dernière. C’est un pêcheur qui passait près de l’endroit qui a découvert le corps. L’alerte a été tout de suite donnée. Après un constat et une petite enquête, on a su que le mort n’est autre qu’un militaire portant le grade de caporal. Il travaillait à la 515e compagnie à Fort-Dauphin. On a découvert qu’il portait des blessures au niveau de la tête, selon les enquêteurs. Ce qui a certainement entraîné sa mort. Et eux de conclure qu’ils sont en présence d’un meurtre. Une enquête est ouverte dirigée par des éléments de la gendarmerie de la capitale de l’Anosy. Pour l’instant, aucune interpellation n’a encore été opérée.
Entrée triomphale à Antsiranana pour Hery Rajaonarimampianina.
Entrée triomphale à Antsiranana pour Hery Rajaonarimampianina.
Après Mahajanga, il a été encore accompagné à Antsiranana par le président de la Transition et les candidats qui lui ont apporté leur soutien.
« Servir le peuple et non s’en servir ni l’asservir ». C’est la devise de Hery Rajaonarimampianina qui a été accueilli chaleureusement à Antsiranana par la population venue nombreuse dimanche. Au point de décerner à la capitale du Nord, la palme du meilleur accueil et de la plus grande hospitalité sur la centaine de villes qu’il a visitée durant la campagne électorale. « Ensemble, nous avançons vers la Quatrième République », a déclaré le candidat de « Hery Vaovao ho an’i Madagasikara » qui a gagné, c’est le cas de le dire, de « nouvelles forces » avec le soutien de 5 candidats malheureux au premier tour, mais heureux de lui apporter leurs voix au second tour. La présence du président de la Transition a même fait du meeting, une véritable démonstration de force pour « son candidat » qui n’a pas perdu le Nord.
Chrétien et sobre. Comme à Mahajanga la veille, Andry Rajoelina s’est rendu à Diégo le lendemain. Provoquant une marée orange dans les rues de la ville tel que c’était le cas lors de l’inauguration du premier « hopitaly manara-penitra ». L’ancien Grand Argentier n’a pas manqué de rappeler cette « zava-bita » du régime de transition pour signifier que l’accès aux soins de la population fait aussi partie de ses priorités. Le candidat n°3 respire lui-même la santé, a fait remarquer Norbert Ratsirahonana. « Hery Rajaonarimampianina est un fervent chrétien et un homme sobre qui ne prend pas d’alcool », devait ajouter l’ancien Premier ministre et ex-chef d’Etat par intérim qui n’est pas soumis à l’obligation de neutralité prévue par la Feuille de route. Il est libre de donner son AVIs.
Union. Face à cette avalanche de soutiens et devant la foule monstre, le poulain de « Hery Vaovao ho an’i Madagasikara » de réitérer que « l’union fait la force ». Notamment face à l’œuvre de développement du pays pour lequel il sollicite la participation de tous et de toutes les Régions. Economiste de formation et expert-comptable de carrière, il est pour « la répartition équitable des richesses et le développement équilibré des Régions » qui bénéficieront des grandes infrastructures qu’il entend mettre en place dans le cadre de son programme présidentiel. Entre autres à Diégo où il va remettre la Secren à flot. Prônant le raffermissement de l’unité nationale, Hery Rajaonarimampianina se veut être « le Président de tous les Malgaches ». Du Nord au Sud. Et d’Est en Ouest comme le démontre son itinéraire de campagne.
Les importateurs informels ont été pointés du doigt par le ministre des Finances et du Budget, comme étant responsables de la baisse des recettes fiscales. Même si les marchandises concernées sont déjà soumises aux taxes douanières, d’autres mesures seront prises.
Les recettes fiscales de 2013 ont été en forte baisse. Les réalisations sont très loin des prévisions. Outre la longue période de crise, le ministre des Finances et du Budget, Lantoniaina Rasoloelison, a cité les importations informelles comme cause de la baisse des recettes publiques. L’année prochaine, ce ministère prévoit un élargissement de l’assiette fiscale. « Les marchandises dédouanées dans les Ports doivent payer des impôts équivalents à 5% de la valeur de ces marchandises, même si elles appartiennent à des particuliers qui n’ont pas de numéro d’identification fiscale (NIF). En parallèle, les impôts sur les revenus intermittents ne seront plus appliqués aux activités d’assurance. En outre, les réassurances seront exonérées de TVA, pour éviter une double imposition. En ce qui concerne les multinationales, elles peuvent choisir entre payer les charges fiscales à l’étranger via leurs sociétés mères, ou directement à Madagascar. Ces allègements visent à favoriser la relance économique », ont déclaré les responsables auprès du ministère des Finances et du Budget, lors du Colloque organisé hier à Ivato.
Détaxation. Les taxes douanières évoluent de plus en plus pour tendre vers zéro. Selon les prévisions, elles seront complètement supprimées vers l’année 2022. Pour l’année prochaine, l’accord de partenariat économique intérimaire avec l’Union européenne permet déjà de détaxer des produits à exporter ou à importer de l’Europe. Il faut noter que cette disposition favorise aussi bien les exportations que les importations. Par ailleurs, ce colloque à Ivato se poursuivra encore ce jour. Une déclaration sera faite par le directeur général du Budget, concernant la situation des recettes et des dépenses de cette année 2013. Pour hier, 400 participants ont assisté à la rencontre dont 110 sont des chefs de centres fiscaux.
Tsy hay nofefena ny afo ary vetivety dia potika ny trano fihinanan’ny olona sakafo
Ny marainan’ny alatsinainy tokony ho tany amin’ny 2 ora tany ho any, nirehitra ny trano fivarotana miisa dimy eny amin’ny 67 Ha, eo akaikin’ny Bloc 6, tsy lavitra loatra ny biraon’ny paositra. Vokatr’izany haitrano izany, potika tanteraka tsy nisy azo noraisina ireo fivarotana ireo. Mpivarotra sakafo ny ankamaroan’ireo trano nirehitra ireo. Fotoana fikarakarana izany no nisehoan’ny loza. Ny loharanom-baovao re teny an-toerana no nahalalana fa afo avy tamin’ny fatana sariboa no nahatonga ny firehetana. Vetivety dia nitatra ny afo ary tsy voafehy intsony. Nantsoina ny mpamonjy voina ka vetivety ihany dia tonga teny an-toerana ry zareo. Nandritra ny 30 minitra teo ho eo no namonoana ny afo. Araka ny efa voalaza, tsy nisy azo noraisina ireo entana nirehitra ary mahatratra an-tapitrisa maro ny tetibidin’izany. Maro ny mpanjifa tonga misakafo amin’io toerana io manomboka voa maraina ka hatramin’ny alina.
Une foule immense pour le Dr Miharisoa Ramananarivo, dimanche dernier.
Une foule immense pour le Dr Miharisoa Ramananarivo, dimanche dernier.
Une campagne électorale en bonne voie pour le Dr Miharisoa Ramananarivo, candidat député n°15 du VIe arrondissement, vu l’effectif de ceux qui étaient présents à son show avant-hier, au stade d’Anosivavaka, en compagnie du groupe Ny Ainga. En effet, le lieu était tellement plein de monde qu’il n’y avait plus moyen de circuler, et même en dehors du stade à un certain moment. Même si c’était un après-midi de dimanche qui offrait à tout le monde un temps de repos afin de se préparer à accueillir le dur début de semaine du lendemain, cela n’a pas pu les empêcher à y assister en grande masse. Du coup, l’on peut dire que le message d’appel au soutien pour le 20 décembre est bien transmis pour le Dr Miharisoa Ramananarivo, candidat du Parti Vert aux prochaines législatives.
Le promoteur du Tour, Francis Ducreux, recevant son trophée des mains du ministre Botralahy Gérard.
Le Tour cycliste de Madagascar a pris fin dimanche au Palais des Sports sur un standing ovation pour le promoteur de ce Tour, Francis Ducreux, qui a ravi la palme à tout le monde. Même le grand vainqueur de l’édition 2013, le Belge Guy Smet, a dû s’effacer devant les éloges successifs de différents orateurs.
Pour tout dire, cette mémorable soirée de galas, une première en 10 ans, a en effet consacré la part belle au promoteur, « le magicien Francis Ducreux » comme l’appelait le DG de la STAR, Emmanuel de Tailly et qui l’avait connu auparavant pour avoir réussi à fédérer des pays africains en guerre. Et c’est sans surprise qu’il annonçait la participation de la STAR pour 2014.
Le DG de la BOA, Jacques Dillet, a aussi abondé dans ce sens en affirmant que le Tour de Mada revêt toute son importance pour la grande famille de la Bank of Africa.
Il s’estime heureux de pouvoir vivre le tour aux côtés de ses partenaires habituels dont Telma qu’il a cité nommément. Patrick Pisal Hamida n’en demandait pas tant pour affirmer sa fidélité au cours d’une intervention en malgache. Pour le « folo votaka » qu’il est, le tour est devenu, en 10 ans, incontournable.
Le ministre des Sports, Botralahy Gérard, a quant à lui souligné l’importance du soutien des sponsors du Tour. Il a d’ailleurs remercié tout le monde notamment le président de la Fédération du cyclisme mais surtout Francis Ducreux pour leurs efforts d’avoir transformé ce Tour de Mada d’événement en une institution.
Clément RABARY
Le promoteur du Tour, Francis Ducreux, recevant son trophée des mains du ministre Botralahy Gérard.
Une fois de plus, le club de bridge du Cercle Franco-Malgache a remporté un franc succès pour son traditionnel Grand Tournoi soutenu activement par l’Adema.
C’était samedi, au Cercle Franco- Malgache à Anosy, avec la participation de 15 paires selon le système Mitchel avec les deux zones Est-Ouest et Nord-Sud.
Une belle journée empreinte de convivialité comme seul le bridge sait le faire. C’est non seulement un sport olympique mais surtout une discipline que les Malgaches maîtrisent très bien », explique le vice-président du club, Jean-Jacques Ravoaja.
Comme il fallait des vainqueurs, Tahiry Razafimanjato et Guy de l’ïles Rakotobe s’imposèrent au général avec un score de 59,35 %. Un résultat qui ne traduit pas assez l’âpreté de la lutte au cours de cette journée qui a pris fin sur un authentique pot de l’amitié.
En coupe, la victoire est revenue à Hansen Ramananjaonina et au champion d’échecs, Alain Ravelonarivo, avec un score de 55,16 %.
Le Premier ministre Omer Beriziky n’a pas fait de déclaration au retour du Sommet de l’Elysée pour la paix et la sécurité en Afrique. Il aurait pourtant été reçu comme un chef d’Etat d’après des échos auprès de confrères présents au Sommet. Officiellement, Madagascar n’a pas été invité au même titre que d’autres pays en crise comme le Zimbabwe, la Centrafrique, la Guinée Bissau, le Soudan, l’Egypte. Même si notre pays n’a pas été à l’ordre du jour de cette réunion, elle n’est pas moins concernée par les décisions qui ont été prises étant une ancienne colonie française. Une déclaration commune de la France et des délégations de 53 pays africains, évoquant notamment les moyens envisagés pour permettre au continent d’assurer elle-même sa sécurité, a été lue. Elle rejoint le grand souci du président français François Hollande que « face aux crises, face au terrorisme, face à la piraterie, face aux trafics de toutes sortes, l’Afrique doit s’organiser et pouvoir intervenir de manière rapide et efficace ».
La France s’engage
Il s’agira de mettre en place une force militaire africaine disponible, qui serait en mesure d’intervenir lors de crises touchant le continent. Ce projet doit être opérationnel d’ici 2015. En d’autres termes, la France veut renforcer les capacités de l’Afrique pour qu’elle assure la sécurité du continent. Voilà donc l’une des grandes décisions de ce premier sommet France-Afrique avec François Hollande. Ce rendez-vous, plus ou moins annuel est instauré depuis 1973. Il a pris en importance et en ampleur, au point que tous les Etats africains y sont maintenant invités. On se souvient du 16e sommet, celui de la Baule où la démocratie en Afrique a été au centre des préoccupations. On a toujours à l’esprit le 20e sommet à Paris en 98 consacré à la « défense et à la sécurité en Afrique ». Pratiquement, le même thème que celui actuel. Mais à cette époque, la réunion n’a accouché que d’une souris et n’a pas eu beaucoup d’effets en Afrique dans les Etats en guerre. Cette fois-ci sans doute, il en sera autrement. Le Centrafrique est au milieu de toutes les attentions. La France s’engage comme elle l’a fait au Mali. Dans la déclaration commune du sommet France-Afrique, elle est prête à entraîner 20 000 militaires par an. Une autre manière d’aider l’Afrique devant les trafics de drogue, le terrorisme et la piraterie. La France ne sera peut-être plus le pompier ou le gendarme en Afrique mais sa politique africaine restera toujours celle des militaires français.
Elle a découvert sa vocation après le deuil d’un être cher, en l’occurrence sa mère, en 2010. De passage à Madagascar, elle promeut en ce moment son premier album.
Randriamasonony Soloalijaona a, depuis son arrivée en France au milieu des années 2000, cultivé une fibre littéraire qu’elle a acquise lors de ses études à Ankatso. A Perpignan où elle a continué son cursus universitaire, elle a intégré le groupe artistique et poétique du Roussillon. Elle s’y est très vite épanouie et s’est fait connaître par son talent de poète. Mais poésie rimant avec chanson, la jeune femme est devenue membre d’une formation musicale dirigée par Ony Alijaona. Mais c’est le décès de sa mère en 2010 qui a amorcé sa carrière de chanteuse. La douleur ressentie fut un véritable catalyseur. C’est lors de cette période qu’elle a fait un retour sur elle-même et qu’elle a composé de nombreux morceaux. Elle a alors pris le nom de « Sol ». Elle s’est produite à plusieurs reprises avec ce groupe qu’elle a fondé. Dans la foulée, elle enregistre son premier album « Hikalo anao aho ». Cet opus qui peut être classé comme un recueil de chants évangéliques va plus loin et met un accent particulier sur l’amour de la patrie et de la mère. Il reçoit un très bon accueil des radios de l’Hexagone. Les douze morceaux, dont les paroles sont écrites en malgache, émeuvent les membres de la diaspora. Mais la jeune femme ne se contente pas de ce succès et veut faire connaître son album à Madagascar. Aujourd’hui, elle est de passage au pays et entame une campagne de promotion. Les CD sont déjà dans des points de vente de la capitale, notamment chez Supermusic à Analakely. Soloalijaona compte se produire bientôt. Un cabaret est notamment prévu avec Rija Ramanantoanina.
Changhong et Hisense, les deux plus grandes marques chinoises sont chez Baolai.
Changhong et Hisense, les deux plus grandes marques chinoises sont chez Baolai.
Changhong demeure encore et toujours le leader des grandes marques chinoises dans le domaine de l’audiovisuelle.
Baolai n’a pas failli à la tradition de fin d’année où il y a toujours des grandes nouveautés. Cette fois-ci, c’est le top avec le lancement du poste téléviseur écran plat 3D en 42 pouces Changhong. Une petite merveille technologique qui permettra à toute la famille de suivre les émissions télévisées avec une qualité d’igame sans égale. En effet, la firme Changhong a mis le paquet dans le domaine de la technologique pour ce produit de qualité irréprochable. « Changhong est très avancée en la matière » explique Ren Yujie le PDG de Baolai qui a, par ailleurs décidé de diversifier ses marques dans le domaine de la télévision. En effet, Baolai distribue désormais Hisense, une autre marque de grande renommée en Chine et dans le domaine. « Compte tenu de ses avancées Hisense est même en passe de ravir la place de leader détenue par Changhong » selon toujours Ren Yujie en précisant que sa décision d’ajouter Hisense est de permettre aux acheteurs encore plus de choix.
Promotion
A propos de choix, d’ailleurs, Baolai offre encore et toujours une multitude de produits de grande qualité. Pour ne citer, entre autres que les téléphones portables, les brushing, les babyliss et surtout les ampli baffles Jeyoo dont une grande partie fait actuellement l’objet d’une promotion. « Nous déstockons certains modèles qui font l’objet de réduction pouvant aller jusqu’à 50 % » précise le gérant de Baolai qui rappelle que la grande partie des produits proposés par son magasin sont garantis et qu’un service après vente disposant des pièces détachées y est disponible.