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vendredi, juillet 11, 2025
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Conseil des ministres : Détermination du groupe de partis politiques majoritaires

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Le conseil des ministres d’hier a fixé les conditions d’application de certaines dispositions de la loi n°2011-012 du 9 septembre 2011 sur les partis politiques. Il a été ainsi décidé que la détermination du groupe de partis politiques majoritaires à l’issue des élections législatives se fera à partir des partis ou groupements politiques officiellement enregistrés au niveau du ministère de l’Intérieur. De ce fait, aucune autre coalition de partis politiques ne pourra plus donc se constituer à l’issue des législatives.

Recueillis par Dominique R.

Ouverture de campagne demain : Robinson à Arivonimamo, Rajaonarimampianina à Vohibato

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Fini le temps de « mora mora », les deux adversaires au second tour de la Présidentielle descendront sur le terrain de combat à partir de demain.

Les deux candidats choisissent deux circonscriptions où ils ont raflé des voix lors du 1er tour pour ouvrir officiellement leur campagne électorale.

La campagne électorale du second tour de la Présidentielle du 20 décembre s’ouvrira officiellement demain à 6h. Les deux candidats ne rateront pas le premier de cette campagne qui durera 21 jours. Le candidat présenté par le parti « Avana » et soutenu par la mouvance Ravalomanana a choisi le district d’Arivonimamo, région d’Itasy, pour lancer le coup d’envoi de sa campagne. Un culte œcuménique y sera organisé. Après Arivonimamo où il a obtenu 47,45 % des voix lors du 1er tour contre 11,88 % pour son adversaire Hery Rajaonarimampianina, le candidat Jean Louis Robinson rejoindra Antananarivo où il visitera les 6 Arrondissements de la Capitale. Quant au candidat Hery Rajaonarimampianina, il ouvrira officiellement demain sa campagne dans le district de Vohibato, région Haute Matsiatra. Le choix de ce district de l’ex-province de Fianarantsoa s’expliquerait par le fait que le poulain d’Andry Rajoelina y a raflé au 1er tour du 25 octobre 40,90% des voix contre 6,42% pour son rival Jean Louis Robinson.

24 heures décisives. En attendant l’ouverture officielle de la campagne du 2e tour, les 24 heures qui suivent seront décisives quant à la formation des alliances autour des deux candidats. Normalement, c’est aujourd’hui que ces alliances devraient être connues. En fait, les regards sont braqués vers les candidats qui ont réalisé des scores méritants et déterminants au 1er tour. Il s’agit notamment de Hajo Andrianainarivelo, Roland Ratsiraka, Camille Vital et d’Edgard Razafindravahy. Saraha Georget Rabeharisoa a déjà fait son choix en faveur de Jean Louis Robinson. Force est de constater que pendant que ces candidats négocient dans la discrétion totale, leurs partisans  s’impatientent. Cette impatience pousse certains à faire de déclaration de soutien prématurée. Pour ne pas dire qu’ils sont divisés entre les deux candidats au second tour. Le « Malagasy Miara Miainga » de Hajo Andrianainarivelo, le « Hiaraka Isika » de Camille Vital et le MTS de Roland Ratsiraka connaissent cette division. En tout cas, faute de soutenir un candidat, Hajo Andrianainarivelo, Camille Vital, Roland Ratsiraka et Edgard Razafindravahy opteraient pour le « Ni…Ni… » qui ne serait pas en faveur de l’ancienne Mouvance Rajoelina qui veut garder les acquis de la « Révolution Orange ».

RAJAOFERA Eugène

Fini le temps de « mora mora », les deux adversaires au second tour de la Présidentielle descendront sur le terrain de combat à partir de demain.
Fini le temps de « mora mora », les deux adversaires au second tour de la Présidentielle descendront sur le terrain de combat à partir de demain.

Genre : Les pratiques traditionnelles et l’éducation, obstacles majeurs pour l’égalité des genres

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Des femmes en politique, des femmes entrepreneures, des femmes présidentes d’association, des femmes chefs de famille… des femmes tout simplement, qui commencent à prendre les mêmes responsabilités que les hommes. Mais à Madagascar, les traditions et l’éducation influencent encore grandement la société. L’égalité de genre est encore un long chemin à parcourir.

Obtenir le droit de vote pour les femmes a été une grande révolution dans le monde. De là découlent d’autres victoires, comme celle d’aller à l’école au même titre que les garçons, et d’aller le plus loin possible dans les études, ou encore les droits à la santé. Autant de droits fondamentaux dont jouissent actuellement les femmes, dans la majeure partie de Madagascar. Depuis,  les femmes ont également investi les lieux de travail, et depuis peu, elles se sont lancées dans la politique. Et si cela semble être une bonne initiative, elles rencontrent beaucoup plus d’obstacles dans la réalité. « En réalité, les femmes jouissent de leurs droits fondamentaux, sauf que dans la société, tradition oblige dans certains cas, et à cause d’une éducation qu’on a inculquée depuis des décennies, les femmes doivent rester dans le rôle qu’on leur a donné. Car l’homme, dans la société, joue le rôle de chef de famille. Donc dans sa tête, il se dit qu’il apporte à manger et qu’il faut s’en suffire. Même si la femme a d’autres capacités qui pourraient améliorer la vie dans le foyer. Du coup, même si elle a fait beaucoup d’études, elle reste femme, parfois sans pouvoir se faire valoir dans son propre foyer. C’est dommage car les femmes ont vraiment beaucoup à apporter dans le foyer, dans la société et même dans la nation ». L’avis est d’un des membres du groupe Voots, collectif musical, dans un monde où le genre est une notion totalement adoptée. Car paradoxalement, dans le monde de l’art, les hommes et les femmes ont exactement les mêmes droits, responsabilités et respect.

Pratiques traditionnelles et éducation. A bien y penser, cet exemple tout à fait typique à Madagascar (comme dans bien d’autres pays) est à l’échelle nationale. Il n’est donc pas rare de voir des hommes, et même des femmes, pas du tout convaincus d’avoir une femme pour mener dans la société. Cela va de la cellule familiale, car il est rare que la femme soit le chef de famille, à la communauté, où le rôle de chef revienne à l’homme, en passant par la société, car la femme n’accède que très rarement aux postes de décision en politique, jusqu’à l’entrepreneuriat où les femmes ont du mal à exister. « Cela remonte dans les pratiques traditionnelles, où la femme a été assignée à certaines tâches et à une place spécifique dans la famille. Du coup, elle n’y est jamais sortie. Mais cela trouve également ses causes dans l’éducation. Car si l’on a donné leurs droits aux femmes, il n’y a pas eu de mesure d’accompagnement, du coup, elle a le droit mais ne peut pas forcément l’appliquer. Il faudrait peut-être revendiquer auprès de toute la société, pour qu’elle puisse prendre la place de l’homme avec toutes les responsabilités que cela incombe, sans que la société, hommes et femmes confondus, ne traite ni la femme, ni son mari, de marginaux de la société » ajoute toujours cet artiste.

Le chemin à parcourir reste long, et revendiquer ses droits entraîne d’autres mesures pour la femme. Homme, femme et toute la société doivent être sensibilisés pour que la femme ait la même place que l’homme dans la société. Les violences envers les femmes n’en seront qu’amoindries.

Anjara Rasoanaivo

Secteur forestier : Manque de vision et incohérence des lois

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Une vision commune sera établie à l’issue de ces assises nationales. (Photo : Yvon Ram)
Une vision commune sera établie à l’issue de ces assises nationales. (Photo : Yvon Ram)
Une vision commune sera établie à l’issue de ces assises nationales. (Photo : Yvon Ram)

Toutes les parties prenantes lors des assises nationales de la gouvernance forestière vont établir une vision commune de ce secteur.

Madagascar se trouve loin d’une gouvernance forestière idéale. En effet, « on constate un manque de vision claire au niveau du secteur forestier. Les lois et cadres réglementaires le régissant sont également incohérentes et obsolètes, voire même contradictoires. Ce qui rend difficile leurs applications et favorise la corruption », a exposé Andry Andriamanga, le Coordonnateur national de l’Alliance Voahary Gasy lors de l’ouverture des Assises nationales de la gouvernance forestière qui se tiennent depuis hier jusqu’à ce jour à La Résidence à Ankerana.

Pilier. A titre d’illustration, « l’Etat a suspendu la délivrance de permis d’exploitation forestière pour une gestion durable des ressources  alors que l’octroi de permis continue via des arrêtés régionaux, et ce, dans une zone non-autorisée à être exploitée », a-t-il rajouté. Et encore, la Grande Ile est sous-administrée faute de moyens suffisants. « Ce qui explique la faiblesse du mécanisme de contrôle au niveau de ce secteur qui est pourtant un des piliers de développement du pays si le capital forestier est bien valorisé », a-t-il soulevé.

Représentatives. Dans la foulée, des assises régionales se sont tenues à Haute Matsiatra, Atsimo Andrefana et à Boeny pour effectuer l’état des lieux du secteur en matière de gouvernance forestière. « Ce sont des régions représentatives en termes de problématique forestière étant donné que la majorité de leurs exploitations de ressources forestières servant à satisfaire nos besoins en bois et énergie proviennent des forêts naturelles. Leurs problèmes communs se situent au niveau des cadres réglementaires et de la politique forestière », a évoqué le coordonnateur national de l’AVG.

Handicap. Par ailleurs, « on observe un manque de synergie entre les acteurs. Entre autres, des organismes internationaux définissent eux-mêmes leurs zones d’intervention, alors que nous devons avoir une priorité. L’inexistence de base de données sur les besoins en produits forestiers et de la politique d’augmentation forestière constituent aussi un handicap majeur », a expliqué Hanta Rabetaliana, consultante en matière de gouvernance forestière. Et lui de poursuivre que la gestion forestière ne doit plus être la prérogative du ministère de l’Environnement mais de toutes les parties prenantes. Raison de la mise en place d’une vision commune afin que chaque acteur puisse se positionner dans sa prise de décision.

Navalona R.

Stigmatisation des individus vulnérables au VIH/SIDA : « Due au manque d’informations sur la transmission de la maladie »

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Il y a deux jours de cela, les professionnels des médias ont bénéficié d’une formation ayant pour but de mettre à jour les connaissances de la population sur le VIH/SIDA, afin de réduire la stigmatisation et la discrimination des personnes vulnérables de ladite maladie. Une formation offerte par l’Institut de Technologie et de l’Education et de Management (ITEM), entrant dans le cadre du projet de lutte pour la réduction de la stigmatisation et la discrimination des populations vulnérables au VIH/SIDA. Ce qui aurait intéressé beaucoup de Médias, selon les précisions. En effet, la raison de cet appel serait que la population malgache ait un grand besoin d’informations sur cette maladie. « Il y a des intox qui circulent autour de la maladie, et il y en a même qui affirment qu’elle se transmet par le biais des piqûres des moustiques », affirme le Dr Rova Rabetaliana, 1re responsable dudit Projet au sein de l’ITEM. Une vingtaine de médias ont alors répondu présents et se sont engagés à effectuer des activités au sein de leur boîte respective. Des activités qui seront suivies d’une  action de suivi-évaluation. A part ces professionnels des médias, d’autres appels ont été également lancés à l’endroit de la société en général, les juristes, les autorités policières, les professionnels de la santé, les tenanciers des bars, ainsi que les prestataires touristiques.

Arnaud R.

Talatamaty: Basy Baïkal 99 sy bala anarivony tratra tao amina Karana

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BASYTeny amin’ny Fasan’ny Karana no nahitana ity karazana basy ity ary rehefa natao ny famotorana dia tonga hatreny Imerina Afovoany

Nahitana vokany ny ezaka ataon’ny mpitandro filaminana amin’ny famefena ny fitobahan’ny fitaovam-piadiana eto amintsika amin’izao fotoana izao. Basy Baïkal miisa hatrany amin’ny 99  miaraka amina bala anarivony no tratra teny Imerianafovoany tamin’ny alatsinainy lasa teo. Tao an-tranona Karana iray no nahitana izany, araka ny loharanom-baovao. Vokany, olona telo amin’izao fotoana izao no voarohirohy amin’ity zavatra ity.

Teny amin’ny Fasan’ny Karana no niandoha ny fandehan-javatra. Nisy fiara 4X4 iray voalaza fa nitondra “pieces de rechanges”  nandalo teny an-toerana. Misy hatrany moa ireo polisy miasa tsy mijanona eny. Toa nampiahiahy azy ireo ilay fiara. Najanona ary natao ny fisavana. Sarona tao ny basy Baïkal miisa 10. Rehefa nanontanina ilay mpamily dia nanoro ny tompony ary niteny fa ana-karana mipetraka eny Talatamaty ireo. Avy hatrany dia naleha teny amin’ny toerana voatondro ary nisy ny fisavana ny trano. Tamin’izany no nahitana basy mitovy marika amin’ireo hita teny Anosizato miisa 89 miampy bala 93 250 mifanaraka aminy. Mbola tao anaty baoritra ny ankamaorany misy fonosana 250. Rehefa izany dia nisy olona iray tsy maintsy notazonina.

Raha tadidintsika tsara dia tsy vao sambany no nahitana ity karazana basy ity teny amin’ny Fasan’ny Karana afa efa imbetska ihany.  Ny loharanom-baovao hatrany no nahafantarana fa alefa any amin’ny faritra Atsimo ireo basy ireo, any Toliara ny marina kokoa. Efa nisy ny olona nosamborina tamin’izany.

Antontan’isa navoakan’ny mpitandro filaminana no nahafantarana fa tamin’ity taona 2013 ity dia nahatratra 223 ny basy tratran’ny polisy miampy bala 9441. Mbola ao koa anefa ny antontanisa avy any amin’ny zandary izay nanome tarehimarika milaza fa tsy latsak’izany koa ny basy mahery vaika azo. Ohatra amin’izany izay niseho teny amin’ny faritr’Antanimora izay nahitana basy mahery vaika izay fampiasan’ny mpitandro filaminana.

nangonin’i r.s.

Volley-ball / STEF’AUTO : « Coupe d’Afrique en vue » dixit Stéphane Ah Waye

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stefautoSes joueuses se sont classée 2e dans l’Océan Indien lors de la Coupe des clubs champions de volley-ball. Et satisfait, il l’est Stéphane Ah Waye, président de STEF’AUTO. « Je suis satisfait, on va penser à la Coupe d’Afrique mais c’est encore toute une histoire à mettre en place » nous a-t-il confié. Il déplore le fait que leurs sponsors les ait lâchées au dernier moment. Les joueuses ont pu partir grâce à ses apports personnels, aux 5 millions d’Ar d’Ambohitsorohitra et au 1 million d’Ar de TAFITA. « Le plus dur a été de faire partir les filles. Si on avait pu envoyer 10 filles, le résultat aurait été meilleur ». Aidé sur place à Maurice par l’entraîneur des gendarmes Etienne, Stef’Auto verra une restructuration et une réorganisation interne prochainement. « Les filles ont promis de m’aider aussi dans la recherche de financement et c’est top qu’elles s’engagent » Il se peut qu’il y ait même des recrutements en vue du sommet africain. Là, Stef’Auto se repose, les entraînements reprendront en janvier. Le temps de se relancer dans le financement et de reprendre des forces car jouer à 7 dans une compétition d’envergure n’est pas à la portée de tous sauf de Stef’Auto.

Anny Andrianaivonirina

Transport : La coopérative Kofimanga a 40 ans

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Dimanche dernier, la coopérative Kofimanga a célébré ses quarante ans d’existence au Batou Beach Ambohimanambola. Tous les membres et les employés y ont été conviés. Une occasion pour les responsables de faire un bilan de ces quarante années ainsi qu’une vision plus large pour l’avenir. L’objectif dans l’immédiat est l’amélioration des infrastructures existantes. Selon le président Robson Andritsarafara Mosesy Nirina, la coopérative est apte à donner satisfaction aux usagers. Face à la concurrence, il a indiqué que les membres sont prêts à relever le défi. Kofimanga se préoccupe du bien-être de ses clients et s’efforce d’offrir les meilleures conditions lors de leur voyage, a-t-il ajouté. Par ailleurs, des mesures seraient immédiatement prises, si des réclamations venant des voyageurs étaient enregistrées. Pour cet anniversaire, la célébration sera clôturée par un reboisement.

r.s.

Morondava : Ben’ny tanàna voatafika, lasan’ireo jiolahy ny basy sy ny vola

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Notafihan’ny jiolahy nirongo basy ny ben’ny tanànan’Ampanihy (Mahabo – Morondava) ny volana jona lasa teo. Niisa valo ireo mpanafika ary nandroba vola, firavaka sarobidy ary ny basin’ity ben’ny tanàna ity. Nisy olona roalahy noahiahian’ny mponina ho tafiditra tamin’io fanafihana io satria nampiahiahy ny maro ny fihetsiny. Taorian’izay dia nandositra avy hatrany tany Morondava ireo olona roa ireo. Nanoloana izany dia nisy ny fanangonan-tsonia nataon’ny fokonolona izay nitory ireo olona ireo, satria talohan’ny fanafihana io ben’ny tanàna io dia nisesisesy ny fanafihana mitam-piadiana tany an-toerana. Noho ireo olona ireo nandositra nankany Morondava anefa dia nanjary ny mpitandro filaminana tany an-toerana indray no nandray an-tanana ny raharaha. Efa am-bolana maro taty aoriana tsy nisy fivoarana ny raharaha, nisy fotoana aza niverina tany Ampanihy ireo olona noahiahian’ny fokonolona.

Fitoriana. Ny talata lasa teo anefa dia zavatra hafa indray no nitranga, satria lasa ilay ben’ny tanàna indray no nisy nitory. Voaantso teny amin’ny Fitsarana tao Morondava ny tenany, satria hatolotra ny Fampanoavana ireo roalahy ireo. Ary taorian’izay dia naiditra am-ponja vonjimaika. Ny harivan’io ihany anefa dia voalaza fa nisy nitory indray ilay ben’ny tanàna, ka ireo olona voarohirohy ireo ihany no nitory azy. Omaly ihany dia efa niakatra Fampanoavana ny raharaha ary mbola miandry ny tohiny ny rehetra. Mampanahy ity ben’ny tanàna ity izany fitoriana izany, koa manaitra ny sain’ny tomponandraikitra ambony izy sy ny fokonolona ao an-tanàna mba hijery akaiky ny raharaha, satria toa ilay voatafika indray ity no torian’ireo olona ahiahiana ho nanao ny fanafihana.

A.R.

Andavamamba nianjera norobaina: nianjera

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Toy ny mana avy any an-danitra ny fahitan’ireo jiolahy ny fianjeran’ny tovolahy iray vokatry ny lozam-pifamoivoizana. Raha mba tokony hanavotra azy ireo olona, ny môtô nentin’ilay tovolahy indray no avy hatrany dia nalain’ireo. Soa fa mba sendra nisy pôlisy teo amin’ny manodidina teo. Io no niditra an-tsehatra avy hatrany tamin’ny fanenjehana ireo olon-dratsy. Tsy lasa lavitra dia azo ny roa tamin’ireo. Voaverina tany amin’ny tompony ihany koa ny môtô rehefa voasambotra ireo tompon’andraikitra tamin’ny fangalarana azy. Omaly ihany dia efa nandeha ny fanadihadian’ny pôlisy an’ireo olon-dratsy izay tratra ambodiomby araka  ny fitenenana.

D.R