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jeudi, juillet 10, 2025
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VIH Sida : Comportements à risque auprès des jeunes, des militaires et des professionnels du sexe

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Une enquête de surveillance biologique et comportementale a été menée par le secrétariat exécutif du Comité national de lutte contre le sida, auprès de quelques populations cibles : les militaires, les professionnels du sexe et les jeunes âgés de 15 à 24 ans. Les résultats renforcent le besoin de communication pour le changement de comportement notamment auprès de ces cibles.

Comment appliquer les connaissances en comportement ? Telle est la question que se posent tous ceux qui travaillent dans la lutte contre le VIH Sida. Car si le taux de connaissance du Sida est élevé, avec 94 % et 95 % chez les jeunes âgés entre 15 et 24 ans, seuls 36 % chez les garçons et 34 % chez les filles avouent en avoir utilisé au moins une fois préservatif dans leur vie. Le taux de prévalence de la syphilis est donc élevé, même si la prévalence du Sida est très faible. Une enquête de surveillance biologique et comportementale a été menée en 2012 sur quelques populations : les militaires, les professionnels du sexe et les jeunes. Ces études ont montré que des efforts en matière d’IEC/CCC restent à faire pour éviter de nouvelles infections.

Militaire. L’étude comportementale sur les militaires a été menée sur 9 sites dans tout Madagascar, à travers les principales grandes régions de Madagascar. 2 049 militaires (gendarmes et militaires) ont participé à cette étude. 73 % d’entre eux ont effectué un dépistage du Sida, et la prévalence reste faible, avec 0,1 %. La prévalence de la syphilis est tout de même plus élevée, avec 3,9 %. Avoir des relations sexuelles avec plusieurs partenaires constitue une porte ouverte vers les risques d’IST. Et pourtant, chez les militaires, 59 % des enquêtés avouent avoir eu plus d’un partenaire sexuel. Et 24 % d’entre eux l’ont fait avec une travailleuse de sexe. Une situation qui s’accroît lorsque les statistiques montrent que ces chiffres sont passés de 9 % en 2008 à 24 % en 2012. Et même si pratiquement tous les militaires ont une connaissance de l’utilisation du condom, et qu’ils savent où s’en procurer, le nombre de militaires à avoir utilisé un condom lors de relations sexuelles est passé de 80 % en 2008 à 62 % en 2012. Chez les militaires, 37 % ne portent aucun jugement sur les PV VIH et ne montrent aucun signe de discrimination.

Professionnels de sexe. L’étude sur les professionnels de sexe a été effectuée sur 10 sites dans plusieurs régions de l’île. 2 512 travailleuses de sexe ont répondu et participé à cette étude. Le taux de prévalence du Sida y est plus élevé, avec une moyenne de 1,3 % et le taux de prévalence de la syphilis y est également très élevé avec 29 %, les TDS les plus infectées étant celles travaillant à Tanà avec 33 %. 66 % d’entre elles avouent utiliser un condom lors de leurs rapports sexuels, mais elles n’étaient que 53 % à avoir effectué un dépistage pour connaître leur statut sérologique. Et la prostitution est de plus en plus tôt : 28 % des professionnelles du sexe ont eu leur premier rapport sexuel avant l’âge de 15 ans. La consommation d’alcool et la prise de drogue sont des comportements qui favorisent la sexualité non protégée. 58 % des professionnels de sexe ont bu de l’alcool et 10 % ont pris de la drogue. Dans ce rayon, les militaires sont plus nombreux avec 28 %.

Jeunes. Les Malgaches entrent de plus en plus tôt dans la sexualité active. Sur les 11 160 jeunes enquêtés à travers les 66 sites sentinelles, ils sont 36 % chez les garçons à avoir eu leur premier rapport sexuel avant 15 ans contre 41 % chez les filles. De plus, ils sont de plus en plus jeunes à avoir des pratiques plutôt douteuses, car 39 % des garçons ont des partenaires sexuels multiples, elles sont 23 % dans le même cas. Et si plus de 90 % ont déjà entendu parler de préservatif, ils ne sont qu’un tiers à en utiliser. 18 % des jeunes ont effectué un dépistage. Un quart des jeunes ne connaissent pas les symptômes de l’IST. Et pourtant, l’on estime que 44,8 % des garçons et 33,6 % des filles ont déjà eu une IST.

Anjara Rasoanaivo

Fifampitifirana teny Antanimora : Basin’ny Gal Ramananarivo no nentin’ireo jiolahy

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Olona sendra nandalo voatifitra teo amin’ny masony!
Olona sendra nandalo voatifitra teo amin’ny masony!
Olona sendra nandalo voatifitra teo amin’ny masony!

Mbola mitohy ny fikarohana ireo jiolahy tafatsoaka.

Rehefa natao ny fanamarinana rehetra dia fantatra fa anisan’ireo basy very tao amin’ny tranon’ny Jeneraly Ramananarivo teny Andohan’i Mandroseza ny nentin’ireo jiolahy saika hanao fakana an-keriny ary nifampitifitra tamin’ny mpitandro filaminana teny Antanimora tamin’ny sabotsy teo iny”, raha ny nambaran’ny tomponandraikitra ambony avy ao amin’ny zandarimariam-pirenena omaly. Tamin’ny alalan’ny laharan’ilay basy no nahafantarana izany. Raha tsiahivina moa dia nandritra ny fisavana ilay fiara Peugeot 405 nentin’ireo jiolahy no nahitana ity basy ity. Efa saika hampiasain’ireo olon-dratsy ilay basy fa raha iny hiondrika haka azy iny indrindra ilay nitondra ny fiara no voatifitra avy hatrany. Ankoatra ity kalachnikov ity moa dia mbola nahitana basy Revolver sy bala telo ihany koa teny amin’ireo jiolahy.

Raha izao fandehan’ny raharaha izao dia misokatra ho any amin’ny fanadihadiana iray hafa indray ny mpitandro filaminana, satria ankoatra ilay fikasana haka an-keriny teratany karana dia miverina misokatra indray ny fanadihadiana mahakasina ny famonoana ity manamboninahitra ambony avy ao amin’ny zandarimaria ity.

Raha tsiahivina dia tamin’ny asabotsy teo, tokony ho tamin’ny 7 ora hariva, no saika haka an-keriny teratany karàna iray ireto jiolahy ireto, izay misy ny mitaingina moto, ary misy ny mandeha fiara. Nitondra vola tamin’ny baoritra io karàna io ary narahan’izy ireo tetsy Tsaralalàna, teo amin’ny Hotel Anjary sy Cocentral. Nisy zandary nanao fanamiana sivily nanaraka ny fihetsik’ireo jiolahy, saingy tsikaritr’ireo  olon-dratsy ka nobahanany tamin’ny moto. Fotoana fohy taorian’izay dia fantatra fa hanao fivoriana vonjimaika tao amina trano iray tetsy Ambohitrakely ireo jiolahy ka nidina teny ny zandary. Vao nahita ireo mpitandro filaminana ireto mpaka an-keriny ireto dia nitifitra avy hatrany. Raikitra teo amin’izay ny fifampitifirana, teo ambanin’ny La Gastro Pizza. Jiolahy telo no maty tamin’izany. Ny iray teo ambonin’ilay moto bol d’or, ny iray ilay nitondra  Peugeot 405,izay nentin’izy ireo, ary ny iray kosa tety ivelany. Ny sasany tamin’ireo jiolahy kosa tafatsoaka, tamina fiara P.405 iray hafa.

Nampahafantarin’ny tomponandraikitra ihany koa fa efa basy mahery vaika 125 izay no efa tratran’izy ireo tany amina jiolahy nandritra ity taona ity, ary mbola mitohy hatrany ny ezaka atao hoentina hamongorana ny asan-jiolahy eto amintsika.

A.R.

CES – CENI-T : Dissolution dans 2 mois

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Le compte à rebours a commencé pour la CENI-T et la CES qui seront dissoutes après la proclamation des résultats officiels des législatives et du second tour de l’élection présidentielle. Les deux entités ayant mis chacune 15 jours (au total 1 mois) pour le scrutin du 25 octobre, elles sont appelées à disparaître du paysage politico-électoral vers la troisième semaine de janvier 2014. En somme, elles ont encore ou elles n’ont plus (c’est selon) que 2 mois d’existence.

Scrutin du 20 décembre : En pleine saison de pluies

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Pour avoir crié trop tôt et trop souvent au cas de force majeure, les autorités électorales en général et la CENI-T en particulier risquent d’être confrontées bel et bien à une situation imprévisible, insurmontable et extérieure à leur volonté. Et pour cause, le second tour de scrutin prévu le 20 décembre 2013 pourrait être à l’eau – au propre comme au figuré – avec la pluie qui bat son plein depuis quelques jours. Il n’est même pas exclu qu’en cette saison cyclonique, les différents acteurs électoraux aient des …dépressions.  Climatiques et/ou psychologiques. Face aux caprices de la météo, les prévisions de dépenses seront inéluctablement révisées à la hausse. Notamment pour la CENI-T car d’autres bureaux de vote seront plus enclavés qu’au premier tour, avec tout ce que cela suppose d’impacts sur la collecte et l’acheminement des documents électoraux. Les deux candidats et leurs sponsors en subiront également les …frais pendant la propagande où ils seront littéralement en campagne. Quitte à être à sec avec la pluie qui pourrait leur jouer un mauvais …tour.

 R. O

Parc national Masoala : Un centre d’interprétation à Maroantsetra

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Le cinquième centre d’interprétation de la Grande Ile a été inauguré à Maroantsetra région Analanjirofo, vendredi dernier, par le Premier ministre Omer Beriziky. Cette infrastructure est destinée à mieux faire connaître les trésors de l’Aire protégée ainsi que les liens étroits entre le parc et la vie socio-économique et culturelle des populations riveraines. « Ce parc est un héritage et une richesse naturelle que nous avons l’obligation de léguer en bon état aux générations futures. La construction de ce centre d’interprétation à vue est réussi, grâce au partenariat public-privé (3P), qui a permis de réunir les partenaires du ministère de l’Environnement et des Forêts, pour la promotion du parc national terrestre et marin de Masoala. Je saisis l’occasion pour faire un appel concernant la lutte contre le trafic de bois précieux. Ce fléau dégrade la forêt et cause la disparition de la faune et de notre biodiversité unique. Il détériore également le filon du tourisme et l’image du pays », a annoncé le premier ministre dans son discours.

Antsa R.

Mahamasina : BC sandoka nosamborina tanaty kaomisaria

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Ny volana aprily lasa teo izy no niditra an-keriny niaraka tamin’ny basy tao anatin’ny fetin’olona izay nambenan’ny pôlisy. Nilaza izy tamin’izay fotoana izay fa miasa eo anivon’ny Brigade Criminelle ka tonga hijery olona sy hanao fanadihadiana. Tsy afa-nanoatra ilay pôlisy niambina ny toerana ary nanaiky ny nidirany tao. Tamin’io fotoana io anefa dia vitan’ilay BC sandoka ny namoaka basy tao anaty fetin’olona. Kely foana sisa no tsy nifampitifirany tamin’ny mpiambina. Voatery nalamina ny raharaha teo. Tamin’ny asabotsy teo indray dia tonga tao amin’ny kaomisaria iray izy ary nilaza fa miaramila mitondra ny galona Adjidà, miasa eo anivon’ny lapan’i Mahazoarivo, izany hoe miadidy ny fiambenana ny Praiminisitra. Ny anton’izany dia ny mba hanaovany ramatahora ny tompon’andraikitra mba hamoaka ilay namany notazonina tao amin’ny Komisaria. Sendra ny patsa iray tsy omby vava anefa ity “mpitandro ny filaminana” ity satria nifenena tampoka tamin’ilay pôlisy (tena izy) izay efa nifanehatra taminy tetsy Anosibe. Nazava teo ny raharaha fa mpisandoka ity sady miaramila no pôlisy ity. Nosamborina avy hatrany izy tao amin’ny biraon’ny pôlisy ary avy hatrany dia notazonina tao. Ela nitoratorahana ka nahavoa voamason’angatra, araka ny fitenin’ny Ntaolo…

D.R

Produits de pêche : Consommation en légère baisse chez les Tananariviens

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Les produits de pêche ne sont pas toujours accessibles à toutes les bourses. (Photo d’archives)
Les produits de pêche ne sont pas toujours accessibles à toutes les bourses. (Photo d’archives)
Les produits de pêche ne sont pas toujours accessibles à toutes les bourses. (Photo d’archives)

Plusieurs poissonniers de quartier dans la capitale constatent depuis une dizaine de jours une légère baisse de leurs ventes journalières de poissons de mer.

Les consommateurs tananariviens seraient-ils moins enthousiastes à consommer du poisson ou d’autres produits de pêche ? En tout cas, le constat des poissonniers, notamment ceux dans ou proches des marchés de quartier, est que les ventes de poisson de mer ont connu une légère baisse depuis plusieurs jours. A raison de 25 kg de produits vendus quotidiennement, jusqu’à 50 kg, voire davantage lors des jours d’achat des restaurateurs, les quantités vendues par les poissonniers de quartier ont sensiblement baissé jusqu’à seulement 15 kg par jour depuis un peu plus d’une semaine.

Est-ce en raison des récents cas d’intoxication par consommation de produits de pêche ? Les poissonniers ne le pensent pas. « Les poissons écoulés sur le marché par les poissonniers ne présentent aucun risque car les espèces de poissons qui consomment les toxines à l’origine des intoxications comme c’était le cas à Fénérive-Est et à Antsiranana dernièrement, sont bien spécifiées et elles ne font pas partie de celles vendues chez les poissonniers », tient à souligner un poissonnier du quartier des 67 ha. Avis partagé par plusieurs autres poissonniers de la capitale.

Toxines. Les informations et directives transmises tout récemment par le ministère de la Santé publique à propos de la consommation de produits de pêche, font référence à ces types de poissons à risque en cette période de l’année. Il s’agit notamment des requins, des sardinelles, des sardines ou encore des tortues de mer dont la consommation est interdite durant la période s’étendant de novembre à mars. Les mêmes informations émanant du ministère précisent que ce ne sont pas tous les poissons de mer qui sont concernés, mais uniquement ceux qui ont ingéré les toxines et dont les espèces sont déjà bien connues des pêcheurs. Ces toxines sont présentes dans certains types d’algues. La période de chaleur et de pluie est propice au développement de ces algues toxiques présentes dans la mer et consommées par les petits poissons, lesquels sont à leur tour consommés par de plus gros poissons qui se retrouvent intoxiqués et meurent.  C’est la consommation de ces poissons qui causent l’intoxication chez les humains. Pour ce qui est des poissons vendus par les poissonniers, il n’y a rien à craindre, assurent ces derniers. Si certains consommateurs préfèrent rester prudents et s’abstiennent d’en manger, d’autres sont parfaitement rassurés et continuent de consommer leurs poissons favoris. « Je connais bien les espèces de poissons que j’achète et elles ne présentent aucun risque. Il ne faut pas se laisser gagner par la psychose. Il suffit juste d’être bien informé pour ne pas être contraint de se priver, finalement pour rien. Ce serait bien dommage », déclare pour sa part une jeune mère de famille, cliente habituée d’une poissonnerie dans le centre ville. En effet, les bienfaits de la consommation de produits de pêche sur la santé, ne sont plus à démontrer.

Hanitra R.

Volley-Ball CCCOI : La 2e place pour STEFAUTO

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Melissa sacrée meilleure joueuse, meilleure attaquante et meilleure contreuse de la Coupe des clubs champions de l’Océan Indien qui s’est jouée à Maurice. (Photo Vonjy Rakotoarimanga)
Melissa sacrée meilleure joueuse, meilleure attaquante et  meilleure contreuse de la Coupe des clubs champions de l’Océan Indien qui s’est jouée à Maurice. (Photo Vonjy Rakotoarimanga)
Melissa sacrée meilleure joueuse, meilleure attaquante et meilleure contreuse de la Coupe des clubs champions de l’Océan Indien qui s’est jouée à Maurice. (Photo Vonjy Rakotoarimanga)

Evoluant à 7 tout au long de la Coupe des clubs champions de la zone 7 de volley-ball à l’île Maurice, les Tamataviennes de Stef’Auto ne rentrent pas bredouille. Pas du tout. Elles se sont offertes la 2e place du tournoi chez les dames en s’inclinant avec honneur face aux réunionnaises de Saint-Denis Olympique en 25-21, 18-25, 25-18 et 25-18. Melissa, la fille de Bao Monique a été pour beaucoup dans cette victoire mais aussi et surtout la cohésion et la solidarité de la bande de 7. Selon Etienne qui les a pris en main sur place, les Réunionnaises sont plus fraîches, moins fatiguées et techniquement supérieures. L’équipe de Saint-Denis a su exploiter la faiblesse des Malgaches et surtout leurs fatigues. N’empêche, Melissa s’offre pour cette compétition d’envergure trois titres de choix meilleure joueuse, meilleure attaquante et  meilleure contreuse. Chez les messieurs, ce titre est allée à Daniel Lozaïque de Beau-Vallon, sacré aussi meilleur serveur et meilleur contreur. La leçon à tirer reste leur hargne à jouer et à gagner mais aussi la ferme intention de leur président Stéphane Ah Waye qui a fait tout pour les envoyer sur place malgré le manque de financement.

Anny Andrianaivonirina

Prochaine étape : le Ccesca un vendredi 13 !

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Silo sera accompagné de Cédrick à la batterie et de Rolf à la basse.
Silo sera accompagné de Cédrick à la batterie et de Rolf à la basse.
Silo sera accompagné de Cédrick à la batterie et de Rolf à la basse.

Silo : Après de petits concerts ici et là et une tournée à Diégo, Fianarantsoa ou encore Nosy Be, Silo va investir le Ccesca… un vendredi 13.

Un vendredi 13 ne présage rien de bon ! C’est en tout cas ce qu’affirment certains. Pour Silo, cette date a toujours été synonyme de retrouvailles et de moments inoubliables avec les fans. Et il espère qu’elle va le rester. Pour cette fois, le chanteur ne va donc par faillir à la tradition. Il va même faire deux pierres d’un coup. Le 13 décembre prochain, le multi-instrumentiste ne va pas seulement donner un concert. Il va également sortir « Silograpy ». « Nous avons annoncé sa sortie au mois de septembre, mais l’album ne va finalement être disponible que le 13 décembre ». Toutefois, le concert ne va prendre l’allure d’un concert de promotion. « Cet évènement est une suite logique à tout ce que nous avons entrepris jusqu’à présent. Nous avons commencé par un cabaret. Puis, un concert à l’IFM et entamé une tournée dans quelques grandes villes ». Aujourd’hui, il est temps pour Silo de monter les marches et de donner un grand concert pour être plus proche de son public.

Avoir le trac ! Une expression qui prend actuellement tout son sens pour Silo. N’étant pas monté sur la scène du Ccesca depuis près d’une dizaine d’années, le chanteur redoute le moment fatidique où il devra à nouveau faire face à ce public… « Mon dernier concert au Ccesca remonte à 2005 ». Ces dernières années, le chanteur a effectivement laissé de côté sa musique pour se consacrer à celle des autres. Un temps révolu ! Réveillé de ce long sommeil dans lequel il a été plongé, Silo, car c’est de lui dont il s’agit, a trouvé sa voie. Aujourd’hui, c’est plus dynamique et plus rock que jamais qu’il revient sur le devant de la scène. Il reconnaît d’ailleurs avoir toujours été rock dans sa façon de vivre, de penser et aujourd’hui, il a également décidé de le refléter dans sa musique. Pour en avoir un aperçu, rendez-vous au Ccesca le vendredi 13 décembre. Ceux qui ne l’ont jamais vu à l’œuvre ne risqueront pas d’être déçus. Avec Cédrick à la batterie et Rolf à la basse, ça risque tout simplement de swinguer !

Mahetsaka

Union européenne : Les observateurs sur terrain à partir du 28 novembre

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A 24 h de l’ouverture de la campagne électorale, plus précisément le 28 novembre, les 42 observateurs de longue durée de la Mission d’observation électorale de l’Union européenne (MOE UE) seront à nouveau déployés dans les régions. Invitée par le gouvernement et la Commission électorale nationale indépendante pour la Transition (CENI-T), la Mission d’observation électorale de l’Union européenne a pour mandat de présenter une évaluation détaillée et neutre du processus électoral. Un rapport comportant une série de recommandations sera présenté aux citoyens et aux autorités de Madagascar un à deux mois après la proclamation des résultats finaux.

Recueillis par Dominique R.