L’affaire de tentative de déblocage « illicite » des 16 milliards d’Ariary au niveau du Trésor fait de plus en plus de furieux. En fait, le Président de la Commission des Finances et de Budget du Congrès de la Transition, le Dr Barison Claude Andriambololona, soutenu par son équipe au niveau de ce parlement, ont également tenu à apporter des revendications pour prouver leur solidarité envers les concernés. « Nous, membres de cette commission, disons « non » à la prise en otage des techniciens qui n’ont fait que bien faire leur travail. Du coup, nous déclarons haut et fort que les enquêtes sur cette affaires devraient être menées à terme et au bon sens, afin d’en identifier les vrais responsables. Par ailleurs, nous savons à quel point il est difficile de débloquer de l’argent au sein du Trésor. Pourtant, ils ont failli réussir leur coup. De ce fait, puisqu’ils sont si intelligents, nous leur demandons de tourner leur intelligence pour le pays, au lieu de voler ».
La production de litchi s’est améliorée en quantité et en qualité, d’après les opérateurs. Mais cette performance n’est pas visible dans toutes les zones productrices. Un grand volume de litchi doit être vendu sur le marché local.
Le kilo de litchi est vendu entre 700 Ariary et 1 200 Ariary dans la capitale, ce qui traduit une forte baisse par rapport aux années précédentes, où les prix atteignaient presque 2 000 Ariary sur la période équivalente. En effet, les opérateurs ont annoncé une amélioration de la quantité, alors que l’exportation par bateau conventionnel sera réduite à environ 16 000 tonnes, pour cette saison, contre 17 500 tonnes pour la saison 2012-2013. La semaine dernière, 7 000 tonnes, soit 7 440 palettes ont été expédiées par bateau conventionnel, pour le marché européen.
Facile. Les zones où la qualité de litchi est meilleure sur le littoral Est, sont proches du port de Toamasina, d’après les opérateurs. Ce qui facilite leurs activités, contrairement à la situation de l’année dernière, où le transport engendrait plus de dépenses. Demain, un autre bateau devrait prendre son départ, avec le même chargement que celui de la semaine dernière. Pour les exportateurs, la saison 2013-2014 s’annonce déjà bonne. De leur côté, les consommateurs locaux pourront également bénéficier d’un prix accessible, malgré la dégradation du pouvoir d’achat. Chez les producteurs, le prix du kilo de litchi fluctue beaucoup, avec une moyenne de 800 Ariary, d’après les opérateurs.
Par expérience des élections dans le passé, les électeurs ne suivent pas toujours les consignes de vote. Ils observent et jugent selon leur instinct. Les deux candidats à la présidentielle du second tour savent certainement que la versatilité de l’électeur ajoute de l’incertitude. En revanche, ils doivent avoir une stratégie bien assise pour récupérer les électeurs qui leur ont fait défaut au premier tour en décortiquant les résultats des bureaux de vote dans les « Fokontany », les communes, les districts et les régions du pays.
Des régions à conquérir
A Antananarivo Renivohitra, le vote sanction est sans ambiguïté. Les électeurs de la capitale ont prouvé en votant pour Jean Louis Robinson qu’ils veulent le retour de Marc Ravalomanana au pays, qu’ils en ont assez du pouvoir de Transition et qu’ils veulent sortir de la crise par la voie électorale. On peut penser que dans tous les bureaux de vote sur le territoire national où Jean Louis Robinson a été en tête ou a réalisé un bon score, les électeurs sont convaincus de ces objectifs. Ils ne s’en détourneront pas au second tour du 20 décembre. Bien au contraire, forts du succès au premier tour, ils iront aux urnes, persuadés de la victoire. Hery Rajaonarimapianina n’a pas démérité. Il a presque toujours été le second dans les bureaux de vote de la capitale et dans de nombreuses régions. Il s’est particulièrement distingué dans le Betsileo. Mais est- ce vraiment le « candidat de la révolution » qui a fait forte impression, ou l’homme nouveau qui a fait une campagne à l’américaine bien dotée en moyens ? Une question qui mérite réflexion. Mais une chose est sûre, les deux adversaires au second tour ont perdu des électeurs. Ils doivent se disputer notamment, le Sud, l’insécurité des zones isolées et enclavées, ont favorisé au premier tour les candidats du pouvoir. Camille Vital, cinquième au classement général a émergé dans cette partie de l’Ile. Hery Rajaonarimampianina est second. Le Sud- Est ensuite. Ce littoral très peuplé leur a échappé et est en revanche allé renforcer Hajo Andrianainarivelo, troisième du classement général. Les voix des électeurs sont allées vers le candidat qui aurait le plus laissé des traces bienfaitrices dans la région parmi les membres du gouvernement de la Transition. Le Dr Jules Etienne, originaire de la région, ne peut que se mordre les doigts. L’Est et le Nord demeurent des enjeux importants au second tour. Roland Ratsiraka quatrième au classement général a démontré que ces régions lui sont en grande partie fidèles. Pour quel candidat les électeurs de tous ces endroits voteront-ils le 20 décembre ? Les consignes de vote ne manqueront pas mais il n’est pas sûr qu’elles soient suivies. C’est dire que les candidats gagneront à mieux écouter et à mieux connaître les centres d’intérêts et les préoccupations de ces électorats qui n’ont pas voté pour eux au premier tour. C’est dans ces contrées que la victoire se joue.
Ny alin’ny asabotsy teo dia nitrangana fanafihana mitam-piadiana maromaro tamin’iny Atsimon-drano iny. Vola an-tapitrisany no voaroba ary olona roa no notifirin’ireo jiolahy ka namoy ny ainy ny iray araka ny fanadihadiana nataon’ny mpitandro filaminana dia andian-jiolahy iray ihany izy ireto.
Imerimanjaka. Ny fanafihana voalohany dia nitranga tao Imerimanjaka – Ambohijanaka. Ny alin’ny asabotsy, tokony ho tamin’ny 10 ora alina dia nisy dimilahy tsy nisaron-tava ary nitondra kalachnikov sy Pistolet Automatique nanafika iray. Niditra an-keriny tao an-trano ireo jiolahy ary nandroba 120.000 ariary sy finday dimy. Nisy tokantrano iray hafa ihany koa teo akaiky nidiran’ireo jiolahy. Niakaran’izy ireo ny tamboho ary nopitsohany ny varavarana no sady nanapoaka basy izy hampitahorana ny tao an-trano. Lasan’izy ireo tamin’io trano io ny vola 300.000 ariary.
Dorodosy. Fotoana fohy taorian’izay dia nifindra tao Dorodosy ireto andian-jiolahy ireto ka trano fisakafoanana sy fandraisam-bahiny no notafihan’izy ireo. Moto scooter, finday telo ary fitaratry ny fiara P. 205 teo antokontany no nalain’ireo olon-dratsy. Mbola nanapoaka basy ihany koa ireto mpanafika ireto, ka voatifitra ny tovolahy iray izay niafina tao ambony rihana. Teo amin’ny sorony no voa ka nalefa haingana teny amin’ny hopitaly izy notaboina.
Ankaraobato. Tokony ho tamin’ny misasakalina dia nifindra teny Ankaraobato – Ankadilalampotsy indray ireo jiolahy. Niditra an-keriny tao an-trano ka raha vao nahita azy ireo ilay raim-pianakaviana dia saika hanohitra, saingy tifitra no navalin’ireo jiolahy azy. Voa teo amin’ny tendany ity rangahy 45 taona ity, ary tsy nivoaka ny bala fa nidina any amin’ny kibony. Maty tsy tra-drano moa ilay lehilahy. Vola 1.600.000 ariary sy finday no nalain-dry zalahy. Tao an-trano ihany dia nifampizara ilay vola ireo mpanafika ary saika raikitra ady mihitsy aza.
Au lendemain de la proclamation officielle des résultats du premier tour de l’élection présidentielle par la Cour Electorale Spéciale, le Parti Vert annonce officiellement sa position vis-à-vis des deux candidats qualifiés pour le second tour. Aussi, au cours d’une conférence de presse organisée samedi dernier à Antaninarenina, Saraha Georget Rabeharisoa a annoncé le soutien du Parti Vert au candidat du Avana et de la mouvance Ravalomanana. Elle va ainsi donner une consigne de vote au profit de Jean Louis Robinson. D’après les explications de l’ex-candidate à la Présidentielle, « Jean Louis Robinson partage à peu près le même projet de Société et les mêmes visions que le Hasin’i Madagasikara qui a cherché un candidat pouvant servir la bonne gouvernance, respecter l’Etat de droit, appliquer une transparence dans la gestion des affaires publiques, disposant d’un meilleur programme pour la protection de l’environnement, la lutte contre la corruption et contre l’impunité, mais aussi, un candidat qui n’a pas encore été impliqué dans les trafics illicites des richesses nationales ». Pour le Parti Vert donc, « le candidat numéro 33 remplit ces conditions ».
142 candidats. En tout cas, Saraha Georget Rabeharisoa est le « premier candidat » à avoir annoncé officiellement la couleur qu’elle va défendre lors du second tour. Faut-il rappeler que le Parti Vert a obtenu 202 956 voix (4,52%) lors du premier tour. Un score qui place Saraha Georget en cinquième position. Cependant, la présidente du « Hasin’i Madagasikara » n’a pas manqué de rappeler l’existence d’imperfections qui restent à améliorer lors du second tour. Des imperfections concernant entre autres, la liste électorale, le manque de sensibilisation des électeurs à propos de l’utilisation du bulletin unique, la lenteur de la publication des résultats de vote et le laxisme de la CENI-T vis-à-vis du non-respect de l’éthique et du Code électoral par certains candidats. La conférence de presse de samedi dernier a été une occasion de présenter à la presse les candidats du Parti Vert aux élections législatives. A noter que le parti présente 142 candidats au niveau des 119 districts.
Raikitra ny fifampitifirana tetsy Antanimora, amin’ny làlana miakatra ho any Ambohitrakely iny ny harivan’ny asabotsy teo. Naharitra ora maromaro izany, vokany jiolahy telo, izay voalaza fa mpanao “kidnapping” no maty voatifitry ny zandary, telo hafa kosa tafatsoaka.
Efa ela no nahazo vaovao ny zandarimariam-pirenena avy ao amin’ny “Groupement Anlamanga sy ny Compagnie Tana-Ville”, ka dia nanaramaso ireto andian-jiolahy ireto. Tamin’io asabotsy io, tokony ho tamin’ny 7 ora hariva,saika haka an-keriny teratany karana iray ireto jiolahy ireto, izay misy ny mitaingina moto, ary misy ny mandeha fiara. Nitondra vola tamin’ny baoritra io karana io ary narahan’izy ireo tetsy Tsaralalàna, teo amin’ny Hotel Anjary sy Cocentral. Nisy zandary nanao fanamiana sivily nanaraka ny fihetsik’ireo jiolahy, saingy tsikaritr’ireo olon-dratsy ka nobahanany tamin’ny moto. Fotoana fohy taorian’izay dia fantatra fa hanao fivoriana vonjimaika tao amina trano iray tetsy Ambohitrakely ireo jiolahy ka nidina teny ny zandary. Vao nahita ireo mpitandro filaminana ireto mpaka an-keriny ireto dia nitifitra avy hatrany. Raikitra teo amin’izay ny fifampitifirana, teo ambanin’ny La Gastro Pizza. Jiolahy telo no maty tamin’izany. Ny iray teo ambonin’ilay moto bol d’or, ny iray ilay nitondra Peugeot 405,izay nentin’izy ireo, ary ny iray kosa tety ivelany. Ny sasany tamin’ireo jiolahy kosa tafatsoaka, tamina fiara P.405 iray hafa.
Nahitana basy “revolver” iray sy bala telo tany amin’ny iray tamin’ireo jiolahy. Rehefa nosavaina ihany koa ny fiara nentin’izy ireo dia nahitana “kalachnikov” iray sy “boîte chargeur” roa. Araka ny fanadihadiana natao dia olona mahafantatra tsara an’io karana saika halaina an-keriny io ny iray tamin’ireto jiolahy ireto ary io no isan’ny mpanome vavao ny namany. Mbola mitohy moa ny fikarohana ireo sasany tafatsoaka amin’izao fotoana izao ary ny “Compagnie Tana Ville” no mandray an-tànana izany.
Lors de la proclamation des résultats officiels du premier tour, Jean-Louis Robinson a été crédité de 21, 16% tandis que Hery Rajaonarimampianina a eu 15,85%.Le total des points obtenus par ces deux candidats est de l’ordre de 37,01%. Il reste ainsi 63% des voix répartis entre les 31 autres candidats. Des points qui pourraient être départagés entre les candidats de Avana et de « Hery vaovao », même si le report des voix n’est pas toujours évident. Probablement, des alliances pourraient voir le jour cette semaine. Toujours est-il que certains candidats ont déjà annoncé que la priorité pour eux est les législatives. Pour ne pas dire qu’ils ne soutiennent aucun des deux candidats. Mais cela pourrait aussi signifier qu’il n’y aurait pas de consigne de vote. D’autres par contre vont encore se réunir avant de se prononcer. Dans tous les cas, des déclarations pourraient avoir lieu avant le 29 novembre date de l’ouverture de la campagne électorale.
Lentement mais sûrement ! Lija se construit un nom, une carrière. Faire cavalier seul, cela lui réussit plutôt bien ! Ayant sorti « Irery aho » il y a quelques semaines, Lija continue de faire connaître son premier album solo. Après le Café de la Gare, il y a deux semaines, l’ingénieur de son de chez Emi music publishing a investi les locaux du Paprika, samedi dernier. Curieux d’entendre et d’apprécier sa musique, mélomanes et amateurs de rock ont honoré l’évènement. Et ils n’ont pas été déçus. Tantôt romantique, tantôt agressif, les compositions de Lija dévoilent la personnalité du chanteur, inconnue jusque-là. Souvent à la guitare, parfois au clavier, celui qui est l’auteur de bon nombre de succès de Tselatra a conquis les mélomanes, du moins, ceux qui avaient déjà eu la chance de l’écouter. Et ce n’est que le début !
Mbola tsy milamina mihitsy hatramin’izao raha ny asan-dahalo any amin’iny faritra Atsimo Andrefana iny no asian-teny. Vokatry ny fifandonana teo amin’ny mpitandro filaminana sy ireo malaso an-jatony nirongo basy sy zava-maranitra, nanafika tao amin’ny kaominina Berohy Atsimo, ka nahaverezana omby 540 niampy basim-borona roa.Dahalo efatra no maty voatifitry ny zandary, nandritra ny fanarahan-dia niaraka tamin’ny fokonolona, ny alakamisy lasa teo. Ny talata teo ireto malaso ireto no nanafika tamin’io tanàna io. Tsy vitan’ny nangalatra omby izy ireo fa mbola nitondra olona telo nataony takalonaina.
Takalonaina iray hita faty. Iray tamin’ireo takalon’aina no hitan’ny fokonolona nanara-dia ny fatiny izay narian’ireo olon-dratsy tao anaty ala. Nomarihan’ny fampitam-baovao avy any an-toerana fa novonoina tamin’ny fomba feno habibiana raha ny fizahana ny razana. Ireo roa sisa ambiny nalaina ankeriny kosa dia mbola tsy nahazoam-baovao ny momba azy ireo hatramin’izao. Tsy mandroba fananana ihany no ataon’ireo jiolahy tsy mataho-tody amin’izao mandritra ny fanafihany fa sahy sy mahavita mandatsa-drà sy aina mihitsy. Manginy fotsiny ny fanaovana takalonaina.
Les enfants du Centre d’Education Spécialisée de Manakara, ont pu partir en colonie de vacances.
Les enfants du Centre d’Education Spécialisée de Manakara, ont pu partir en colonie de vacances.
Quatre centres d’éducation et environ 300 enfants en situation de handicap bénéficient des appuis d’un projet mis en œuvre depuis 2012 par l’association ASMAE et ses partenaires. Après une année d’activités, l’association dresse un bilan à mi-parcours.
Seulement 2% des enfants en situation de handicap sont scolarisés. Soit, 98% de ces enfants, totalement exclus du système scolaire. Des statistiques qui illustrent la gravité de la situation des enfants en situation de handicap à Madagascar. Le projet mis en œuvre par ASMAE (Agir, Soutenir, Mobiliser pour l’Avenir des Enfants) et ses partenaires, et cofinancé par l’Union européenne, s’active à améliorer la situation en proposant un soutien, essentiellement technique, à des structures de prise en charge d’enfants en situation de handicap. Il s’agit, comme le suggère l’intitulé du projet, de « Sortir les enfants en situation de handicap de l’exclusion en leur offrant un accès à une éducation spécialisée de qualité ».
Quatre centres. Le projet propose ainsi son appui à quatre centres d’éducation d’enfants en situation de handicap, à savoir, le centre médico-éducatif « Les Orchidées Blanches » à Androhibe ; le « centre Avotra » de l’association Sembana Avotra Voakolokolo, à Antananarivo ; le Centre d’Education Spécialisée (CES) mentaux de Manakara, qui prend en charge des enfants et des jeunes en situation de handicap mental, en axant davantage ses activités sur l’orientation professionnelle, et l’école Pierre Ratsimba dite « Ecole Sainte Louise » à Fianarantsoa, qui s’engage dans l’éducation intégrée et qui dispose de classes où les enfants en situation de handicap et les enfants sans handicap se côtoient et étudient ensemble. « L’objectif est de faire en sorte que les enfants en situation de handicap bénéficient, eux aussi, d’une éducation de qualité, conformément au concept d’éducation pour tous, à travers une prise en charge éducative des enfants en situation de handicap », précise Aimée Oliva, responsable du projet Handicap au sein de ASMAE Madagascar.
Résultats palpables. Depuis septembre 2012, début de la mise en œuvre du projet, ces quatre centres ont pu bénéficier de formations et d’appuis de conseillers techniques en éducation spécialisée, en hygiène, en santé primaire, en gestion administrative et comptable, et en plaidoyer. De même, des équipements paramédicaux ont été mis à disposition afin d’améliorer la prise en charge de certains handicaps. Des appuis qui ont permis, d’une part, aux éducateurs et autres personnes intervenant au quotidien auprès de ces enfants et jeunes en situation de handicap, de renforcer leurs compétences et d’autre part, aux enfants de bénéficier d’une prise en charge de meilleure qualité. Un an après le début de la mise en œuvre du projet, des résultats encourageants sont déjà palpables auprès des centres bénéficiaires et de leurs petits protégés. Ces derniers bénéficient d’activités variées, dispensées en fonction de leur niveau et adaptées à leur handicap. Des réponses adaptées dans le domaine paramédical telle la kinésithérapie et la psychomotricité ou encore des soins bucco-dentaires, ont pu être proposées. Par ailleurs, l’organisation de colonies de vacances à Foulpointe, au Parc National de Ranomafana et à Betafo et ses infrastructures de soins thermaux, par exemple, a permis la découverte d’autres environnements. De même, des activités de sensibilisation sous diverses formes, entrent dans le cadre des activités de ces centres. Prochainement, la célébration de la journée du handicap, sera une nouvelle occasion pour sensibiliser sur la problématique du handicap, afin de lutter contre la discrimination et l’exclusion des personnes handicapées. Car tout, ou presque, est à construire dans le domaine du handicap en général et de la prise en charge des enfants en situation de handicap, en particulier. Avec une prévalence globale du handicap, estimée à 7,5% en 2007 à Madagascar, soit environ 1.347.150 personnes, les structures de prise en charge font cruellement défaut, tandis que les faits de discrimination et d’exclusion des personnes handicapées par la société, restent courants.
