* Des journalistes relégués au second plan. En effet, après avoir fait la couverture de la présentation de cérémonie de vœux, hier, ils ont dû quitter la grande salle pour gagner ce qu’on a qualifié d’«espace de restauration». Comme s’ils étaient des journalistes de seconde zone.
* Les membres de la presse n’ont pas eu le droit d’utiliser leurs téléphones mobiles, hier, à Iavoloha. Des dispositions qui ont perturbé les journalistes dans l’exercice de leurs fonctions. Pourtant, c’est un outil de travail pour eux.
Recueillis par Dominique R.