
L’arrivée des premières gouttes de pluie de la saison, le week-end dernier, a déjà fait ressurgir les premières difficultés liées aux systèmes d’évacuation d’eaux pluviales dans la ville d’Antananarivo.
Premières pluies très attendues le week-end dernier. Les prévisions météorologiques n’ont pas failli : de la pluie était attendue pour les trois derniers jours de la semaine. Si dès vendredi soir, quelques pluies intermittentes étaient observées dans la partie Est d’Analamanga, la journée de samedi a été marquée par l’arrivée d’une pluie plus abondante sur la ville d’Antananarivo et les régions voisines, dont une partie de l’Itasy et du Vakinankaratra. Pour Antananarivo en particulier, la pluie fortement attendue après plusieurs mois de temps sec qui a mis à mal les cultures essentielles et la végétation, n’a pas manqué de faire renouer les Tananariviens avec les déboires liés aux impacts des précipitations, notamment la stagnation des eaux pluviales sur les chaussées. Tel était le cas dans quasiment toutes les zones basses de la ville où l’averse a déjà causé l’inondation des chaussées durant quelques heures. Le problème de faible débit de l’évacuation des eaux pluviales se reflète aussitôt, dès les premières minutes d’averse. Plusieurs raisons sont avancées pour expliquer cette situation, notamment, les déchets en tous genres bouchant les canalisations, mais également les constructions illicites sur les canaux d’évacuation.
La saison pluvieuse débutante étant déjà synonyme de retour des stagnations d’eaux et d’inondation. En dépit des opérations d’assainissement et de débouchage des grands canaux, l’évacuation des eaux pluviales reste problématique dans les zones basses d’Antananarivo.
Hanitra R.
Aucune compassion pour les inondés et autres !!!! fallait pas jeter vos merdes n’importe ou construire vos taudis sur les canaux !
vous récoltez ce que vous semez !
Bien sûr qu’il faut déboucher les canalisations, mais il faut aussi tenir compte qu’elles sont insuffisantes pour évacuer les pluies abondantes. Les constructions n’importe où sont aussi responsable de cette accumulation d’eau.
Monsieur Andriantsitohaina devrait plancher sur ce sujet, avant que des quartiers ne soient submergés
Il faudrait rajouter d’autres canalisations et remplacer les anciennes qui ont peut-être fait leur temps. On trouve bien l’argent pour faire un grand stade de foot
Des déchets en tout genre entraînés par les eaux de pluie, selon l’ article, sont les significations des saletés laissées par les utilisateurs des lieux. Propreté, quand tu me tiens !
Aller trouver un bouc-emissaire, c’est une forme de tolérance pour les « zava-misy » ;
alors que c’est tous les gens qui sont dans le bourbier – au propre comme au figuré – et l’insalubrité et ses effets pénalisants.
Le maire à s’ installer prochainement se doit d’être impératif et intransigeant sur les remblais et les constructions illicites et inappropriées sur les digues et aux abords des voies d’eau et canaux d’ évacuation. De refuser catégoriquement l’occupation des terrains déclarés inondables par les services des travaux publics et des domaines. Les corrompus seront à exhiber.
Les artifices d’explication sont irrecevables.
De verbaliser les contrevenants aux règles et les marchands interlopes dans l’ intérêt des caisses communales.
Il est un fait d’injustice flagrante d’ autoriser les propriétaires de constructions illicites voire dangereuses à pénaliser et inonder les propriétaires réglos et autorisés à se soumettre aux règles et convenances.
Osons oser !
De beaux discours de tartuffe qui occulte la réalité à savoir la mauvaise gestion par le dernier maire volomboasary et la mauvaise gouvernance de Rainilainga avec le populisme , la corruption et la gabegie . . Nul n’est censé ignorer les causes de ces calvaires pour la population . Le lambo sauvage n’a qu’à patauger dans les détritus et autres boues à l’actif » manarapenitra » de Radomelina ! J’aime ….
Les effets en cascades de la surpopulation à Tana, trop de constructions, pas assez de canalisations. L’eau de pluie ne s’infiltre plus. Un problème d’urbanisme.