Le nouveau Président de la Délégation Spéciale (PDS) de Tana réussira-t-il à faire mieux que ses prédécesseurs à ce poste ? Entre autres et non des moindres, Guy Rivo Randrianarisoa, Hery Rafalimanana, Ny Hasina Andriamanjato, Edgard Razafindravahy, Joseph Ramiaramanana…
Quelles chances pour Ramanambintana ?
Son prénom Richard vient de l’anthroponyme germanique qui signifie « commandant fort ». Et Dieu sait combien le PDS nouvellement nommé se doit de l’être pour gérer la Ville des Mille et un problème. A cette fin, il ne peut pas compter sur son seul nom Ramanambintana qui veut littéralement dire « celui qui a de la chance ». Laquelle peut d’ailleurs tourner du jour au lendemain, surtout dans une cité réputée pour sa population versatile. A l’image de bon nombre d’élus de la capitale qui roulent tantôt à droite tantôt à gauche si ce n’est carrément au beau milieu comme certains véhicules. Y compris les deux-roues qui font du slalom à travers les embouteillages quasi-quotidiens dans les rues de Tana. C’est dire que la circulation constitue un des problèmes majeurs que Ramanambintana doit solutionner s’il veut avoir des chances d’être le maire élu de la ville. En effet, sa nomination au poste de PDS peut être interprétée comme une sorte de prélude à sa candidature aux prochaines municipales prévues à la fin de cette année. En somme, il dispose, non pas de 100 jours comme les ministres, mais de 10 mois pour préparer le terrain s’il veut avoir une chance ou des chances d’obtenir l’onction populaire. Conformément à l’article 5 de la Constitution qui dispose que « La souveraineté appartient au peuple, source de tout pouvoir, qui l’exerce par ses représentants élus au suffrage universel direct ou indirect, ou par la voie du référendum. Aucune fraction du peuple ni aucun individu ne peut s’attribuer l’exercice de la souveraineté ». L’issue d’une élection ne se joue pas au petit bonheur la chance, fut-il pour Ramanambintana. Un PDS qui a toutefois la chance d’être proche du pouvoir mais il lui faut surtout des moyens et de la volonté politique.
R.O
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Rien à espérer pour un MPISOLELAKA » manarapenitra » et il n’aura jamais l’étoffe qu’un GUY WILLY RAZANAMASY . Le journaleux peut tordre le cou dès maintenant et dans tous les sens …
165ème sur 169 économies classées. Madagascar est le cinquième pays le moins développé en matière de technologies de l’information et de la communication avec son score de 26,4 sur 100 dans l’ICT development index (IDI) 2023. Ce même score place la Grande île à la 41ème position sur 45 pays africains se trouvant dans cet indice synthétique établie par l’Union internationale des télécommunications (UIT).
Taux de pénétration internet 20,6 % . Minable comme VELIRANO !