Vue sur les participants lors de cet atelier au Motel qui a commencé hier. (photo Nary)
Vue sur les participants lors de cet atelier au Motel qui a commencé hier. (photo Nary)
Si les infrastructures routières devraient avoir une durée de vie de 10 ans, elles ne sont que de 2 ans à Madagascar, où les routes sont victimes des catastrophes naturelles, des inondations, des changements climatiques, mais surtout des surcharges routières. Ainsi, en 10 ans, ces infrastructures sont passées de 50 000 km à 30 000 km. La Cellule de prévention et gestion des urgences à la primature, avec ses partenaires le ministère des Travaux publics, a alors organisé une formation sur l’application du guide de protection routière contre les inondations qui se tient sur 3 jours au Motel Anosy. Il s’agit d’un outil indispensable pour les ingénieurs en BTP allant de la conception à la mise en application, et jusqu’aux responsabilisations des organisations impliquées. Après cette formation, les bénéficiaires devraient effectuer des formations en cascade auprès des autres ingénieurs et acteurs impliqués dans les constructions routières.
Omaly tolakandro tany amin’ny 3 ora, nisy fanafihan-jiolahy niseho teny amin’ny faritry ny Bazary be Toamasina. Ny loharanom-baovao no nahalalana fa bandy miisa efatra nitondra Scooter no nandroba tao amin’ny “Boutique Telma” Boulevard Joffre. Lasan’ireo olon-dratsy avokoa ny vola rehetra hitany toa miampy telefonina maro. Nitondra basy sy zava-maranitra ireto mpandroba ireto ary dia tsy nisy afaka maina ireo olona rehetra fa voaroba avokoa. Nisy vehivavy iray handrotsaka vola hatrany amin’ny 7 tapitrisa tany voaendak’ireo olon-dratsy. Nalainy koa ny vola tao anaty “caisse” mitentina 5 tapitrisa. Rehefa azony izany rehetra izany dia lasa nandeha izy ireo. Tsy ela anefa dia tonga ny mpitandro filaminana ary raikitra avy hatrany ny fanenjehana ireo jiolahy. Tsy nisy tratra intsony anefa ry zalahy fa efa dila. Malaza any an-toerana ny jiolahy mitondra moto manafika. Ny loharanom-baovao hatrany no nahafantarana fa efa tena maty paika avokoa ny fanafihana vao manao izany ireo mpandroba ireo. Misy aza ny milaza fa efa mahazo vaovao izy ireo vao mihetsika, ary dia mora ho azy ireo ny manao ny asa ratsiny.
Toa tsy misy fiafarany koa ny halatra miharo herisetra ao Toamasina ao. Vao tsy ela akory izao no nisy fandrobana nahatratrarana bandy roalahy nanao fanafihana mitam-piadiana. Voamariky ny mponina fa ny Scooter no tena mahakinga ireo jiolahy. Afaka mandositra avy hatrany mantsy ry zalahy amin’izay. Tsy milamina ny tanàna araka izany. Vao tamin’ny alatsinainy no nisy ny fakana an-keriny Karàna izay tsy mbola misy mangirana ny mikasika izany. Omaly indray dia fandrobana no niseho.
Ils tirent tous sur la Ceni-T. Bien trop d’anomalies et d’irrégularités ont échappé aux observateurs. C’est maintenant à quelques jours de la proclamation des résultats définitifs du premier tour de l’élection présidentielle par la Cour Electorale Spéciale que les témoignages affluent. Ils sont intéressants mais ne pourront plus être pris en compte par la Cour. A se demander pourquoi la Cour n’a-t-elle pas été saisie de toutes ces requêtes dans les délais impartis. Mais il est aussi fort possible que la Cour ait découvert ces anomalies, ces fraudes et ces irrégularités qui discréditent le prétendu professionnalisme de la Ceni-T.
1er tour et fraudes
Que répond cette Institution qui a utilisé énormément d’argent pour la préparation et l’organisation de ces élections, à toutes ces interpellations du moment ? En quoi consistent exactement les améliorations qu’elle compte réaliser pour éteindre les craintes des uns et des autres au second tour. On attendait de la Ceni-T qu’elle diffuse les listes électorales par bureau de vote pour que les électeurs puissent vérifier si leurs noms y figurent. Mais la Ceni-T ne s’est pas pliée à ce souhait de beaucoup de gens. Le résultat est que beaucoup d’électeurs ont disparu des listes électorales le jour du scrutin dans de nombreux bureaux de vote. De nombreuses listes électorales ont comporté des doublons. Des électeurs auraient pu voter trois fois. Le président du Monima figure dans ce cas, inscrit dans les listes à trois endroits différents. La méthode de la Ceni-T a comporté des lacunes qui ne devraient plus se reproduire au second tour. Sinon, les soupçons de fraudes massives ont surtout été affirmés par des membres du Congrès. Maka Alphonse, membre du Congrès de la Transition, n’en revient pas devant les résultats affichés dans des bureaux de vote d’Amboasary dans le Sud où il était le jour du scrutin. Un exemple, 9 000 électeurs avec seulement 3 800 inscrits. Un autre, 4 000 sur une liste électorale et 8 000 votants. Njato Razafiandriambelo , vice-président du Congrès et ingénieur statisticien de formation, soupçonne l’utilisation de deux listes électorales en vue de fraudes. Comment des électeurs peuvent-ils posséder des cartes électorales alors qu’ils ne sont pas inscrits dans les listes qui servent de référence pour établir les cartes électorales. On attendait aussi de la Ceni-T qu’elle publie les résultats par bureau de vote au fur et à mesure qu’elle les reçoit. Mais là non plus, elle ne s’est pas exécutée évoquant un cas de piratage de son site qui l’obligeait à ne publier que des résultats par région/ district. Y-a-t-il eu des tripatouillages des résultats au niveau de la Ceni-T ? Le dernier mot appartient à la Cour Electorale Spéciale sur les résultats du premier tour. Elle travaille discrètement, indépendante et autoritaire. Mais a-t-elle détecté les fraudes qui font l’objet de soupçons et de témoignages pour proclamer des résultats crédibles conformes aux attentes de la population ?
De sources concordantes, Ambohitsorohitra serait en ce moment en train de préparer une vague de limogeage de chefs de région. Plusieurs responsables des régions seraient dans la ligne de mire du président de la Transition. D’après les rumeurs qui ont circulé ces derniers temps, plusieurs chefs d’Administration qui, par souci du respect des principes de la neutralité, ont refusé de se soumettre aux ordres de leurs chefs hiérarchiques lors du premier tour de l’élection présidentielle, risqueraient de perdre leur place incessamment. Ce serait donc le cas des chefs de région dont le décret d’abrogation de leur nomination serait signé d’ici peu. Par ailleurs, le pire c’est qu’ils vont être remplacés par des Officiers supérieurs. L’objectif serait de verrouiller l’Administration, soit pour mieux contrôler les agissements des agents de l’Etat lors du second tour, soit pour torpiller le scrutin. En tout cas, dans le cadre de la mise en œuvre de cette « manœuvre », 9 Officiers supérieurs, dont 2 Généraux et 7 Colonels seraient convoqués à Ambohitsorohitra ce jour. Ils vont certainement passer un entretien pour leur nouvelle nomination. Cependant, d’après nos sources, certains d’entre eux ont déjà refusé le poste. Le limogeage de 7 Chefs de région, entre autres, Faharo Ratsimbalison, Josoa Maminirina, Saina Michel, Paul Razanakolona et consorts à la veille du premier tour a déjà provoqué des polémiques.
Mamy Robinson et Francia Randrianarisoa foncent comme ils en ont l’habitude au taebo. Cette fois-ci, avec leur staff, ils vont participer au festival des arts martiaux de ce 1er décembre au Palais des sports. « Nous collaborons avec toutes les disicplines, nous a expliqué Francia Randrianarisoa. L’aïkido initie ce projet et nous sommes toujours partant ». En fait, le 40ème anniversaire du club aïkido Fanantenana sera conjugué au jubilé de 20 ans d’aïkido de son responsable technique Lova Rakotomavo. Le taebo qui est un sport de fitness par excellence car sport d’entretien (fitness) et de self-défense a besoin de ce genre de plateau pour s’épancher. Sans compétition, le taebo trouve sa raison d’être avec le bien-être de ses pratiquants. Notons que ce festival d’arts martiaux verra 29 disciplines d’arts martiaux en lice.
Misaron-tava ary mitondra basy ny iray tamin’ireo jiolahy.
Olona iray voatifitra teo amin’ny lohany ary vola 8 tapitrisa, finday, ordinateur portable sy fitaovana lafovidy maro samihafa voaroba. Io no vokatry ny fanafihana mitam-piadiana nitranga tetsy Anosibe, ny alin’ny alatsinainy hifoha talata teo. Voalaza fa tokony ho tamin’ny misasakalina mahery kely tany ho any no niditra an-keriny tao amina tokantrano iray ny jiolahy miisa dimy. Ny roa tamin’izy ireo mitondra sabatra, ny iray misaron-tava ary mitondra basy. Avy hatrany dia noteren’izy ireo hamoaka ny vola tao an-trano ny tompon-trano. Nisy anefa ny fifamaliana teo amin’ny andaniny sy ny ankilany ka tsy nisalasala ireo jiolahy nitifitra. Voatifitra teo amin’ny lohany ilay raim-pianakaviana, 61 taona. Naratra mafy izy vokatr’izany saingy mbola nahatsiaro tena tsara. Nihorohoro vokatr’izany ny tao an-trano ka dia nanaiky izay baiko rehetra notenenin’ireo mpanafika. Fantatra moa fa mpivarotra voatavo eny Anosibe ity voatifitra ity. Vola 8 tapitrisa no norobain’ireo jiolahy tao an-trano. niampy finday miisa dimy, play station, ordinateur portable iray, ary amplificateur. Vao nahazo ireo entana lafovidy sy vola ireo olon-dratsy dia lasa nandositra avy hatrany.
Na dia teo aza ny ratra mafy nahazo ilay mpivarotra dia mbola avotra soa aman-tsara ihany ny ainy. Nentina avy hatrany notsaboina teny amin’ny HJRA moa izy raha vao afaka niantso vonjy ny tao an-trano. ny polisy avy ao amin’ny commissariat ao amin’ny boriboritany faha-4 no misahana ny fanadihadiana mahakasika ity raharaha ity. Efa mandeha ihany koa ny fikarohana ireo olon-dratsy.
La hausse des prix à la pompe se fera par étape jusqu’à l’application totale de la vérité des prix.
La hausse des prix à la pompe se fera par étape jusqu’à l’application totale de la vérité des prix.
Le gouvernement de Transition a finalement accepté de retourner progressivement vers la vérité des prix.
« C’était une décision qu’on aurait dû prendre depuis longtemps ». La réaction est d’un économiste qui se réjouit du fait que le gouvernement ait finalement abandonné le blocage des prix pétroliers et par conséquent en acceptant la hausse des prix à la pompe des carburants. La première d’une série de hausse en fait, puisque dans les prochains mois, d’autres révisions des prix pétroliers auront probablement lieu.
Raisonnable
Mais que les consommateurs se rassurent, puisqu’ils passeront probablement les fêtes de fin d’année avec les mêmes prix que ceux pratiqués actuellement. A savoir : 2 800 ar pour le gas-oil, 3470 ar pour le super carburant et 2 280 ar pour le pétrole lampant. On apprend en effet, de source auprès des pétroliers qu’il n’y aura pas de hausse avant la fin de l’année. « La prochaine révision à la hausse des prix pétroliers aura probablement vers début 2014 précise-t-on sans donner des précisions. Une hausse qui sera raisonnable mais qui sera suivie d’autres, puisque le principe retenu étant le retour progressif vers la vérité des prix, qui sera appliquée dans le perspective du retour des bailleurs de fonds, après l’élection du nouveau Président de la République, et partant l’émergence d’un nouveau régime légal et légitime qui pourra négocier avec les partenaires financiers internationaux bilatéraux ou multilatéraux.
Economie de 4 milliards d’ariary
Bref, malgré les impacts négatifs au niveau des consommateurs qui paieront donc encore plus, ce retour progressif à la vérité des prix s’avère indispensable pour éviter un choc, c’est-à-dire une hausse brusque et inattendue qui pourrait être fatale. Cette décision du gouvernement, prise en concertation avec les opérateurs pétroliers se justifie d’ailleurs à plusieurs points de vue. Du côté des compagnies pétrolières tout d’abord, elle permettra de combler progressivement le gap dû au blocage des prix pratiqué pendant plusieurs mois. Ensuite, l’Etat fera l’économie de la subvention, car ce qu’il ne faut pas oublier c’est que ce blocage des prix à la pompe coûte à l’Etat la bagatelle de 4 milliards d’ariary par an. En somme, et comme le reconnaissent d’ailleurs les observateurs économiques, il était vraiment temps de retourner à cette vérité des prix et de l’appliquer progressivement, pour le bien de tout le monde.
Cap à Madagascar ! Après une grande première en Suisse, les photos de Jean Mohr seront de suite exposées dans la Capitale. Les amateurs les retrouveront donc sur les cimaises du Tahala Rarihasina, du 21 novembre au 4 décembre, « Avec les victimes de guerre ». M. Eric Mayoraz, l’Ambassadeur de Suisse à Madagascar d’apporter plus de précision : « Les 60 photos de Jean Mohr illustrent avec art, sensibilité et respect, le portrait des victimes de divers conflits, des réfugiés et des communautés fragilisées par la guerre, sur qui pèsent encore des menaces. Sur plusieurs décennies, en Palestine, à Chypre ou sur le continent Africain, le photographe suisse donne un visage aux victimes et retrace les étapes de leur déplacement et leur situation précaire qui tend à se prolonger indéfiniment. Jean Mohr est un photographe humaniste reconnu. Plus de 80 expositions lui ont été consacrées en Suisse et dans le monde. Cette année, le Musée de l’Elysée de Lausanne a déjà présenté cette exposition hors de ses murs, au Palais des Nations unies à Genève. Madagascar a été choisi pour sa première sortie de Suisse et d’Europe ». Une table-ronde sur le thème « Les défis du Droit International Humanitaire à Madagascar » accompagnera l’expo. Cet évènement se tiendra à l’Université Catholique de Madagascar (UCM) le 27 novembre à partir de 10h. Des représentants de la Commission Nationale de Droit International Humanitaire de Madagascar échangeront leurs expériences sur ce thème avec des experts nationaux et internationaux, dont l’Ambassadeur de Suisse et le Délégué régional du CICR pour l’Océan indien. En 2014, Fianarantsoa pourrait également accueillir cette exposition.
Depuis environ trois mois la ville de Sambava souffre du délestage. Une situation qui a ravi les bandits de tout bord, qui ont profité du noir total pour faire main basse sur les poulaillers et autres biens privés ou publics. Selon un responsable de la Jirama, le mauvais état des groupes a été déjà signalé au supérieur hiérarchique. Peine perdue puisque malgré les descentes sur terrain les responsables locaux butent souvent sur le manque de moyens de travail.
Pour la population locale, le manque d’éclairage public est à l’origine de la recrudescence des actes banditisme et les citoyens pointent du doigt de la JIRAMA comme étant à la source de l’insécurité. « Les pannes répétées des deux grands groupes électrogènes nous causent énormément de problèmes » explique un responsable de la JIRAMA. Durant cette époque, les quartiers populaires ne sont éclairés que pendant deux heures par jour. Pire, durant la campagne électorale qui a eu lieu en même temps que la Festivanille, les consommateurs ont été privés complètement d’électricité.
Le Chef du Sous-Groupement resté en permanence aux côtés des techniciens de la Jirama Sambava, pour faire avancer les travaux a expliqué que l’attente des pièces de rechange a fait défaut. Elles ne sont arrivées à SAMBAVA que lundi dernier, et les personnels se sont donc trouvés dans l’obligation de travailler pendant deux jours et deux nuits pour rattraper le temps tout en arrêtant provisoirement les travaux sur les petits groupes encore en réparation. Le groupe de 1500kVA, démarré vers 21h 30 du mercredi est le troisième qui marche encore. « Nous entamerons la réparation des deux autres petits groupes électrogènes dès que les deux grands sont opérationnels », rassure-t-on auprès de la Jirama Sambava.
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