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samedi, août 16, 2025
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Hôtel Ibis : Une « Vitrine sur l’Inde » pendant deux jours

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« De nombreux opérateurs indiens souhaitent investir à Madagascar », déclare l’Ambassadeur de l’Inde à Madagascar, Mme Manju Seth.
« De nombreux opérateurs indiens souhaitent investir à Madagascar », déclare l’Ambassadeur de l’Inde à Madagascar, Mme Manju Seth.
« De nombreux opérateurs indiens souhaitent investir à Madagascar », déclare l’Ambassadeur de l’Inde à Madagascar, Mme Manju Seth.

L’Inde et Madagascar célèbrent le jubilé diamant de leurs relations diplomatiques.

Les liens d’amitié entre Madagascar et l’Inde existent depuis 200 ans, mais l’arrivée du premier consul général indien dans le pays a eu lieu en 1954. Les relations diplomatiques entre les deux pays ont déjà ainsi 60 ans. Dans le cadre de la célébration de ce jubilé de diamant, l’Ambassade de l’Inde et le Cercle Inde Madagascar (CIMA) organisent une exposition baptisée « Vitrine sur l’Inde » qui aura lieu le vendredi 14 et le samedi 15 Février 2014 à l’hôtel Ibis à Ankorondrano. « L’objectif consiste à renforcer davantage les liens d’amitié entre l’Inde et Madagascar tout en faisant connaître l’Inde sur tous ses aspects économique, social et culturel », a expliqué l’Ambassadeur de l’Inde à Madagascar, Mme Manju Seth lors d’une conférence de presse qui s’est tenue hier à l’hôtel Ibis à Ankorondrano.

Partage d’expériences. En fait, les opportunités d’études en Inde sous forme de télé-éducation, de bourses d’études et de formation professionnelle et l’évolution de la technologie médicale indienne dans les domaines de l’ophtalmologie, le tourisme médical, et la télé-médecine seront exposées durant la « Vitrine sur l’Inde ». Des stands seront également érigés afin d’exposer les habillements et les bijoux spécifiques indiens, l’art culinaire indien, sa culture, son historique et son développement. Outre ces expositions proprement dites, des projections de films « Bollywood », des documentaires sur la culture, l’éducation et le tourisme en Inde ainsi que les partages d’expériences sur la formation en Inde par les anciens boursiers de l’Inde seront aussi au programme.

Meilleure stabilité. Parlant du Cercle Inde Madagascar ou CIMA, cette société d’amitié indo-malagasy a été créée officiellement le 27 juillet 2010. C’est une association laïque, apolitique et à but non lucratif visant à consolider et à renforcer les liens d’amitié entre les peuples indiens et malgaches. Quant à la coopération entre les deux pays, l’Inde accorde une attention particulière au transfert de compétence, de technologie et de renforcement de capacité des étudiants et des professionnels dans les pays en développement dont Madagascar. « De nombreux opérateurs indiens souhaitent investir à Madagascar en vue de créer des PME et PMI fabriquant des pièces auto, des outils métalliques et du sucre, entre autres. L’Inde appuie également Madagascar dans le domaine de l’agriculture.  On n’attend plus que la formation du gouvernement malgache pour réaliser ces projets dans le cadre d’une meilleure stabilité », a fait savoir l’Ambassadeur Mme Manju Seth.

Navalona R.

Tourisme : De nouveau sur une liste noire

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Madagascar figure parmi les destinations déconseillées par le Département des affaires consulaires des Etats-Unis, pour cette année. En effet, si très peu d’américains veulent se rendre au Mexique pour leurs vacances d’été, 10 autres destinations font également l’objet d’avertissement pour haut risque d’acte de violence. La Grande-île est au 10e rang de cette liste noire. Selon le rapport publié par le Département des affaires consulaires des Etats Unis, les touristes américains ne devraient pas passer de longs séjours dans les destinations mentionnées, à cause de l’insécurité et des cas de violence contre les touristes. « Depuis janvier 2009, Madagascar a été exposé à des conflits vicieux et à la corruption faute de confiance envers les dirigeants. Malgré le fait que les résidents américains n’ont pas été victimes jusqu’à l’heure actuelle, il est déconseillé aux américains de faire du tourisme à cette destination », a-t-on lu dans ce rapport. Contacté au téléphone par le professionnel du secteur, Patrick Ramonjavelo, le président de l’ATA (Africa Travel Association) basé à New York, a promis d’apporter son aide, si les choses vont dans le bon sens.

Antsa R.

Insécurité alimentaire : 46 000 personnes en difficulté dans le Sud et le Sud-Est

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Les catastrophes naturelles telles les inondations et les sécheresses, ont eu raison des activités agricoles et de subsistance des populations du Sud et Sud-Est de Madagascar.  La Suisse vient d’octroyer 2,5 milliards d’ariary au PAM pour leur fournir une assistance alimentaire.

Quelque 46 000 personnes sont actuellement en situation de difficulté alimentaire dans le Sud et le Sud-Est de Madagascar. Ces populations ont dû faire face aux catastrophes naturelles, notamment les inondations et les sécheresses qui ont frappé cette partie Sud de la Grande île. Actuellement, en pleine période de soudure, ces populations ont du mal à trouver de quoi se nourrir. Le Programme Alimentaire Mondial (PAM), particulièrement actif dans cette partie Sud de Madagascar, vient de bénéficier, à travers son programme de secours et de redressement, d’un soutien de 2,5 milliards d’ariary de la Suisse. Un appui qui permettra au PAM de fournir une assistance alimentaire à ces 46 000 personnes et de renforcer, par ailleurs, la lutte contre la faim, le défi à relever étant l’atteinte de l’objectif « Faim Zéro ».

Vivres ou argent contre actifs. Outre l’assistance alimentaire, d’autres activités initiées par le PAM et ses partenaires consistent à construire ou à remettre en état des infrastructures endommagées par les catastrophes naturelles et en partie à l’origine de la situation de difficulté alimentaire des populations. Ces infrastructures étant indispensables pour la reprise et la viabilité des activités agricoles. La formule « vivres ou argent contre actifs » permet actuellement d’entreprendre les travaux de construction ou de réhabilitation de bassins de captage d’eau, de canaux d’irrigation et de barrages de rétention d’eau. Ce, tout en donnant aux populations la possibilité d’obtenir de quoi subvenir à leurs besoins alimentaires. Chaque participant reçoit une ration familiale ou de l’argent contre sa participation aux travaux communautaires.

Une telle approche évite de cultiver la tendance à l’assistanat chez les populations bénéficiaires, tentées de se contenter d’attendre les séances de distribution de nourritures venant des organismes tels que le PAM.

Hanitra R.

Chant polyphonique : « Une Saint Valentin en Chœur » avec le chœur Miangaly à l’IKM Antsahavola

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Une autre manière de vivre la Saint Valentin avec le chœur Miangaly.
Une autre manière de vivre la Saint Valentin avec le chœur Miangaly.
Une autre manière de vivre la Saint Valentin avec le chœur Miangaly.

C’est une autre manière de célébrer la Saint Valentin à laquelle nous convie ce  groupe de chanteurs et chanteuses aux qualités vocales exceptionnelles. Les mélomanes ne regretteront pas de venir à son concert vendredi prochain.

Les ensembles liturgiques malgaches n’ont rien à envier aux grandes formations chorales étrangères qui se produisent régulièrement dans les choralies internationales. Cependant, le chœur Miangaly se distingue de ses homologues de la grande île par le fait qu’il s’agit d’un chœur privé, rassemblant des jeunes chanteurs et chanteuses formés par RAHF, un chef de chœur désirant populariser cet art si particulier du chant choral. Lui et son groupe ont fait plusieurs concerts où ils l’ont sublimé. Jusqu’à présent, ils se sont surtout attaqués au répertoire classique. Mais à l’occasion de cette Saint Valentin, ils vont offrir au public un récital différent où ils vont mêler standards de variété internationale (chansons de John Lenon, Edith Piaf, Louis Armstrong, Henry Mancini, Céline Dion, Eric Clapton ou Elton John) et œuvres de compositeurs classiques. Le spectacle commencera à 19h et il va permettre à ceux qui viendront de vivre la Saint Valentin autrement, c’est-à-dire de la vivre…..en chœur.

Patrice RABE

Présidence : La relance pour leitmotiv

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« Engagements présidentiels pour la relance économique à Nosy-Be ». C’est le titre du communiqué de presse de la Présidence de la République qui rapporte le déplacement à Nosy-Be du « Président de la République, SEM. Hery Rajaonarimampianina ». Et dont le leitmotiv est la relance, comme il est souligné à plusieurs reprises dans ledit communiqué. « Relance de l’économie nationale ; relance prochaine des activités de la Sirama ». Sans oublier la « relance du secteur touristique à Nosy-Be qui sera un projet pilote parce que c’est une grande île à côté d’une autre plus grande », dixit le chef de l’Etat.

Davis R.

Amoron’i Mania : Lancement officiel de la campagne de reboisement

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Le directeur régional de l’environnement et des forêts (à g.) et le chef district d’Ambositra (à dr.) entourant le chef de région Razafimaro Joseph lors du lancement officiel. (Photo Anastase)
Le directeur régional de l’environnement et des forêts (à g.) et le chef district d’Ambositra (à dr.) entourant le chef de région Razafimaro Joseph lors du lancement officiel. (Photo Anastase)
Le directeur régional de l’environnement et des forêts (à g.) et le chef district d’Ambositra (à dr.) entourant le chef de région Razafimaro Joseph lors du lancement officiel. (Photo Anastase)

La station forestière d’Andraimbe-Ambositra a été choisie par la direction régionale de l’environnement et des forêts d’Amoron’i Mania pour le lancement officiel de la campagne de reboisement, le 7 février dernier. Une campagne qui, comme on le sait, a été placée sous le thème « plantez un arbre, plantez notre avenir ».

Selon les explications du directeur régional de l’environnement et des forêts, cette cérémonie a été possible grâce à l’appui  financier des partenaires, de citer  l’association WWF, Madagascar National Parks, SNGF, les exploitants forestiers, etc. Pour la circonstance, selon toujours Rarivomanana Philibert 1 000 jeunes plants d’eucalyptus ont été mis en terre avec la participation des services techniques déconcentrés, des ONG, des associations qui furent nombreux sur le terrain. « Le reboisement est un devoir national », a renchéri, le chef de région d’Amoron’i Mania, Razafimaro Joseph et d’exhorter tout un chacun à prendre soin de ces jeunes plants pour la réussite de cette campagne.

Anastase

Kick-boxing – Combat de défi : Un duel Rasta- Rababany!

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C’est l’ouverture de la saison. Un grand combat de défi de kick-boxing sera organisé ce 1er mars au Gymnase de Mahamasina. Une compétition initiée par Maître Gilbert mais sous l’égide de la Fédération malgache de kick-boxing et disciplines associées de Briand Andrianirina. Cela fait depuis quelques temps que les férus de la boxe pied poing attend ce duel de choc. Rasta a fait beaucoup parler de lui depuis 3 ans environ en participant à des rendez-vous internationaux. De son côté, Rababany s’est distingué aussi dans cette discipline, cette confrontation promet des étincelles.

Au programme, Menavolo se mesurera à Billy, Johnny défiera Jovin, Komando sera face à  Doda et le duel Tahiana-Jimmy. Du côté des dames, Faratiana affontera Miora et Aline en découdra avec Fahendrena. De belles empoignades en perspective.

T.H

Pirelli : Evolution technologique présentée au Ibis Ankorondrano

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Les plus de 200 participants à la formation de Pirelli ont également reçu des certificats et des goodies.
Les plus de 200 participants à la formation de Pirelli ont également reçu des certificats et des goodies.
Les plus de 200 participants à la formation de Pirelli ont également reçu des certificats et des goodies.

Le pneumatique connaît un grand progrès technique et technologique. Une formation de deux jours, accordée par la marque Pirelli aux automobilistes, transporteurs et gestionnaires de parc auto, s’est tenue à l’espace Eden, Ibis Ankorondrano. Sur 150 invitations envoyées, plus de 200 participants ont assisté à l’atelier.

La révision, les règles et les principes relatifs au pneumatique sont encore peu connus des utilisateurs, si on se réfère aux informations transmises lors de la formation accordée par les techniciens de Pirelli, au Ibis Ankorondrano. En effet, une vingtaine de catégories de pneus ont été présentés. « Même pour une même dimension, les pneus ne sont pas les mêmes. Certains ont été conçus pour l’avant, d’autres pour l’arrière et d’autres encore pour les remorques. Il y a également des produits spécifiques aux pistes. Bref, les automobilistes doivent connaître le pneu adapté pour assurer un meilleur rendement et éviter au maximum les accidents », a informé le spécialiste Winfried Grygier, envoyés par Pirelli. Notons que la formation de mardi dernier était consacrée aux pneus pour 4×4, aux véhicules utilitaires et aux voitures légères. Pour hier, les discussions ont été centrées sur le cas des poids lourds.

Ecologique. La gamme P-01 et la gamme écologique ont été en vedette lors de la formation sur le pneumatique de mardi et mercredi. Pour l’assistance, le centre d’intérêt se portait plutôt sur le rendement kilométrique, si les paramètres, sur lesquels les grands producteurs se concentrent, sont la sécurité, le freinage, l’adhérence et les normes sur l’émission de bruits. « Nous avons lancé des produits qui répondent à ces attentes. Avec la série 01, l’automobiliste gagne une réduction de 5% sur la consommation de carburant et un supplément de 30% sur le kilométrage effectué. Cette série a également plus de tenue de route sur une piste mouillée. Nombreux sont les nouveaux produits de ce genre, sans citer les pneus avec des anti-crevaisons. Actuellement, on se tourne également vers les produits écologiques qui sont plus résistants », a affirmé Christophe Vanier, manager de Pirelli pour la région Océan Indien et Afrique Australe.

Antsa R.

Manandriana : Tovolahy maty an-drano

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Ny tolak’ andron’ ny talata 11 febroary teo, tokony  ho tamin’ ny 4 ora hariva no nisehoan’ ny tantara. Fitsangatsanganan’ olon-droa mpifankatia teny amoron’ ny dobo tao Ambodirina , nafana dia nafana ny andro ka  nanankevitra ny hilomano ny tovolahy, ny tovovavy kosa nisafidy ny hitazana ny olon-tiany tety amoron-drano . Vao herotrerony tokoa ity tovolahy maty satria vao iraika amby roapolo taona monja. Tsy fantatra marina anefa izay  zava-niseho fa toa nibolisatra ity lehilahy , hitan’ ity olon-tiany tsara ny zava-nitranga fa indroa izy no nipoitra sy nilentika ka ny fanintelony dia tsy tazana intsony. Teo vao nikoropaka ilay tovovavy niantso vonjy tamin’ ny olona teo amin’ ny manodidina , natao daholo ny famonjena ilaina rehetra, saingy tsy voavonjy intsony ny ainy, tamin’ ny valo ora sy sasany  no tonga teny an-toerana ny zandary, efa tafakatra teny amoron-drano  ny razana ary hita teo amin’ ny sofiny roa ny rà  nivoaka .Raha ny fahitana ny razana dia toa sempotry ny rano ary feno ny havokavony .

Hanentanana antsika hatrany fa ny mahay milomano ihany no maty an-drano, amin’ izao fotoanan’ ny hafanana izao tokoa mantsy dia fahazaran ‘ny olona sasany ny mandro na misasa eny an’ ony. Ny loza anefa tsy mampilaza, indraindray tokoa mantsy itony dobo itony nangalan’ ny olona rihatra nanaovana biriky, tsy hita izany rehefa tondraka ny rano indrindra amin’ izao fotoam-pahavaratra izao ka mahatonga voina ho an’ ireo izay tratrany.

ALEM

Reboisement : Les artistes s’activent à travers « Hazo aina » !

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Nini Donia s’attelant à la tâche.
Nini Donia s’attelant à la tâche.
Nini Donia s’attelant à la tâche.

Jaojoby, Nini Donia, Tsiakoraka, Henri Ratsimbazafy, Angela, Vaney’s, Taa tense, Jerry Marcoss, Njakatiana, Tirike… ils étaient tous là pour apporter leur contribution à l’environnement et donner l’exemple. Car selon eux, le rôle des artistes ne se limite pas seulement à chauffer l’ambiance. Ils ont des responsabilités vis-à-vis de leurs concitoyens et de leur pays. Le reboisement effectué par le syndicat des artistes qui s’est tenu hier à Ambohidrakitra a donc été l’occasion pour ce dernier de dévoiler « Hazo aina » (arbres de vie). Initié par Rajery et Dama, ce projet est une stratégie visant à améliorer le reboisement dans la Grande Ile. « Associations, entreprises, simples citoyens… tout le monde effectue des reboisements. Une action tout à fait louable. Seul hic ? Le suivi. Il y a une faille dans les stratégies de reboisement. C’est là la pertinence de ce projet. Pourquoi ? Parce que nous plantons des arbres fruitiers, et dans les environs des EPP. Ainsi, les élèves de ces écoles primaires veilleront à ce que leurs arbres survivent et pourront par la même occasion bénéficier de leurs fruits », selon Rajery.

Mahetsaka