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mercredi, juin 18, 2025
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Ambatovy : Deux projets réalisés dans le cadre de l’engagement social

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Les 25 millions d’USD, fonds consacrés par Ambatovy pour réaliser des projets sociaux dans les zones d’intervention sont correctement utilisés. Deux projets sont actuellement en cours de réalisation à cet effet. La ville de Toamasina figure naturellement parmi les bénéficiaires des projets sociaux financés par Ambatovy. La rénovation du Bazary Be, l’un des principaux marchés de la capitale de l’Atsinanana figure parmi ces projets sociaux réalisés de main de maître par Ambatovy dans le cadre de son engagement social

Ayant débuté en mars 2013, le chantier est actuellement à 52 % de réalisation grâce au travail  de  9 entreprises sous-traitantes d’Ambatovy, employant au total 315 travailleurs. Des employés qui ont reçu chacun un certificat lors d’une cérémonie qui s’est déroulée le 8 novembre dernier et qui a marqué les 250 000 heures de travail sans accident dans ce chantier qui fera de Bazary Be, un marché  moderne et assaini. Une occasion également  pour Ambatovy de remercier les employés du chantier pour le sérieux dont ils ont fait preuve pour la réalisation des travaux avec des résultats très positifs. En tout cas, pour Ambatovy, la santé et la sécurité de ses employés et ceux des entreprises sous-traitantes ainsi que celles des communautés riveraines constituent une priorité absolue. A cet effet, une politique de « zéro accident » a été mise en place et constitue le cadre de référence pour les employés et tout ce qui travaille avec la compagnie pour assurer un environnement de travail sécuritaire au quotidien.

Par ailleurs, dans le domaine de l’éducation environnementale où elle intervient également, Ambatovy  vient de procéder à l’ouverture officielle du programme d’éducation environnementale dans cinq écoles primaires des villages riverains de son site à Moramanga Ce programme est un partenariat entre Ambatovy, qui apporte un appui financier et l’ONG Voahary Voakajy, qui se charge de son exécution, et enfin de  la Circonscription Scolaire de Moramanga, qui en assure le suivi.

R.Edmond

Election miss ronde : Les rondes osent et s’exposent

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Dianah, une des finalistes.
Dianah, une des finalistes.
Dianah, une des finalistes.

Qui a dit qu’il faut toujours avoir une taille mannequin pour pouvoir participer à un concours de beauté ? Pour prouver le contraire, Miss ronde Madagascar a organisé le premier concours mettant en avant les femmes rondes. Oui, elles sont jeunes et jolies. Elles profitent à fond de la vie et ne se privent de rien. Les bonnes adresses en termes de cuisine? Elles en connaissent des tas. De ce qu’en disent les gens sur leurs kilos en trop ou du regard de dédain que leur portent parfois certains? Elles n’y font pas vraiment attention. Car contrairement à d’autres, elles sont bien dans leur peau et s’assument parfaitement. Elles n’ont aucun complexe. D’ailleurs, leurs quelques kilos en trop ne les ont jamais empêchées de porter des petites robes d’été ou de suivre les dernières tendances. En hommage à toutes ces femmes et pour leur permettre de réaliser leurs rêves, une élection de miss a été organisée. Pas une élection qui verra défiler des jeunes femmes minces et aux courbes parfaites mais une élection qui mettra en avant ces miss qui s’assument.

Plus qu’un simple concours. De plus en plus de voix s’élèvent contre le diktat de la minceur. Aujourd’hui, la représentation du « corps désirable », assenée pendant des années par les magazines ne correspond plus à la réalité. Plus qu’un simple concours de beauté, cette élection est donc une cause à part entière. Le but ? Proposer une image différente de la femme : une femme ronde, moderne et qui s’assume ! L’organisation a une réelle volonté d’aider les femmes dans leur cheminement vers l’acceptation de soi. Le règlement du concours stipule d’ailleurs que les participantes devraient s’assumer. C’est probablement la raison pour laquelle les femmes rondes  mais au ventre plat et ferme sont exclues du concours. Pour voir les dix finalistes défiler, rendez-vous est pris à l’espace dera le samedi 30 novembre à 20 h.

Mahetsaka

Etudiants INSCAE : Un nouvel espace vert pour l’AMACREM

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Le nouvel espace espace vert du centre AMACREM.
Le nouvel espace espace vert du centre AMACREM.
Le nouvel espace espace vert du centre AMACREM.

Dans le cadre du cours de « Comportement du Manager » dispensé à l’INSCAE, le groupe d’étudiants « SOAMIZARA », en formation continue, a entrepris un projet social, celui d’aménager un espace vert pour l’AMACREM. Une de leurs habitudes. En effet, l’AMACREM ou Association Malagasy des Ambassadeurs du Christ pour le Réveil de Madagascar, sis à Tsimbazaza, est un centre d’éducation et de réinsertion sociale qui s’occupe des enfants des rues les plus démunis de 6 à 17 ans. La prise en charge de leur nourriture, leurs soins médicaux et surtout leur éducation, sont les principales activités de cette association. Selon les explications, la plupart de ces enfants n’a jamais fait d’études.

Créer un espace de jeu de 14×30 m, tel a été le but de cette action sociale de ce groupe d’étudiants. Un projet plus approprié aux enfants où ils pourront s’épanouir, mais également d’embellir le centre lui-même.

Les travaux ont débuté le mois d’octobre 2013 et ont pris fin le 15 novembre dernier, et les étudiants continueront de faire des descentes ponctuelles au centre pour s’occuper du jardin mis en place.

Recueillies par Arnaud R.

Election : La mouvance Ratsiraka ne soutien aucun candidat

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Dans un communiqué publié hier, la mouvance Ratsiraka par l’intermédiaire de sa fille Annick Ratsiraka dément les rumeurs selon lesquels Mangalaza Eugène a reçu la bénédiction de l’Amiral pour soutenir le candidat Jean Louis Robinson. En effet, l’Arema et la mouvance Ratsiraka réitèrent leur position de faire objection à la tenue de l’élection présidentielle. L’ancien président a toujours annoncé que cette élection ne constitue pas une solution à la crise. « Jusqu’à preuve de contraire, cette position n’a pas changé sauf déclaration officielle du président Didier Ratsiraka. Aussi, toute initiative de soutien à quel candidat que ce soit venant de qui que ce soit se réclamant de la bénédiction de l’ancien président n’est que supputations et doit être considérée comme étant une initiative personnelle qui n’engage en aucun cas ni Didier Ratsiraka et sa mouvance, ni l’Arema ».

Davis R

Monja Roindefo : Demande de consultation des documents électoraux

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Le président national du Monima, Monja Roindefo, a adressé une lettre ouverte de demande de consultation des documents électoraux au président de la Cour Electorale Spéciale. Et ce, en vertu de la transparence de l’élection. Il a rappelé la requête en date du 4 novembre 2013 demandant à la CES l’annulation ou le report du premier tour de l’élection présidentielle du 25 octobre 2013 ou du moins l’institution d’une commission d’enquête chargée de relever toutes les preuves matérielles des fraudes qui ont entaché ce scrutin. Par décision n°22-CES/D du 15 novembre 2013, la Cour a rejeté toutes les demandes pour la simple raison qu’elles manquent des preuves et que les irrégularités constatées n’ont pas influé la sincérité de vote sur l’ensemble du territoire. Face à cette décision de la CES, le président national du Monima de faire remarquer que sa requête a été appuyée par des pièces, des documents et des témoignages sous forme de déclarations écrites conformément aux dispositions de l’article 136 du code électoral.

Recueillis par Dominique R.

Jouer la : transparence

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Le président du Monima veut avoir le cœur net.  Il veut constater de visu les documents électoraux. Mais la Cour électorale spéciale (C.E.S) acceptera-t-elle  de jouer la transparence pour le satisfaire. La cour a rejeté toutes les demandes qu’il a formulées pour annuler l’élection présidentielle  pour les simples raisons qu’elles manquent des preuves et que les irrégularités constatées n’ont pas influé la sincérité de vote sur l’ensemble du territoire. Cependant, Monja Roindefo  affirme que sa requête a été appuyée par des pièces, des documents et des témoignages sous forme de déclarations écrites conformément aux dispositions de l’Article 136 du Code électoral. Il ajoute  qu’étant un candidat, soucieux du bon déroulement de cette élection et pour avoir le coeur net, il demande à la Cour  de l’autoriser ou son mandataire d’avoir accès aux documents électoraux dont elle dispose, afin de lui permettre de constater de visu si, effectivement, ces documents ne présentent pas des anomalies graves pouvant altérer la sincérité de vote des citoyens, lesquelles s’apparentent à des fraudes. Il espère qu’en vertu de la transparence et de la crédibilité de cette élection, la C.E.S ne trouve pas d’inconvénient à sa demande.

Jouer la : transparence

     Les statuts de la C.E.S lui permettront-ils d’accéder à cette demande ? Le scrutin du 25 octobre dernier n’est pas la première élection dans notre pays où des fraudes sont constatées et ont fait l’objet de requêtes. Aucune élection n’y a échappé depuis l’indépendance.  Comme beaucoup de pays africains, les améliorations apportées pour se préserver des fraudes sont lentes. Les mauvaises habitudes reviennent toujours pour réduire à néant les progrès.  On est fasciné devant les performances des Etats –Unis ou de la France qui arrivent à sortir le nom du vainqueur d’une élection  quelques secondes seulement après la fermeture des bureaux de vote.  Plus de 80 % des résultats sont connus en l’espace de quelques heures. Comment faire pour atteindre un tel niveau de transparence et de développement en matière électoral ? L’idée de ce commun des mortels en mal de transparence et de confiance n’est pas mauvaise en soi. Il suggère avec  humilité que l’une des  améliorations à moindre coût pouvant être apportées  au processus de traitement des résultats du second tour serait de plaquer des  caméras dans les bureaux  et dans les salles d’opérations informatiques et de traitement des procès- verbaux et des résultats électoraux de la Ceni-T.  Le public réclame la transparence totale sans détours.  Il propose aussi qu’une chaîne de TV indépendante  se consacre à diffuser en permanence  les images prises par ces caméras jusqu’à la  publication des résultats provisoires par bureau de vote. Si de telles améliorations se réalisent, le sentiment de vivre dans la transparence totale des  résultats, même s’il nous faudra du temps et de la maturité démocratique pour rattraper les  grands pays développés dans la vitesse de publication des résultats.  Le risque est encore chez nous de voir se renforcer à travers les lois, le culte du secret.

Zo Rakotoseheno

Amoron’i Mania Environnement : Les paysans producteurs sont peu optimistes quant à la réalisation d’un projet d’éthanole…

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Le ou les organismes intéressés dans la mise en œuvre du projet éthanol n’attendent que la promulgation des textes régissant la production et la commercialisation de l’éthanol pour agir.

les textes régissant la production et la commerçialisation de l’éthanol, qui ont été examinés en Conseil des ministres, tout récemment, valent  leur pesant d’or dans la mesure où ils permettent de reglementer le secteur, pour la mise en œuvre du projet de production de l’éthanol à Madagascar, comme biocarburant et source d’énergie alternative pour la préservation de l’environnement et de différencier l’éthanol du « taoka gasy » encore prohibé par la loi.

Semblant. Le ou les organismes partenaires dans la mise en œuvre de ce projet d’éthanol ne sont pas au bout de leurs peines nonobstant la mise en vigueur de ces textes, bien qu’ils essaient parfois de faire un semblant d’optimismes pour pouvoir jouir de ce projet, comme tant d’autres, releguant ainsi les  réalisations des objectifs au second plan et priorisant les décaissements des fonds par les bailleurs, comme objectifs primordiaux s’entendent

Manque de serieux. Les paysans producteurs dans la partie Est de la région d’Amoron’i Mania, qui bénéficient de ce projet de production d’éthanol, nous confient qu’ils ne croient pas à la réussite de ce projet. Ces paysans producteurs d’argumenter que le prix de cession du litre d’éthanol aux producteurs est  infèrieur au litre du « taoka gasy » ou alcool de production locale. Que ces producteurs préférent donc produire du « taoka gasy » que de produire de l’éthanol. Un autre problème rencontré par les paysans est la mise sur le marché  de four à éthanol qui ne répond pas aux besoins des ménagers en matière d’appropriation. Encore moins, du problème rencontré pour l’approvisionnement de ce biocarburant sur le marché local. Nous avons appris tout dernierement que l’organisme chargé du projet éthanol à Ambositra,  a procedé à un essai d’un prototype de distillerie d’étahanol, les responsables se sont heurtés à une insuffisance de canne à sucre pour faire l’essai. Un travail qui  manque de serieux s’insurgent ces paysans. Bref, un projet qui risque de ne pas voir le jour à l’état embryonnaire dans la mesure qu’il ne fait pas l’unanimité des bénéficiaires. Que malgrè tout, l’organisme de mise en œuvre persiste encore à faire croire aux bailleurs que le projet est  viable. De quoi enivrer le commun des mortels, et faire croire que tout est encore possible.

Anastase

Antsiranana : Fihinanana soka-dranomasina: olona telo no maty Malemilemy, mando, avy eo fanina tsy mahatsiaro tena izay nihinana an’ilay sokatra

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Olona telo no indray namoy ny ainy ka zaza 9 volana ny iray, 9 taona ny iray ary vehivavy 20 taona iray. Io no voka-dratsin’ny fihinana fanoara na soka-dranomasina tao amin’ny fokontany Andovokonko, kaominina Ambanivohitry ny Andranovondronina. Omaly no nisian’io tranga io , raha tamin’ny alahady no nihinanan’ny sasany ilay fanoara. Efa roa andro taty aoriana vao nisy fiantraikany izany. Mahatratra 46 ireo nentina tao amin’ny hopitaliben’Antsiranana nanaraka fitsaboana.  Ny 15 tamin’izy ireo tsy maintsy notazonina noho ny aretina mbola hita aminy, ny iray mbola arahina maso ankaiky ao amin’ny “sale d’urgence”, ary 22 no notazonina noho ny fanarahana maso tsy maintsy atao ihany koa, na dia tsy mbola misy trangan’ny aretina aza , fa nihinana ilay fanoara. Efa mandray an-tanana ireo marary ny faritra Diana amin’izao. Fa ankizy roa kosa no voatazona any amin’ny hopitaly millitaire, noho ny fihinana ilay fano, fa ny iray kosa izay mbola minono, dia nahazo avy tamin’ny nonon’ny reniny.

 Nidina tany an-toerana ny manam-pahefana. Mbola nanatratra olona 28 tao amin’ny tanànan Andovokonko ireo manampahefana ireo , ary naniraka ireo olona ireo handeha any amin’ny hopitaly. Ny fiaran’ny hopitaly sy ny Emmo reg no nitatitra ireo olona rehetra ireo. Nanadihady ny tandrify azy ny avy amin’ny fahasalamana , ka nandefa ny ampahan’io fano io any amin’ny “Institut Pasteur” any Antanananrivo. Anisan’ny zavatra nanaitra ny mpitondra ny nahitana ny sasany nitsoaka  tamin’ireo olona 28 ireo, nanda tsy handeha amin’ny hopitaly. Tsy  hita ny nalehan’izy ireo rehefa nidina sambokely tao Ramena, toerana izay hiaingana. Raha naheno io tranga io ny lehiben’ny faritra DIANA Bezara Romuald dia nandray fanapahan-kevitra fa handray an-tanana ireo marary rehetra  ao amin’ny hopitaly.

Nampahatsiahy ny lalàna misy momba ny fikajiana io fano io ny talem-paritry ny tontolo iainana sy ny ala , izay nanambara fa raran’ny lalana iraisam-pirenena ny fihinana fano. Na izay aza dia nankahery ireo fianakavian’ny manaman-jo izy.

V.JCL

Evénement : Maître Gims en concert le 6 décembre au stade Bemasoandro Itaosy

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Maître Gims vous salue bien.
Maître Gims vous salue bien.
Maître Gims vous salue bien.

L’artiste est la coqueluche de tous les adolescents et même des jeunes adultes de France et même de tout le monde francophone. Les jeunes Malgaches ne sont pas en reste. Son passage à Tana, début décembre, est une véritable aubaine pour eux.

Qui n’a pas été scotché devant son écran télé quand passaient les clips de maître Gims ?  Celui qui truste les premières places du top 50 depuis bientôt deux ans avec ses tubes hyper dansants est la grande star de la chanson française et crée l’événement à chacune de ses apparitions. Cette grande vedette du rap sera en tournée dans l’Océan Indien, début décembre et il fera un crochet à Tana pour le plus grand plaisir des jeunes Malgaches qui auront droit à un méga concert au stade Bemasoandro Itaosy, le vendredi 6 décembre.

Maître Gims, l’artiste n°1 français. De son vrai nom, Gandhi Djuna, maître Gims est originaire de la RDC et il est le leader du groupe de rap Sexion d’Assaut qui est l’une des locomotives du rap français. Il a cependant très vite volé de ses propres ailes et sorti son premier album en solo en 2012. Le succès de Subliminal est immédiat et il se vend à 280 000 exemplaires. Tous ses morceaux sont des tubes. Les clips passent en boucle à télé. « Je m’tire », « Bella » et « Ça marche » occupent les premières places du top 50. Son premier concert à l’Olympia le 31 mai 2013 se déroule à guichets fermés. Il apporte sa collaboration à d’autres vedettes de la chanson francophone. Il participe notamment à l’album de Stromae, « Racine carrée ». Mais le succès le plus remarquable est son duo avec Vita, « Game over » qui se classe en tête des ventes de « single » en septembre 2013.

Le charisme de maître Gims est indéniable. Ses morceaux sont servis par une voix puissante et un physique d’athlète. On le considère donc actuellement comme l’artiste n°1 français.

Un concert pour tous les jeunes. Ce concert est organisé par l’association « Ezaka Avaradrano » qui accomplit des actions solidaires tout au long de l’année. Il est destiné à récompenser tous les jeunes bénévoles qui y ont participé, mais ce sera aussi le concert de tous les fans de maître Gims à Madagascar. On ne sait pas encore si l’entrée sera gratuite. Cela dépendra de l’apport des sponsors et des donateurs.

Patrice RABE