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samedi, juillet 12, 2025
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Hery Rajaonarimampianina : La force de la foi

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Hery Rajaonarimampianina et son épouse sur le parvis du temple FJKM Ambohinaorina.

 

Hery Rajaonarimampianina et son épouse sur le parvis du temple FJKM Ambohinaorina.
Hery Rajaonarimampianina et son épouse sur le parvis du temple FJKM Ambohinaorina.

Le candidat n°3 a démarré sa campagne à Vohibato. Un nom prédestiné puisqu’il y a obtenu le plus grand nombre de « vato » au premier tour.

Par leur présence massive vendredi, les électeurs ont montré qu’ils sont prêts à remettre ça pour le second tour du 20 décembre 2013. Ils ont foi au candidat de « Hery Vaovao ho an’i Madagasikara » dont le rétablissement de la confiance entre gouvernants et gouvernés fait justement partie de ses priorités. Lesquelles portent également sur la lutte contre l’insécurité, le développement rural (agriculture et élevage), la construction et la réhabilitation de routes, les besoins vitaux tel l’accès à l’eau potable…

Unité nationale. En somme, priorité est accordée à tout ce qui concerne la vie de la population. Cette dernière a d’ailleurs saisi son passage pour remettre sur le tapis leurs problèmes que le candidat Hery Rajaonarimampianina a déjà notés lors de la campagne du premier tour. Ce qui ne l’a pas empêché de prêter de nouveau une oreille attentive à leurs doléances et de réitérer ses projets, entre autres et non des moindres, la réhabilitation de la ligne ferroviaire Fianarantsoa – Côte Est qui est une véritable …voie d’évacuation des produits.  Elle favorise aussi la circulation des personnes qui est un facteur de raffermissement de l’unité nationale chère au candidat de « Hery Vaovao ho an’i Madagasikara ».

Campagne de proximité. Après le pays betsileo vendredi, le candidat n°3 a effectué du porte-à-porte dans les bas quartiers de la capitale. Une campagne de proximité qui lui a permis de constater de visu en cette saison de pluie, la galère des habitants dont les voix pèseront dans la balance des votes au second tour. En tout cas, ils ne sont pas considérés comme des citoyens de seconde zone par « Hery Vaovao ho an’i Madagasikara » qui ne fait effectivement pas de politique d’exclusion. Ni de discrimination de quelque nature que ce soit. Y compris en matière de religion même s’il est de confession protestante comme le témoignait sa présence hier avec son épouse, au culte officié par le pasteur Théophile Rasolonirina au temple FJKM d’Ambohinaorina à Sabotsy Namehana. L’occasion pour les ecclésiastes et les fidèles de ce temple sis dans l’Avaradrano de donner leur « tso-drano » au candidat qui est du reste un des leurs. En effet, il fait partie des diacres de cet édifice cultuel pour la réhabilitation duquel il a humblement contribué, avant même d’être candidat. Hery Rajaonarimampianina est un homme de foi et de conviction qui puise avant tout sa force en Dieu.

R. O

AESG : « Il est essentiel de prendre en compte l’aspect Genre dans la gouvernance locale »

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Le maire de Tsiafahy, Justin Randriamahefa, Président de l’association des élus sensibles au genre.
Le maire de Tsiafahy, Justin Randriamahefa, Président de l’association des élus sensibles au genre.
Le maire de Tsiafahy, Justin Randriamahefa, Président de l’association des élus sensibles au genre.

Président de l’association des élus sensibles au genre, le maire de Tsiafahy, Justin Randriamahefa, est convaincu de l’importance de l’approche genre dans la bonne gouvernance. Il en fait son cheval de bataille. Interview.

 Midi Madagasikara : Comment vous est venue l’initiative de monter une association d’élus pour plaidoyer dans l’approche genre dans la gouvernance locale ?

Justin Randriamahefa : Tout a commencé en 2011, après le 2e sommet Genre et Violences Basées sur le Genre à Johannesburg. Plusieurs entités, dont des maires, des anciens maires, des élus locaux, des techniciens dans les institutions publiques et des journalistes ont participé à ce sommet visant à promouvoir le Genre. L’association des Elus Sensibles au Genre a ainsi vu le jour. Un plan d’action sur le genre et les VBG a alors été mis en place. Il s’agit notamment de renforcement de capacités envers les forces vives de la commune sur le genre, de la mise en place d’un comité local qui promeut le genre pour aboutir à une politique communale sur le genre. Le renforcement de capacité s’adresse aux membres de l’association, qui deviennent ensuite des prestataires pour devenir à leur tour des formateurs à l’endroit d’autres élus d’autres communes.

Midi Madagasikara : Mais en quoi il est important de tenir compte du genre dans la gouvernance locale ?

Justin Randriamahefa: C’est une composante très importante qu’on doit vraiment tenir en compte. En 2008, Madagascar a signé le protocole de la Sadc sur le Genre et le Développement. Un des objectifs de ce protocole d’accord, le mouvement Ainga 50/50, est d’atteindre un équilibre genre dans la participation des femmes dans la vie politique de la nation, pour que celles-ci représentent 50% des postes de décision politique dans le pays. Un objectif qui, malheureusement, ne sera pas atteint. Néanmoins, il est essentiel de prendre en compte l’aspect Genre dans la gouvernance locale. Déjà, en considérant la population malgache, plus de 50% sont des femmes. L’approche Genre permet donc de considérer les femmes dans la société, en respectant leurs droits et en leur donnant les responsabilités nécessaires pour contribuer au développement de la localité. Cela réduit sensiblement les violences envers les femmes. C’est une approche transversale qui touche plusieurs secteurs. De plus, il y a des détails concernant les femmes que les hommes ne peuvent pas comprendre. Pour cela, il est plus facile pour un élu local sensible au Genre de faire appliquer cette approche pour qu’elle soit effective.

Midi Madagasikara : Mais une femme en politique, n’est-ce pas difficile à Madagascar ?

Justin Randriamahefa : Oui, certainement, il y a beaucoup d’obstacles. Ce qui est encré au plus profond de la société est très difficile à changer. Mais il faut sensibiliser les leaders et faiseurs d’opinion dans les localités, même les plus éloignées. Il y a les régions où la tradition est encore très vive en ce qui concerne le non respect du droit de la femme. Des sensibilisations doivent donc être faites dans ces régions. Si l’élu local est sensible au genre et aux droits de la femme, et serait ainsi convaincu de ce que peuvent apporter les femmes pour le développement de sa famille, de sa communauté, il serait plus facile de s’acheminer vers un changement de comportement. Voilà pourquoi il est important d’étendre les formations sur le genre et de commencer par les localités. De la part de l’Etat, malgré l’autonomisation administrative des collectivités locales, des actions concrètes d’appui devraient être effectuées pour atteindre ces objectifs sur le genre.

Anjara Rasoanaivo

DE CI……..DE LA(02/12/2013)

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# Le CGM en ébullition avec Tambours gasy. Le groupe de percussionnistes dirigé par Tiana Raintelo a fait un véritable show, vendredi dernier au CGM. Les neuf jeunes gens ont chauffé la salle dès les premières minutes et n’ont pas relâché cette ambiance torride jusqu’à la fin. Martèlements de percussions et danses en rythme, du grand art que le public a apprécié.

# Johary toujours égal à lui-même. Le groupe ne se produit pas souvent, mais c’est avec un immense plaisir que ses admirateurs le retrouvent de temps en temps. Vendredi dernier, Gith, Mahery et Luk ont repris leurs meilleurs morceaux qui sont devenus des classiques au fil du temps. Le trio qui se produisait au JR Ambohimanarina a été égal à lui-même.

Patrice RABE

Atsimondrano : Lehilaly hita faty tao an-tranony

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Omaly alahady no nahitan’ny olona ny fatin’ity lehilahy iray 35 taona tao an-tranony teny Ambalavao Atsimondrano. Ny loharanom-baovao no nahalalana fa mipetra-drery ity olona ity. Talohan’izao, hitann’y olona niditra izy. Rehefa maraina anefa, tsy nivoaka. Nadrasana ny ataondro nefa tsy mbola nivoha hatrany ny varavarana. Nisy ny mahina ka nampilaza  tany amin’ny tompon’andrikitry ny fokontany. Nijery teo amin’ilay toerana ireo ary niantso mpitandro filaminana avy hatrany. Rehefa novahana ny varavarana dia io ilay olona hita teo amin’ny fandriana natoriany. Rehefa nojerena akaiky anefa vao fantatra fa efa tsy misy aina intsony ilay izy. Ny loharanom-baovao hatrany no hilazana fa toa nisotrosotro izy talohan’ny nodiany tao an-trano. Ankeviny tafahoatra izany zavatra izany ka io no nitarika ny fahafatesany. Mpandalo fotsiny ihany izy no eny. Mpamky vato no asan’ity olona ity fahavelony. Efa misokatra ny fanadihadiana mikasika izao fahafatesana izao.

r.s.

Musique classique : Magnificence de l’art lyrique avec Natacha Rajemison et Fitah Rasendrahasina

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Fitah Rasendrahasina, un ténor à la tessiture vocale exceptionnelle accompagné au piano par Mirana Randria et Jessie Junghwa Hong. (Photo Nary Ravonjy)
Fitah Rasendrahasina, un ténor à la tessiture vocale exceptionnelle accompagné au piano par Mirana Randria et Jessie Junghwa Hong. (Photo Nary Ravonjy)
Fitah Rasendrahasina, un ténor à la tessiture vocale exceptionnelle accompagné au piano par Mirana Randria et Jessie Junghwa Hong. (Photo Nary Ravonjy)

Madagascar possède de merveilleux spécialistes du chant lyrique. Les heureux privilégiés qui ont pu assister au concert d’hier à la salle Vohipiraisana FFPM Ambohijatovo ont été comblés par la prestation des deux d’entre eux.

L’espace d’un après-midi, les amateurs d’art lyrique se sont crus à la scala de Milan ou à l’opéra de Paris. Ils ont assisté à la prestation de deux grands artistes lyriques malgaches, interprétant quelques-unes des plus belles compositions du répertoire classique. Natacha Rajemison, une soprano à la tessiture vocale exceptionnelle et le ténor Fitah Rasendrahasina se sont succédés sur scène, s’appropriant les personnages des pièces lyriques d’Augustin Lara (Granada), Richard Strauss (Zveugnung et Allerseelen), Franz Schubert (Gretchen am spinnrade). Ils étaient merveilleusement accompagnés au piano par Jessie Junghwa Hong et Mirana Randria. Après ces compositions espagnoles et allemandes ,Ils sont ensuite passés aux mélodies françaises avec « l’invitation aux voyages » d’Henri Duparc, « Je te veux » d’Etik Satie et « Toujours » de Gabriel Fauré. Après un entracte d’une quinzaine de minutes,  ils sont revenus et ont repris quelques uns des plus beaux morceaux de l’opéra.  « Amor ti vieta » from Fedora d’Umberto, Giordano, « Senza mama » from Suor Angelica de Giacomo Puccini ou « Parigi o cara » from La Traviata de Guiseppe Verdi, en solo alernativement par Fitah ou Natacha et des parties de la Bohême de Puccini en duo ont émerveillé une assistance sous le charme.

Patrice RABE

Festival des arts martiaux : Objectif atteint pour Aikido Fanantenana

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L’objectif a été atteint selon les explications de Sensei Herilova Rakotonaivo du club Aikido Fanantenana, organisateur du grand festival des arts-martiaux qui s’est déroulé, hier après-midi, au Palais des Sports de Mahamasina. Le public a répondu présent à l’appel de ce club qui célèbre son 40e anniversaire cette année. Plusieurs disciplines comme le kick-boxing, boxe thaï, jiu-jitsu, karaté, taekwondo, capoeira et bien d’autres ont démontré leur technique et ont émerveillé la grande salle du Palais des Sports relooké en cette occasion. La prochaine manifestation sera prévue pour le 10 mai 2014.  L’ultime défi du club sera la construction de leur propre Dojo.

T.H

Tour de Mada : Roger Randrianambinina en jaune !

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Incroyable mais vrai, le jeune tireur de pousse-pousse, Roger Randrianambinina, est en train d’écrire une nouvelle page du Tour cycliste international de Madagascar. Il a en effet pris, samedi, le maillot jaune au terme d’un parcours entre Moramanga et Tana pourtant gâché par une pluie torrentielle.

Roger Randrianambinina se pare du jaune tandis que Emile Randrianantenaina s’offre l’étape Moramanga- Tana.

Un partage équitable et du travail et du lot car ils étaient quatre hommes à s’échapper à la hauteur d’Anjiro où ils ont rattrapé le Tuléarois Lahimagnitse Hororifique parti en solitaire dès la sortie de Moramanga.

Et comme Joharivelo Andrianjaka payait cash ses efforts de la veille quand il ravissait l’étape Brickaville- Moramanga, l’honneur revint aux trois hommes d’échappée avec outre Emile Randrianantenaina, Hasina Rakotonirina et Roger Randrianambinina.

Sous une pluie battante à l’entrée d’Ambohimalaza, les trois hommes firent sensation s’offrant encore le luxe de rouler à 80km/h dans les descentes. Et ce qui devait arriva puisque Roger chuta en passant une flaque d’eau. Mais le temps de se relever et il fut remis dans le peloton de tête comme le stipulent les règlements.

Les trois hommes franchirent alors la ligne d’arrivée au By Pass en 2h 52mn 04 sec. Ils étaient suivis, une bonne minute après, par le Belge Smet Guy. Très en retrait, le Réunionnais Elma Sébastien perd le maillot jaune au profit d’un Roger Randrianambinina qui fut l’un des rares coureurs à avoir tenu tête aux Belges durant le tour de Toamasina. D’ailleurs et grâce à ses expériences acquises sur le terrain du duathlon, ce jeune d’à peine 24 ans a maintenant tout pour plaire.

Clément RABARY

Tour de Mada : Un sacré numéro de Médéric Clain !

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Médéric Clair a remporté l’étape d’Antsirabe.
Médéric Clair a remporté l’étape d’Antsirabe.
Médéric Clair a remporté l’étape d’Antsirabe.

Rendez-vous raté pour les cyclistes d’Antsirabe qui se sont fait surprendre par le revenant Médéric Clain qui est arrivé à Diégo malade mais qui n’a jamais voulu lâcher prise.

On attendait les coureurs d’Antsirabe pour l’arrivée d’hier dans leur ville, ce fut un Français, convalescent qui plus est, qui réalisé un sacré numéro en franchissant la ligne d’arrivée en solitaire et ce après une échappée de plus de 100 km. D’abord avec l’étonnant Célestin Rafanomezanjanahary qu’il a lâché après Ambohimandroso et ensuite tout seul. Comme un grand !

Pour le plaisir. Médéric Clain, car il s’agissait de lui, est bien revenu dans le Tour même s’il s’agit tout juste d’une victoire pour le plaisir car il a déjà concédé plusieurs minutes de retard durant les trois premiers jours en évitant de se faire éliminer comme ce fut le cas du Mauricien Quincy Jones qui n’avait plus pris le départ à Behenjy.

Cette belle victoire de Clain ne remet pas toutefois en cause le maillot jaune de Roger Randrianambinina qui est arrivé, hier, dans le deuxième peloton après celui du Belge Guy Smet qui finissait très fort à la seconde place à quelques secondes de Clain.

« J’ai tout essayé mais les Belges étaient trop forts sur le plat », concède un Roger Randrianambinina quelque peu déçu de n’avoir été exact au rendez-vous avec son public. Mais il n’était pas loin tout comme Hasina Rakotonirina ou encore Dama Miarintsoa.

Elma out. Le grand perdant de la journée d’hier fut Elma Sébastien. L’un des meilleurs espoirs réunionnais qui a pris le maillot jaune à l’arrivée de Moramanga, a fait une très mauvaise chute au niveau d’Antsampanimahazo, juste après avoir franchi la voie ferrée. Blessé au ventre et au bras gauche, il a dû, à contre cœur, se résoudre à abandonner la partie.

Mais il n’est pas le seul à lâcher prise car après le Mauricien Quincy Bavajee, il y avait aussi Andriambelotiana Lalatsoa d’Antsirabe trahi par le cadre de son vélo qui s’est brisé à Manjakandriana. Il faisait pourtant partie de l’équipe nationale B mais l’encadrement n’était pas foutu de lui offrir une nouvelle bicyclette. Le jeune a pleuré à l’annonce de son éviction mais il ne pouvait rien faire car il n’a pas pu continuer la course.

Mais le tour, c’est aussi cela. On y va de surprise en surprise…

  Clément RABARY

Ambatondrazaka : Miakatra renivohitra ny dahalo

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Efa tena fahasahiana tsy misy ohatra an’izany tokoa ny an’ny ny mpangalatra omby amin’izao fotoana izao. Tsy vitan’ny any an-tsaha any ihany ry zalahy no mangalatra omby fa tonga miakatra ny renivohitra mihitsy. Tamin’ny fiandohan’ny herinandro lasa iny, lasan’izy ireo ny omby vositra miisa enina tao amin’ny fokontany Antanifotsy, ao an-tanànan’Ambatondrazaka. Tsy nisy nahare ny fahatongavan’izy ireo. Ny mponina koa tsy nisy nanampo fa ho sahy hiaka-bohitra sahala amin’izao izy ireo. Fito ny omby tao anaty vala ka vavy ny iray. Teny an-dalana, niverina ho azy ilay omby vavy niteraka.

Janus

Des revendications au menu : Gal Raoelina, Colonel Raymond et consorts à libérer avant le scrutin

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le général Raoelina.
le général Raoelina.
le général Raoelina.

L’association « Mahery fon’ny firenena 2009 » de déplorer que même les amnisties concernant ces détenus politiques sont bloquées. De ce fait, elle réclame une libération tout court pour ces derniers.

L’association « Mahery fon’ny firenena 2009 » a revendiqué la libération des 21 détenus politiques qui croupissent toujours en prison. Et Portant notamment sur le 7 février, les affaires du RAS, de la Bani et du Rfi, ainsi que des bombes artisanales. Parmi ceux qui sont incarcérés, citons entre autres, le général Raoelina, les colonels Jadifara, Randriamihaotra et Raymond. Concernant ce dernier l’association a tenu à préciser qu’il a bénéficié de l’amnistie, mais un pouvoir d’intérêt de la loi a été porté à son encontre, résultat, il est toujours en prison. Un cas que les membres de « Mahery fo n’ny Firenena 2009» qualifient de détention arbitraire.

Le colonel Raymond.
Le colonel Raymond.

Procès. Toujours à propos du 7 février, les membres de cette association de rappeler qu’un des avocats de l’AV7 avait déclaré lors du procès qu’ils n’ont pas des preuves tangibles à l’encontre des colonels Jadifara et Randriamihaotra. Et le général Raoelina de confirmer également que ces deux colonels n’ont pas été présents à ladite date, à Ambohitsorohitra. Pour l’association, si cela s’avère nécessaire pourquoi pas une révision du procès ?

Détenus politiques. Par ailleurs, l’association entend mettre en place une brigade mobile. L’objectif est d’expliquer aux gens les cas de ces détenus politiques. Un déplacement qui se fera notamment dans les régions d’origine de ces derniers. Décidément, ils voudraient coûte que coûte atteindre leur but qui n’est autre que la libération de ces détenus politiques. Réclamant de ce fait, une amnistie ou du moins leur libération tout court. Mais est-ce qu’ils seront entendus, étant donné que les élections jumelées du 20 décembre prochain focalisent l’attention des gens.

Dominique R.