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mardi, juillet 8, 2025
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Tapatapany

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# –  « Route digue »- Nisy lozam-pifamoivoizana iray hafa indray. Nidona tamin’ny “poteau” ny fiara marika Peugeot 405 iray ary naratra ny mpamily. Nisy fiara avy any amin’ny ilany ary jambenan’ny jiro nampiasain’io izy ka izay no nahatonga ny loza, raha araka ny fanazavana azo.

# – “Kidnapping” any ambanivohitra. Tsy vitan’ny manafika sy mangalatr’omby fotsiny ny dahalo fa maka takalonaina ihany koa. Tao Ambovombe dia zaza telo no lasibatr’izany. Ny iray aza dia novonoin’izy ireo teny an-dàlana, nokapaina famaky teo amin’ny lohany…

# – Anosy. Nahemotra amin’ny 4 desambra ny didim-pitsarana. Amin’ny faha-4 desambra izao indray vao hivoaka ny didim-pitsarana mahakasika ny hofan-trano mitentina hatrany amin’ny 140 tapitrisa Ia tsy voalohan’ilay mpanao politika iray. Efa tamin’ny faha-20 oktobra  no natao ny fitsarana ity raharaha ity.

# – Toliara. Sakafo lany daty. Fivarotana lehibe iray ao Toliara no nahatratrarana sakafo lany daty omaly teny amin’ny Bazaribe. Rehefa nojerena ny entana dia ny vatomamy, ny “biscuit” ary ny “fromage” no tena maro amin’izany entam-barotra izany. Raha mba mitaraina ny mpanjifa dia ireo mpivarotra indray no avo vava.

Nangonin’I D.R/r.s.

Don de sang : Seulement 40 % des donneurs sont acceptés

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Selon les explications, le groupe Rhésus négatif reste jusqu’ici le groupe sanguin le plus difficile à trouver.
Selon les explications, le groupe Rhésus négatif reste jusqu’ici le groupe sanguin le plus difficile à trouver.
Selon les explications, le groupe Rhésus négatif reste jusqu’ici le groupe sanguin le plus difficile à trouver.

Malgré l’existence des donneurs de sang bénévoles réguliers, l’insuffisance de sang pèse toujours dans les différents établissements hospitaliers de la capitale, en l’occurrence le CHU-HJRA.

« Nous recevons chaque jour à peu près 100 donneurs bénévoles de sang, des donneurs réguliers. Mais après sélection, l’on ne peut retenir qu’environ 40 d’entre eux », a partagé le Pr Olivat Rakoto Alison, Chef du service Hématologie au sein du CHU-HJRA Ampefiloha, et Responsable du Centre National de Transfusion sanguine au sein du même établissement. En effet, selon ce médecin, ce n’est pas tout le monde qui peut donner du sang, mais seulement ceux qui répondent aux conditions, entre autres, âgés entre 18 et 70 ans, avoir bien mangé, être en forme, peser au maximum 50 kg, ne pas être enceinte, pas d’accouchement depuis 6 mois, ne pas avoir subi d’intervention chirurgicale au cours des 4 derniers mois, ne pas avoir pris d’antibiotique au cours des deux dernières semaines, n’avoir aucune infection au cours des 5 derniers jours, ne pas avoir de tatouages,… Si le donneur est un homme, il ne doit donner son sang que tous les deux mois, et pour les femmes, tous les trois mois. Pourtant, selon les explications, la transfusion sanguine est le pilier de la prise en charge des malades. « Ainsi, pour combler un certain manque, des sensibilisations sur le don de sang sont effectuées tous les jours », a-t-on expliqué.

Insuffisant. « A part le fait qu’un patient peut parfois utiliser de deux à dix poches de sang suivant son état, il arrive également que d’autres établissements hospitaliers de la capitale, voire ceux des provinces, se ravitaillent auprès des réserves de sang du Centre de Transfusion du CHU-HJRA. Ce qui amplifie l’insuffisance de sang dans notre Centre », poursuit le Pr. Olivat Rakoto Alison. Malgré l’existence des donneurs bénévoles réguliers, l’insuffisance de sang pèse toujours car ceux-ci ne représentent qu’un quart des besoins quotidiens de l’établissement. Le reste n’est autre que les membres de la famille du patient, ou ses proches. Par ailleurs, elle de partager également que le Centre de Transfusion sanguine de l’hôpital est également confronté à l’insuffisance d’appareillages de recueil, d’identification des anomalies, ainsi que de la conservation du sang pour sa sécurité. Devant tout ceci, afin d’améliorer le domaine de la transfusion sanguine dans le pays, 18 nouveaux médecins de la promotion « Aina », ont reçu leurs diplômes hier dans la salle amphithéâtre du CHU-HJRA Ampefiloha, après avoir suivi une formation continue sur le domaine. Le but est de former les praticiens à être compétent en matière de transfusion sanguine au sein de leurs établissements respectifs.

Arnaud R.

Amoron’i Mania : Lutte contre le travail domestique des enfants

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« Les élèves de la promotion fanantenana certificat en main avec le directeur du BIT, 3ème à partir de la droite » Photo Anastase
« Les élèves de la promotion fanantenana certificat en main avec le directeur du BIT, 3ème à partir de la droite » Photo Anastase
« Les élèves de la promotion fanantenana certificat en main avec le directeur du BIT, 3ème à partir de la droite » Photo Anastase

« L’association Akany Fanantenana du collège au Petit Eden à Iajaky-Ambositra, a fait preuve de professionnalisme » dixit Christian Ntsay,le représentant du Bureau international du travail (BIT) à Madagascar. C’était le 9 novembre dernier, lors de la cérémonie de sortie officielle de la première promotion « Fanantenana » au collège au Petit Eden. Une sortie officielle de 50 élèves issus du programme d’actions de lutte contre le travail domestique des enfants à travers une formation professionnelle qualifiante, pour un travail décent. Un programme mis en œuvre par l’association Akany fanantenana dirigée par la directrice Ramiriora Zaz’, réalisé dans le cadre du projet « BIT/PAMODEC » financé par le ministère français du Travail, de l’Emploi, de la Formation Professionnelle et du Dialogue Sociale.

50 enfants. Pour sa part, la porte-parole de l’Akany fanantenana, docteur Soafara d’expliquer que pour ce programme,  50 enfants ont été retirés des pires formes du travail domestique dans différents quartiers de la ville d’Ambositra et ses périphéries, pour suivre une formation professionnelle qualifiante de 5 mois pour par la suite, avoir un travail décent. Pour ce faire, diverses modules de formation ont été dispensées à ces enfants par des spécialistes, comme des cours de pâtisserie, de cuisine,des cours des travaux ménagers,des notions de savoir-vivre, de puericulture,le français parlé,etc.. Des modules de formation répondant aux besoins de ces enfants pour être immédiatement opérationnel et trouver un travail décent. « Un modèle de programme de lutte contre le travail domestique des enfants à developper » a conclu le directeur du BIT. Au terme de cette manifestion, ces enfants ont reçu leurs certificats.Toujours selon le docteur Soafara, après leurs formations, bon nombre de ces enfants, ont déjà trouvé un emploi décent. A noter que cette manifestation a coincidé avec le lancement officiel de l’étude de base sur la situation du travail domestique des enfants dans les régions d’Analamanga, Amoron’i Mania et Vakinankaratra. Nous y reviendrons.

CHAN-MOUIE Jean Anastase

Dadou : A l’écoute des « raiamandreny » du IIIe arrondissement

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Andriambelo Fredy Rajaofera dit Dadou et ses colistiers ont rencontré les personnes du troisième âge dans le IIIe arrondissement, hier à l’EKAR St François d’Assise Andravoahangy. D’entrée de jeu, Dadou a annoncé que «  respectueux des valeurs malgaches, je tenais à participer à cette réunion pour honorer en premier lieu, vous, les raiamandreny de cette circonscription où je me porte candidat à la députation ». Il était venu principalement pour être à l’écoute de ces personnes âgées.

Point de vue. Cette rencontre, marquée par une collation de l’amitié offerte par Dadou et son équipe, a permis à l’assistance d’exprimer son point de vue sur les conditions de vie des gens dans le troisième arrondissement.  A cet effet, les personnes âgées ont émis des propositions portant notamment sur la sécurité, l’électrification et l’amélioration de la santé publique, particulièrement pour les personnes âgées. Autre souhait, et non pas le moindre, qu’elles puissent percevoir facilement leurs pensions de retraite.

Tradition malgache. Notons que dans son discours d’ouverture, Dr D’Alex Randriamirantsoa a souligné l’importance de telle rencontre revalorisant la tradition malgache. Il a également présenté les autres colistiers de Dadou dont  Olivier Ramarijaona, Vanondahy Ramaherison et Linah Randrianarivo Ramaherison. Soulignons que Dr D’Alex fait aussi partie des colistiers du candidat n°30. Et que chacun d’eux a promis de prendre ses responsabilités à l’égard des habitants du troisième arrondissement en général et des personnes âgées en particulier, suivant ce principe, « écouter, examiner et agir ».

Dominique R.

Clovis Ravelonanosy : « Le syndrome 2002 menace ! »

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A la question de savoir comment il perçoit l’élection présidentielle, le président  du Fanare  Clovis Ravelonanosy répond que  l’élection que son « association a souhaité voir se tenir est  une élection constitutionnelle en vue de la mise en place d’une monarchie constitutionnelle ». Il refuse d’admettre que cette élection présidentielle soit une solution  pour sortir le pays de la crise. Bien au contraire, il pense que « l’adversité est profonde entre les protagonistes de la crise. Le risque est de voir le perdant de l’élection et ses partisans et partant la population ne pas se soumettre au verdict des urnes.  Surtout s’ils soupçonnent des fraudes. Ceux qui détiennent le pouvoir régalien ne resteront pas non plus les bras croisés ». Des signes en ce sens se feraient sentir.  « Le syndrome 2002 menace ! », avertit-il et risque d’entraîner le pays dans « une crise encore plus grave si l’on n’y  prend garde ». Pour Clovis Ravelonanosy, pour sauver la nation, « la solution est de rassembler  toutes les forces politiques et civiles sous l’égide du FFKM pour élaborer une nouvelle feuille de route ».

Z.R

France volontaires : Le volontariat français au centre des intérêts

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Oeuvrant à Madagascar depuis 1995, ils sont aujourd’hui 23 volontaires répartis un peu partout dans le pays, affectés dans divers domaines allant du secteur éducation, enseignement et francophonie, santé et éducation sanitaire, environnement, biodiversité et tourisme durable, développement rural, droit, citoyenneté et société civile ou encore décentralisation, aménagements et infrastructures et économie et formations professionnelles. Samedi prochain, à l’IFM, ils célèbreront la 3e journée du volontariat français. Une journée qui leur permettra de présenter et de valoriser les engagements volontaires des français à Madagascar, de créer un cadre d’échange entre volontaires et à mettre en valeur les associations qui accueillent les volontaires. A cet

Moramanga : Faty feno ratra tao anaty rano

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MATYRaha ny fahitana azy dia efa maty taty ivelany izy vao natsipy tanaty rano.

Nahitana razana natsingevan’ny rano, tao amin’ny  toerana iray fanangonan-dranon’ny Jirama ao Moramanga. Lehilahy tokony ho 23 taona eo izy io. Raha ny fahafantaran’ny olona eo amin’ny manodidina azy dia mpitari-posy no asa fanaony andavan’andro, ary avy any Mantasoa ny fihaviany. Tsy misy mahalala kosa anefa izay nahatonga ny fatiny ho hita tao anatin’ity rano ity. Rehefa natao fizahana akaiky dia hita fa misy mangana toy ny aretin’aty ny vatany ary misy maratra ihany koa teo amin’ny ilany havia. Raha ny fantatra dia toerana fivezivezen’ny olona no sady fanasana lamba ihany koa ity toerana ity, ka olona handeha hanasa lamba vao maraina, tokony ho tamin’ny 5 tany ho any, no nahita ny razana ka nampilaza ny tomponandraikitra tao an-toerana. Raha ny fahitana azy aloha dia tsy maty an-drano ity olona ity fa efa maty taty ivelany vao nalatsaka tao. Nahenoana fofon-toaka ihany koa izy ary ilay maratra amin’ny vatany dia mety ho ny fianjerany tamin’ny tany fa tsy Diana vono akory. Tombatombana ihany anefa izany fa ny fanadihadiana hataon’ny mpitandro filaminana no mety ahafantarana ny marina mahakasika izao.  fahafatesan’olona izao. Ny polisy any an-toerana moa no mandray an-tanana izany.

Tapa-tenda. Tao anatin’ny roa volana izay dia nahenoana faty olona matetika ny tao Moramanga. Raha ny mahakasika ilay vehivavy mpiasan’ny Airtel nisy namono tami’nny fomba feno habibiana tao Moramanga iny dia efa mandroso ny fanadihadiana amin’izao fotoana izao. Hatreto aloha dia tsy mbola nisy ny natolotra ny Fitsarana fa efa olona 60 mahery kosa no efa nalain’ny polisy am-bavany. Raha ny mahakasika ilay raharaha nahafatesana mpiasan’ny kaominina kosa dia efa nisy ny olona voasambotra ary naiditra am-ponja vonjimaika. Na dia eo aza anefa izany rehetra izany dia azo lazaina ho mbola milamina ny tatanan’I Moramanaga ary tsy dia ahenoana asan-jiolahy matetika.

Aina R./Cathy

Antsirabe : Mpangalatr’omby iray maty voatifitra

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Na dia nasaina nijanona aza ireo mpangalatr’omby dia mbola lasa nandositra ihany, sady namaly ireo mpitandro filaminana. Voatery nampiasa ny fitaovana teny aminy ireo zandary ka tamin’izany no nahafaty ny iray tamin’ireo jiolahy. Ireo namany kosa afaka nandositra. Ny alin’ny 19 novambra tokony ho tamin’ny 12 ora, nisy andian’olona nangalatra omby tao amin’ny tanànan’Antsoatany Antsirabe. Avy be ny orana tamin’izay fotoana izay ka tsy nisy nahare ny fahatongavan’ireo mpangalatra. Afaka fotoana fohy, nivoaka nijery ny valan’omby ny tompony ka akory ny hagagany fa tsy nisy tao intsony ireo biby. Notairina ny fokonolona, nampandrenesina ny zandary any an-toerana. Hita fa nihazo niatsinana ireo olon-dratasy. Natao avy hatrany ny fanarahan-dia. Tokony ho tany amin’ny 4 km miala ny tanàna no hita ny omby telo. Nitohy hatrany ny fanarahan-dia ka efa tonga teny akaikin’ny tanànan’Antanifotsy, hita ny omby roa tamin’ny 3 ora maraina. Tsy nijanona teo anefa ny zandary fa mbola nanenjika ihany. Tamin’ny 8 ora maraina, hita ny omby 4. Teo ihany koa ireo mpangalatra. Tamin’izay fotoana izay ry zalahy no nasaina nijanona nefa lasa ihany. Teo no nahafaty ny iray.

Andry N.

Ambatovy : Deux projets réalisés dans le cadre de l’engagement social

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Les 25 millions d’USD, fonds consacrés par Ambatovy pour réaliser des projets sociaux dans les zones d’intervention sont correctement utilisés. Deux projets sont actuellement en cours de réalisation à cet effet. La ville de Toamasina figure naturellement parmi les bénéficiaires des projets sociaux financés par Ambatovy. La rénovation du Bazary Be, l’un des principaux marchés de la capitale de l’Atsinanana figure parmi ces projets sociaux réalisés de main de maître par Ambatovy dans le cadre de son engagement social

Ayant débuté en mars 2013, le chantier est actuellement à 52 % de réalisation grâce au travail  de  9 entreprises sous-traitantes d’Ambatovy, employant au total 315 travailleurs. Des employés qui ont reçu chacun un certificat lors d’une cérémonie qui s’est déroulée le 8 novembre dernier et qui a marqué les 250 000 heures de travail sans accident dans ce chantier qui fera de Bazary Be, un marché  moderne et assaini. Une occasion également  pour Ambatovy de remercier les employés du chantier pour le sérieux dont ils ont fait preuve pour la réalisation des travaux avec des résultats très positifs. En tout cas, pour Ambatovy, la santé et la sécurité de ses employés et ceux des entreprises sous-traitantes ainsi que celles des communautés riveraines constituent une priorité absolue. A cet effet, une politique de « zéro accident » a été mise en place et constitue le cadre de référence pour les employés et tout ce qui travaille avec la compagnie pour assurer un environnement de travail sécuritaire au quotidien.

Par ailleurs, dans le domaine de l’éducation environnementale où elle intervient également, Ambatovy  vient de procéder à l’ouverture officielle du programme d’éducation environnementale dans cinq écoles primaires des villages riverains de son site à Moramanga Ce programme est un partenariat entre Ambatovy, qui apporte un appui financier et l’ONG Voahary Voakajy, qui se charge de son exécution, et enfin de  la Circonscription Scolaire de Moramanga, qui en assure le suivi.

R.Edmond

Election miss ronde : Les rondes osent et s’exposent

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Dianah, une des finalistes.
Dianah, une des finalistes.
Dianah, une des finalistes.

Qui a dit qu’il faut toujours avoir une taille mannequin pour pouvoir participer à un concours de beauté ? Pour prouver le contraire, Miss ronde Madagascar a organisé le premier concours mettant en avant les femmes rondes. Oui, elles sont jeunes et jolies. Elles profitent à fond de la vie et ne se privent de rien. Les bonnes adresses en termes de cuisine? Elles en connaissent des tas. De ce qu’en disent les gens sur leurs kilos en trop ou du regard de dédain que leur portent parfois certains? Elles n’y font pas vraiment attention. Car contrairement à d’autres, elles sont bien dans leur peau et s’assument parfaitement. Elles n’ont aucun complexe. D’ailleurs, leurs quelques kilos en trop ne les ont jamais empêchées de porter des petites robes d’été ou de suivre les dernières tendances. En hommage à toutes ces femmes et pour leur permettre de réaliser leurs rêves, une élection de miss a été organisée. Pas une élection qui verra défiler des jeunes femmes minces et aux courbes parfaites mais une élection qui mettra en avant ces miss qui s’assument.

Plus qu’un simple concours. De plus en plus de voix s’élèvent contre le diktat de la minceur. Aujourd’hui, la représentation du « corps désirable », assenée pendant des années par les magazines ne correspond plus à la réalité. Plus qu’un simple concours de beauté, cette élection est donc une cause à part entière. Le but ? Proposer une image différente de la femme : une femme ronde, moderne et qui s’assume ! L’organisation a une réelle volonté d’aider les femmes dans leur cheminement vers l’acceptation de soi. Le règlement du concours stipule d’ailleurs que les participantes devraient s’assumer. C’est probablement la raison pour laquelle les femmes rondes  mais au ventre plat et ferme sont exclues du concours. Pour voir les dix finalistes défiler, rendez-vous est pris à l’espace dera le samedi 30 novembre à 20 h.

Mahetsaka