Une démonstration de force qui témoigne du dynamisme et de l’ancrage du parti TGV dans la capitale de la région Boeny.
Une démonstration de force qui témoigne du dynamisme et de l’ancrage du parti TGV dans la capitale de la région Boeny.
Après Bekobay, dans le district de Mahajanga II au mois de juin dernier, c’est au tour du district de Mahajanga I d’accueillir une nouvelle mobilisation du parti TGV, samedi dernier. Une démonstration de force qui témoigne, une fois de plus, du dynamisme et de l’ancrage du parti dans la capitale de la région Boeny. Sous la houlette de la députée Nina Rahantanirina, coordinatrice nationale du parti pour la région, plusieurs membres, sympathisants et responsables du TGV se sont donné rendez-vous pour cette rencontre politique. L’objectif : raviver l’unité des membres, réaffirmer leur engagement idéologique et renforcer le rôle des jeunes dans le développement local.
Valeurs du parti
Le ministre de la Jeunesse et des Sports, Marson Moustapha Abdulah, natif du parti et parrain politique de la région Boeny, a également honoré de sa présence cette rencontre. Lors de son intervention, il a rappelé les fondements du parti TGV, né pour soutenir le Président Andry Rajoelina. Il a souligné que la solidité d’un régime repose sur l’implication active de ses partisans et a exhorté ces derniers à tenir fermement les valeurs du parti. Le ministre a aussi encouragé les nouvelles adhésions tout en répondant aux interrogations des membres, notamment sur les projets relevant de son département. En marge de cette mobilisation politique, une campagne de consultation médicale gratuite a été organisée. La journée s’est poursuivie par une marche militante à travers la ville, partant de Betamanga jusqu’au complexe sportif d’Ampisikina. En amont, une opération chirurgicale gratuite a été offerte à une vingtaine de bénéficiaires. Le renforcement du TGV se poursuivra dans d’autres localités, notamment à Betsiboka, Antsohihy et Bealalana.
Le dernier Conseil des ministres s'est tenu à Fianarantsoa.
Le dernier Conseil des ministres s’est tenu à Fianarantsoa.
Le prochain Conseil des ministres aura lieu le 10 juillet à Sainte-Marie, région Analanjirofo. Le Président Andry Rajoelina est attendu sur place pour une série d’activités officielles. Le 11 juillet, plusieurs infrastructures seront inaugurées : la route RNS 21 entre Ravoraha et Ambodirano, et le parc solaire d’Ilampy. Le président visitera aussi les axes Ilampy-Ankirihiry-Ambodifotatra. Des actions sociales seront organisées en faveur des ménages vulnérables de l’île, dans un souci de solidarité territoriale et de soutien aux plus démunis. Une grande rencontre avec la population de Sainte-Marie est prévue, suivie d’un spectacle culturel regroupant plusieurs artistes locaux. Le séjour présidentiel coïncide également avec l’ouverture officielle du Festival des Baleines, événement phare du calendrier touristique de la région.
La Direction régionale du Vakinankaratra du MIC a procédé à la saisie et à l’incinération de 672 bouteilles d’huile de tournesol de la marque visée.
La Direction régionale du Vakinankaratra du MIC a procédé à la saisie et à l’incinération de 672 bouteilles d’huile de tournesol de la marque visée.
De nouveaux cas d’intoxication alimentaire ont probablement été évités. En effet, le ministère de l’Industrialisation et du Commerce a retiré du marché un lot d’huile de tournesol et l’a fait incinérer.
Normes sanitaires
Depuis la série d’intoxications qui a touché plusieurs régions, l’huile alimentaire est surveillée de près. C’est le cas d’une huile de tournesol importée des Emirats arabes unis qui a été soumise à une contre-analyse de l’Agence de contrôle de la sécurité sanitaire et de la qualité des denrées alimentaires. Il s’est avéré que l’huile végétale de la marque Roots n’était pas « manara-penitra ». C’est-à-dire non-conforme aux normes sanitaires, quand bien même la date limite de consommation (DLC) indiquée serait le 20/09/2026. Depuis la série d’intoxications qui a touché plusieurs régions, l’huile alimentaire est surveillée de près. Sous peine de mettre en danger la vie d’autrui comme c’était le cas avec les affaires d’intoxication qui ont… alimenté les médias et les réseaux sociaux.
Concurrence déloyale
On est en droit – au propre comme au figuré – de demander si la responsabilité (commerciale et pénale) de la société internationale d’export appartenant à I. A (nuance avec Intelligence Artificielle) et basée à Dubaï, pourrait être logiquement retenue en cas d’intoxication alimentaire due à la consommation de cette huile de tournesol. Sans compter le côté concurrence déloyale de cette huile de tournesol qui avait curieusement obtenu un certificat de consommabilité délivré par le ministère de la Santé. La question soulevée est celle d’une éventuelle absence de coordination avec le ministère de l’Industrialisation et du Commerce qui a procédé à la saisie et à l’incinération de 672 bouteilles le 03 juillet dernier à Antsirabe. Et ce, pour éviter de jeter de l’huile sur… le feu provoqué par la série noire qui avait débuté à Imerinkasinina.
Combien coûtera le ticket pour emprunter les bus électriques et les bus thermiques que l’Etat vient de commander ? C’est la question que se posent les observateurs. Pour le moment, le Ministère des Transports ne communique pas là-dessus. Deux lignes pilotes ont été mises en place, à savoir la ligne Tsarasaotra-Ivato qui sera desservie par des bus électriques, et la ligne Amoronakona-Ankorondrano où l’on verra les bus diesel. Pour la première ligne, il y aura au total 12 arrêts, a-t-on fait savoir. Tandis qu’en ce qui concerne la ligne Amoronakona-Ankorondrano appelée Ligne Fitaratra, l’on comptera 22 arrêts. Son trajet passera par la Rocade Iarivo et le Marais Masay. Certainement, les responsables au sein du Ministère et ceux de l’Agence des Transports Terrestres vont apporter les éléments d’information y afférents dans les jours qui viennent afin de donner plus de précisions. Pour rappel : 12 bus électriques et 300 bus thermiques sont déjà arrivés à Antananarivo, prêts à être utilisés. D’après les informations, d’autres bus arriveront bientôt au pays dans le cadre du projet d’amélioration des transports et de la mobilité urbaine dans la capitale.
Une délégation conduite par le ministre de l'Energie et des Hydrocarbures a visité le site où sera implantée la centrale solaire à Talata Ampano.
Une délégation conduite par le ministre de l’Energie et des Hydrocarbures a visité le site où sera implantée la centrale solaire à Talata Ampano.
L’État continue de miser sur les énergies renouvelables pour renforcer l’accès à l’électricité dans tout le pays. Un nouveau projet prévoit la construction d’une centrale solaire à Talata Ampano, dans le district de Vohibato, à Fianarantsoa. D’après le ministère de l’Énergie et des Hydrocarbures, les préparatifs fonciers sont déjà terminés. Les travaux pourront commencer dès que toutes les conditions seront réunies. Le ministre de l’Énergie et des Hydrocarbures, Olivier Jean-Baptiste, a visité le site le 3 juillet, accompagné de techniciens de la Jirama. Cette descente technique avait pour but d’évaluer les aspects opérationnels du projet et d’assurer sa mise en œuvre rapide et efficace.
Cette descente a permis d’évaluer les aspects opérationnels du projet afin d’assurer une mise en œuvre efficace et rapide. D’après la délégation, ce projet s’inscrit dans la politique nationale de promotion des énergies renouvelables, visant à améliorer la production et l’accès à l’électricité dans les zones rurales, tout en contribuant à la transition énergétique. L’objectif est de renforcer l’indépendance énergétique et de réduire la dépendance aux énergies fossiles. Face à une demande croissante en électricité, la future centrale solaire de Talata Ampano apporte une solution durable. La future centrale solaire de Talata Ampano apportera ainsi une réponse durable aux besoins énergétiques locaux. Elle participera à l’essor économique et social de la région grâce à un accès élargi à l’électricité.
L’Union européenne et la France s’engagent aux côtés des États insulaires pour des systèmes agricoles durables et résilients face au climat.
L’Union européenne et la France s’engagent aux côtés des États insulaires pour des systèmes agricoles durables et résilients face au climat.
L’Union européenne et la France unissent leurs efforts pour mettre en œuvre le programme DeSIRA+ qui ambitionne de renforcer la sécurité alimentaire tout en préservant la biodiversité dans la région de l’Océan Indien.
Accompagner la transition agroécologique des systèmes alimentaires dans l’Indianocéanie. Tel est l’objectif de ce programme régional DeSIRA+ Océan Indien, lancé par l’Union européenne et la France. Doté d’une enveloppe de 7 millions d’euros, ce programme vise à valoriser les acquis du programme régional SANOI, qui a contribué entre 2020 et 2025 au renforcement de la sécurité alimentaire et nutritionnelle dans la région, en partenariat avec la Commission de l’océan Indien. Hotspot de biodiversité, l’Indianocéanie, qui compte près de 33 millions d’habitants, reste confrontée à des défis majeurs en matière de sécurité alimentaire, aggravés par les effets du changement climatique. Pour y répondre, DeSIRA+ Océan Indien entend accélérer l’adoption de pratiques agroécologiques à travers le soutien à des projets innovants, le partage d’expertise et la sensibilisation des décideurs à l’importance de l’agroécologie pour renforcer la résilience des systèmes alimentaires tout en préservant les écosystèmes.
Mobilisation
Selon les explications, le programme permettra de documenter et de quantifier l’impact des pratiques agroécologiques sur les exploitations agricoles et l’environnement, tout en soutenant les initiatives à fort potentiel pour un changement d’échelle. La santé des végétaux, la gestion durable des sols et de l’eau, ainsi que l’appui aux chaînes de valeur des produits agro-écologiques seront parmi les axes d’intervention prioritaires. Cette initiative s’inscrit dans la continuité de l’engagement de l’Union européenne et de ses États membres en faveur de l’agriculture durable et de la lutte contre le changement climatique, conformément aux objectifs de l’Accord de Paris. Le programme sera financé à hauteur de 5 millions d’euros par l’Union européenne, complétés par une subvention de 2 millions d’euros de l’Agence française de développement (AFD). Il sera mis en œuvre en complémentarité avec d’autres projets régionaux, en coordination avec les acteurs nationaux et régionaux, dans une approche de synergie et d’efficacité. La France, à travers l’AFD et le Cirad, poursuivra également ses actions pour renforcer les écosystèmes ruraux, améliorer l’accès à l’eau pour l’agriculture, désenclaver les bassins de production, accompagner les exploitations agricoles familiales, structurer les filières et renforcer les dispositifs de recherche-action dans la région. Avec cette mobilisation conjointe, l’Union européenne et la France réaffirment leur engagement en faveur des transitions agroécologiques dans les États insulaires de l’Indianocéanie, contribuant à la sécurité alimentaire, à la protection de la biodiversité et au développement durable des territoires insulaires.
Placer la recherche scientifique au cœur du développement durable à Madagascar, telle est l’ambition du salon de la Recherche au service de l’Économie et de l’Emploi (SREE), qui revient pour sa 7ᵉ édition, les 7 et 8 août prochains. Organisé sous le thème « Ensemble pour la recherche au service du développement durable », le salon innove cette année en intégrant un hackathon interdisciplinaire, destiné à promouvoir la synergie entre sciences techniques et sciences humaines. Les organisateurs lancent un appel à participation aux étudiants, chercheurs et jeunes professionnels prêts à relever le défi de l’interdisciplinarité. Le principe est simple : former un binôme composé d’un participant en sciences techniques ou ingénierie et d’un autre issu des sciences humaines, sociales, économiques ou politiques, pour fusionner leurs compétences et co-créer une solution innovante, intégrée et adaptée aux réalités malgaches. Chaque binôme aura pour mission de proposer une solution transversale et concrète : prototype, outil, concept ou dispositif démontrant la capacité de la recherche à répondre aux défis sociétaux tout en créant de l’emploi. Cette initiative vise à démontrer que la collaboration entre disciplines scientifiques n’est pas un luxe, mais une nécessité dans la recherche de solutions durables et inclusives pour le pays.
Intelligence collective
Selon les explications, un prix spécial de l’interdisciplinarité sera décerné au binôme le plus prometteur, valorisant ainsi les initiatives où science et société se rejoignent pour créer un impact tangible. A noter que le hackathon se tiendra durant le salon, les 7 et 8 août 2025, offrant un espace d’émulation et de créativité à la jeunesse malgache. D’après les organisateurs, les porteurs de projets ont jusqu’au 14 juillet 2025 pour déposer leurs projets fusionnés. En misant sur l’intelligence collective et le croisement des savoirs, le SREE 2025 entend contribuer à l’émergence d’une génération de chercheurs engagés, capables de transformer leurs idées en solutions concrètes au service de l’économie, de l’emploi et de l’environnement à Madagascar.
Des lots ont également été remis aux gagnants des jeux organisés dans le cadre de ce salon.
Des lots ont également été remis aux gagnants des jeux organisés dans le cadre de ce salon.
La 11e édition du salon ITM (International Tourism Fair-Madagascar) combinée avec la 2e édition du salon IHM (International Handicraft Fair-Madagascar), organisée par l’Office national du tourisme de Madagascar (ONTM) en partenariat avec le ministère du Tourisme et de l’Artisanat, a été un succès.
Parlant du nombre d’exposants, « nous avons recensé 500 participants cette année contre 400 participants lors de la dernière édition. Parmi lesquels, 75,4% sont des exposants en tourisme, 13,3% exposants connexes et 24,6% des exposants dans le cadre du salon IHM. Le nombre de sponsors et partenaires ayant soutenu à l’organisation de ce rendez-vous incontournable du tourisme, a également doublé cette fois-ci, passant de 24 à 48 entreprises et institutions. Ce qui marque la confiance des opérateurs au développement de ce secteur porteur. Quant aux conférenciers ayant animé différentes thématiques dans le cadre de ce salon de grande envergure, ils sont au nombre de 87 personnes dont 13 experts internationaux, au lieu d’une trentaine de conférenciers lors de la dernière édition. Ce n’est pas tout ! Le nombre de visiteurs a également suivi ce rythme ascendant atteignant 24 381 visiteurs contre 14 651 visiteurs l’année dernière », a exposé Danny Barivelo, le directeur exécutif de l’ONTM lors d’une conférence de presse organisée hier à Andraharo.
13 nationalités réunies
« Il s’agit d’un événement stratégique contribuant au renforcement de la promotion de la destination Madagascar à l’échelle internationale », a évoqué Ionjaniaina Ranaivoarimanana, le PCA de l’ONTM. D’ailleurs, 13 nationalités sont réunies autour de ce salon pour ne citer que la participation des pays des îles Vanille, à savoir Maurice, Seychelles, La Réunion et Comores. En outre, « le Maroc a été choisi comme pays invité d’honneur lors de salon ITM –IHM. A part cela, une forte participation des autres pays tels que la Tunisie, Djibouti et les Emirats arabes unis, a également été remarquée », a fait savoir la ministre de tutelle Viviane Dewa. Elle ajoute que la sélection de Madagascar par World Travel Awards, et ce, pour la première fois, en tant que meilleure destination d’aventure de l’Océan Indien, permet de renforcer la visibilité de la Grande île sur la scène internationale. Par ailleurs, de nombreux lots ont été remis aux gagnants des jeux concours organisés dans le cadre de ce salon. Il s’agit entre autres, d’un billet d’avion Tana-Paris-Tana et d’un billet valable pour une destination au choix au départ d’Antananarivo ainsi que de plusieurs séjours dans différentes régions de l’île.
Le Plan-cadre de coopération des Nations Unies pour le développement s'articule autour de la bonne gouvernance, le capital humain, la productivité et l'environnement.
Le Plan-cadre de coopération des Nations Unies pour le développement s’articule autour de la bonne gouvernance, le capital humain, la productivité et l’environnement.
Des orientations stratégiques ont été établies hier par le Comité conjoint du Plan-cadre de coopération des Nations Unies pour le Développement. Ces orientations s’articulent autour des priorités 2024-2028 et de la Politique générale de l’Etat.
Le Gouvernement malagasy et le Système des Nations Unies (SNU) renforcent leur engagement commun en faveur d’un développement durable, inclusif et résilient à Madagascar, à travers le Plan-cadre de coopération des Nations Unies pour le développement durable 2024-2028. La réunion du Comité de pilotage conjoint de ce plan-cadre s’est tenue hier au Carlton Anosy, posant les jalons pour les actions prioritaires des années 2025-2026. Cette rencontre stratégique, coprésidée par la ministre de l’Économie et des Finances, Rindra Hasimbelo Rabarinirinarison, et le coordonnateur résident du SNU, Anthony Ngororano, a rassemblé ministres, chefs d’agences onusiennes, partenaires financiers, représentants du secteur privé et de la société civile. Ensemble, ils ont dressé le bilan des avancées collectives de 2024, tout en identifiant les défis et les bonnes pratiques à consolider. « Grâce à une coordination renforcée et une appropriation nationale des priorités, nous posons les fondations d’un avenir plus équitable, plus prospère et plus durable pour Madagascar », a déclaré la ministre de l’Économie et des Finances, réaffirmant l’engagement du gouvernement dans l’atteinte des Objectifs de développement durable (ODD) de l’Agenda 2030.
Priorités stratégiques
De son côté, Anthony Ngororano a souligné que ces réunions constituent un cadre essentiel pour « montrer la redevabilité du système des Nations Unies et renforcer les partenariats », tout en rappelant que l’alignement du Plan-cadre sur la Politique générale de l’État permet de travailler « de manière plus intégrée pour un impact durable et significatif ». Le Plan-cadre de coopération 2024-2028 s’articule autour de quatre priorités stratégiques : renforcer la bonne gouvernance et l’état de droit, développer le capital humain, stimuler la productivité et les emplois productifs, et renforcer la gestion durable de l’environnement. Ces priorités répondent aux trois piliers de la Politique générale de l’État, visant à lever les obstacles structurels freinant la réalisation des ODD.
Résultats enregistrés
Malgré un contexte mondial marqué par des crises multiples, Madagascar a consolidé sa trajectoire de développement en 2024. Les actions conjointes ont permis d’importantes avancées, notamment dans la nutrition avec 380 000 écoliers du Grand Sud bénéficiant de repas scolaires, et plus de 4,5 millions d’enfants vaccinés contre la rougeole et la polio, renforçant la couverture sanitaire nationale. Dans le domaine de la gouvernance, le SNU a appuyé la mise en place de politiques de lutte contre les violences basées sur le genre et contre la corruption, tout en facilitant l’accès à la justice pour 4 700 personnes, dont de nombreuses femmes. Des outils numériques ont également été déployés pour renforcer le suivi des politiques publiques et la transparence administrative. L’action environnementale n’est pas en reste, avec des projets de restauration de mangroves et la promotion de systèmes d’irrigation solaires, permettant à Madagascar de réaffirmer son engagement en faveur de la neutralité carbone, consolidé lors de la COP29 à Bakou. Pour les deux parties, ces résultats témoignent de l’efficacité d’une approche intégrée et synergétique entre les agences onusiennes et les institutions malgaches.
Durable
Les priorités définies pour 2025-2026 visent à capitaliser sur ces acquis tout en accélérant les progrès sur les ODD, grâce à des partenariats élargis avec le secteur privé, la société civile et les partenaires techniques et financiers. Pour le système des Nations Unies, il s’agit non seulement d’accompagner Madagascar dans la mise en œuvre de ses politiques publiques mais aussi de renforcer les capacités nationales, afin de garantir que les actions menées touchent effectivement les populations les plus vulnérables, tout en construisant une société plus inclusive et résiliente. En cette période charnière, le Gouvernement et le SNU réaffirment leur volonté commune d’accélérer le développement durable, en mettant l’accent sur l’appropriation nationale, l’efficacité des interventions et la responsabilisation partagée pour que les ambitions de l’Agenda 2030 deviennent une réalité pour tous les Malgaches.