Dans la continuité de la Politique générale de l’État, qui place la jeunesse au cœur du développement, une nouvelle session de formation a été organisée à Fianarantsoa. Cette initiative, conduite par le ministère de la Jeunesse et des Sports dirigé par Marson Moustapha, en partenariat avec le projet Fihariana, s’inscrit dans les préparatifs du YouthConnekt Africa Summit 2025. Il s’agit de la quatrième vague de formation destinée à outiller les jeunes pour leur participation active à ce sommet continental, qui se tiendra à Madagascar du 26 au 30 novembre. Des milliers de jeunes venus de toute l’Afrique y sont attendus, autour des thématiques de l’innovation, de l’engagement citoyen et de l’insertion socio-économique. Soutenue par l’UNICEF et l’UNFPA, cette initiative confirme une volonté commune de renforcer les compétences des jeunes et de leur offrir un rôle central dans les préparatifs du sommet.
Lors d’une finale épique au Parc Borély, la triplette malgache, composée d’Yves Sedrick Rakotoarisoa, Tiana Laurens Razanadrakoto (Tonnerre) et Lova Santamandimby, a remporté la 64e édition du Mondial La Marseillaise à Pétanque, ce 9 juillet 2025. En battant les favoris français Jouffre, Quintais et Suchaud (13-10), ils deviennent la première équipe étrangère à décrocher ce titre prestigieux
Pour la première fois dans l’histoire du Mondial La Marseillaise à Pétanque, une équipe étrangère a remporté le titre. Le trio malgache, en l’occurrence Yves Sedrick Rakotoarisoa, Tiana Laurens Razanadrakoto (Tonnerre) et Lova Santamandimby, a marqué les esprits en s’imposant lors de la 64e édition, ce 9 juillet 2025 au Parc Borély, à l’issue d’une finale haletante face aux Français tenants du titre, Jean-Claude Jouffre, Philippe Quintais et Philippe Suchaud. Le score final, 13 à 10, après 20 mènes et près de 2h50 de jeu, reflète l’intensité d’un duel à couper le souffle. Les Malgaches dominent une grande partie de la rencontre, creusant un écart impressionnant de 11 à 4 à la 16e mène. Mais les Français, qui avaient éliminé l’autre équipe malgache (Zigle, Tiana Kely, Balotti) en quarts de finale, ont orchestré une remontée spectaculaire, revenant à 11-10 à la 19e mène. Lors d’une finale sous haute tension, Yves, malgré un tir décisif manqué à 62 cm, a su garder son sang-froid, bien soutenu par Tonnerre et Lova. La dernière mène a scellé leur triomphe, faisant d’eux les premiers non-Français à soulever le trophée sur les terres marseillaises.
En demi-finale, le trio malgache avait déjà brillé en écartant l’équipe Bauer, Prudhomme et Molins par 13-7, confirmant leur montée en puissance tout au long du tournoi. Ému aux larmes, Yves Sedrick Rakotoarisoa s’est exprimé après la victoire : « J’ai mal joué à un moment, j’avais la partie en main et j’ai perdu mes boules, ça m’a fait mal. Je suis bouleversé, surtout en tant que tireur. Mais je remercie Lova et Tonnerre qui m’ont porté, notre coach Nanou, le Directeur Technique National Jeannot, et tous les supporters, Malgaches ou non, qui nous ont soutenus. Cette victoire, on l’a arrachée, et je suis tellement heureux ! »
Le khat est cher à Nosy-Be, mais attire des clients fidèles.
Le khat est cher à Nosy-Be, mais attire des clients fidèles.
À la Gare routière, au marché, dans les tuk-tuk, la population de la partie nord de Madagascar a toujours la joue gonflée. Les gens en mâchent tous les jours, de l’après-midi jusqu’au soir. Un peu amer mais appréciée parce qu’elle est en quelque sorte un remontant pour les jeunes. Feuille de connaissance pour les uns, drogue douce pour les autres, elle réunit les habitants des deux régions notamment Diana et Sava.
Venant de la corne de l’Afrique
Mastiquer cette feuille est désormais une culture dans ces contrées. Mais d’où vient cette herbe si précieuse ? Selon les historiens et les documents consultés, elle a été importée par les ouvriers yéménites et les somaliens dans la région septentrionale de Madagascar au début du XXè siècle. En espérant avoir une meilleure vie, ces immigrants sont venus dans la Grande île pour y travailler. Ils ont non seulement emporté leurs bagages mais aussi leur « culture ». En effet, chez les Yéménites, l’habitude est si bien et si anciennement enracinée qu’ils l’emportent avec eux quand ils émigrent dans d’autres pays. « C’est ainsi qu’ils introduisirent, par exemple, la mastication du khat à Madagascar ; elle fut diffusée ensuite par les Comoriens musulmans. La consommation de ce stimulant s’étend maintenant à Madagascar, du Cap d’Ambre (pointe nord) à Sambirano dans le nord-est. Grâce aux anciens débardeurs yéménites, sa consommation fut aussi introduite chez les Tankarana, peuple du nord de la Grande île, qui adopta l’Islam en 1841…», explique Charlotte Radt dans son article : Contribution à l’histoire ethnobotanique d’une plante stimulante : le khat.
Ces immigrants, une fois bien installés, influencent la population locale notamment ceux qui pratiquent la religion musulmane. Entre les années 1920 et 1960, à l’origine, la pratique concerne ne que la communauté musulmane, et une communauté restreinte durant de nombreuses décennies. Ensuite, elle s’est étendue les années suivantes. « En effet, jusqu’au départ des Français, dans les années 1960-1970, les communes de Joffreville et d’Antsalaka, aujourd’hui premières productrices de la feuille psychotrope, étaient les principaux fournisseurs de fruits et légumes de la province nord, et en particulier de la ville de Diégo-Suarez. Durant cette période, la production battait son plein, et les paysans malgaches impliqués dans ce commerce parvenaient même à vivre honorablement de la culture maraîchère », explique le géographe Vincent Minquoy.
Facteur de ralentissement économique
Alors, depuis les années 1990, le khat est devenu l’emblème de la région du nord. Tout le monde y a déjà goûté au moins une fois dans sa vie. Et tout le monde se comprend. Cependant, ce produit est également un fléau pour la région du nord. Elle crispe l’économie. Les jeunes ne travaillent que la matinée. Antsiranana semble sombrer dans l’inactivité l’après-midi. La population ne fait que courir après l’« or vert ». Ce qui implique la paralysie des activités dans la province d’Antsiranana en général et dans la ville du Pain du Sucre en particulier.
À Nosy-Be, ça vaut de l’or !
Une dizaine de tiges est vendue entre 12 000 et 20 000 ar dans la capitale Bemihisatra. Le journaliste local Bebel Betombo avance : « C’est cher car les vendeurs doivent payer les frais de transport ainsi que les dockers. En fait, c’est en provenance d’Antsalaka (Diego-Suarez). Donc, la marchandise passe par Ambilobe ensuite Ankify ». Oui, comme leurs frères de la «Grande-Terre», le «paquet vert» figure parmi les produits de première nécessité.
Recours dans la SAVA
En coulisses, les affiliés de la filière ne savent plus quoi faire. Pour les planteurs, il faut agir en attendant, trouver une autre alternative pour survivre. Que planter à la place de la vanille ? Un responsable de la ville de Sambava s’est entretenu avec un « commerçant vert », qui lui a raconté qu’avant il était commissionnaire de vanille mais qu’il a dû se reconvertir dans le business de khat qui est actuellement la seule issue. Selon lui, il y a une demande au niveau local. Ainsi, les feuilles sédatives inondent le marché. Les habitants préfèrent les mastiquer afin de s’anesthésier.
La ministre de l’Economie et des Finances, Rindra Hasimbelo Rabarinirinarison et son équipe ont présenté, pour ratification, 11 projets de loi développement relatifs au développement socioéconomique.
La ministre de l’Economie et des Finances, Rindra Hasimbelo Rabarinirinarison et son équipe ont présenté, pour ratification, 11 projets de loi développement relatifs au développement socioéconomique.
Record. Le ministère de l’Economie et des Finances a présenté, pour ratification devant les deux chambres du Parlement, 11 projets de loi relatifs à des projets pour le développement économique.
Ces projets visent à soutenir le développement socioéconomique du pays. Le montant global s’élève à 877,5 millions de dollars. Ces financements concernent des secteurs essentiels pour la transformation économique de Madagascar.
Grande utilité
Des journées chargées, en tout cas pour l’équipe de la ministre de l’Economie et des Finances, Rindra Hasimbelo Rabarinirinarison. Elle avait présenté successivement devant l’Assemblée nationale et le Sénat 10 projets financés par la Banque mondiale et un projet financé par le FAD. Outre les deux lois sur la trésorerie et sur la stabilité financière, plusieurs lois de ratification de projets ont été votées par les députés et les sénateurs.
Il s’agit en l’occurrence du projet TALIM (Transforming Access and Learning in Madagascar) ou Projet de Transformation de l’accès et de l’apprentissage à Madagascar, du projet LEAD (Least-Coast Energy Access Development) ou Projet de développement de l’accès à l’électricité à moindre coût, du projet PACF III sur I ’aménagement de corridors, et facilitation du commerce, à travers des infrastructures routières, du Projet MIONJO relatifs aux moyens de subsistance résilients dans le Sud, du Projet régional pour la résilience climatique (PRRC), du Projet connecter Madagascar pour une croissance inclusive (PCMCI), du Projet d’amélioration de la productivité à Madagascar (PAPAM), Projet de croissance inclusive (PIC III), et enfin de l’appui budgétaire de la Banque mondiale. Comme leur nom respectif l’indique, ces projets sont d’une grande utilité pour la relance socioéconomique du pays dans la mesure où ils concernent surtout des secteurs-clés comme la protection sociale, l’éducation, l’énergie, les infrastructures…
Risque modéré
Signe de la confiance des bailleurs de fonds sur la gestion économique du pays en général, ces financements témoignent, par ailleurs, de la bonne gestion de la dette par les autorités du pays. En effet, les études réalisées par les bailleurs de fonds comme la Banque mondiale et le FMI révèlent que Madagascar figure actuellement parmi les pays à risque modéré de surendettement. Le pays présente également un faible risque lié à sa dette extérieure.
Des études plus récentes réalisées en 2023 – 2024 confirment une capacité moyenne à supporter la dette. Le ratio dette publique/PIB reste entre 52% et 55%. Les analystes de la dette estiment, par ailleurs, que les stress tests liés aux chocs de croissance, aux catastrophes naturelles, et à la baisse des prix des matières premières ne font pas basculer le pays dans une zone critique. À titre de comparaison, des pays comme le Zimbabwe, le Malawi ou la Zambie affichent des ratios entre 60 % et 70 %. Madagascar gère donc mieux sa dette publique.
Réformes fiscales
Pour permettre à Madagascar de garder ce bon rythme, les acteurs des financements internationaux recommandent la poursuite des réformes fiscales pour augmenter les recettes domestiques. C’est le cas notamment du FMI qui mise sur la réduction des dépenses fiscales, qui a d’ailleurs abouti à cette idée de retaxation des intérêts des crédits bancaires. Notons que le plafonnement d’endettement de Madagascar est fixé à 800 millions de dollars par an. Les 877,5 millions de dollars ratifiés par le Parlement est une valeur brute totalisant l’ensemble des projets et qui ne sera pas utilisée en une année, mais jusqu’à la clôture de tous les projets.
Il est poursuivi par trois différentes affaires avec trois motifs judiciaires uniformes : atteinte à l’ordre public, diffamation et diffusion de fausses nouvelles. Prononcé du jugement, hier, sur la première affaire l’opposant à Désiré Razafintsalama, directeur général de l’école de l’administration pénitentiaire à Antentezamaro. Le tribunal correctionnel l’a condamné à un an d’emprisonnement ferme, une peine assortie d’une amende de 1 ariary symbolique. Toujours hier, le même tribunal a commencé son jugement sur la seconde affaire concernant la diffusion de fausses nouvelles sur la fuite à l’étranger de certains dirigeants politiques durant une période de chamboulement post-électoral. Bien que Fernand Cello ait reconnu son tort et se soit excusé auprès de l’intéressé, notamment le président de la HCC, cela n’a pas éteint le mandat d’arrêt lancé à son encontre et les actions publiques. Sur cette affaire, il trouve le ministère public à l’origine de la poursuite. Sans avocat ni représentant de la partie civile, l’audience semble aller dans sens unique et sans un possible débat contradictoire. Le tribunal prononcera mardi prochain le verdict. Les mains menottées jusqu’à la salle d’audience, l’individu a toujours été placé sous bonne escorte pénitentiaire durant ses déplacements. Son avocat a confirmé un recours en appel sur ce premier dossier condamnant son client.
Basy poleta marika Pietro Beretta 7,65mm, niaraka tamin’ny bala no saika hamidin’ireto olona ireto. Mazava ho azy, fitaovam-piadiana tsy nisy taratasy sy tsy ara-dalàna. Tao anaty trano fisotroana iray teny amin’iny faritra Antehiroka iny no saika natao ny fifanakalozana kanjo zandary no efa niandry. Tafaroboka tao anaty harato ireto mpivarotra basy ireto.
Ny alahady lasa teo no niseho ny tantara, raha ny fampitam-baovaon’ny zandary. Ireto farany izay nisy nampandre fa misy fifanakalozana tsy milamina ao amin’io trano fisotroana iray tetsy Antehiroka io. Fantatra fa tamin’izany fa misy olona mikasa ny hivarotra basy tsy ara-dalàna ao amin’izany toerana izany no nifanarahana. Marihana fa zon’ny tsirairay ny hividy fitaovam-piadiana ara-dalàna sy nahazoana alalàna saingy misy ireo fepetra maro tsy maintsy arahana ary toeram-pivarotana ara-panjakana sy ara-dalàna ihany koa ny hividianana izany fa tsy anaty trano fisotron-toaka akory na eny amin’ny tambazotra sosialy akory.
Napetraka avy hatrany ny velam-pandrika tamin’io fotoana io ary tra-tehaka tamin’izany ny roalahy, sivily, hoy hatrany ny vaovao, niaraka tamin’ity « entana » saika hamidy. Nibaradaka anefa izy ireo fa tsy tompon’ny « entana » akory fa iraka ihany. Niainga teo indray ny famotorana ary tsy ela dia voasambotra, tsy lavitry ny tobin-tsolika iray tetsy Talatamaty ramatoa iray, izay voalaza fa naniraka azy ireo, saingy toa mbola tsy tompon’ireto fitaovam-piadiana ireto ihany. Nentina natao famotorana avy hatrany moa izy telo ireto, ary nogiazana kosa ilay basy poleta ho porofo any amin’ny fitsaràna. Marihana, raha ny fampitam-baovao hatrany fa efa tsy zoviana amin’ireo mpitandro filaminana intsony ny iray tamin’ireto roalahy voasambotra ireto. Efa voarohirohy tamin’ireo fanafihana, fandrobàna ary halatra tao anatin’iny faritra iny mantsy ingahirainy.
Nilaza moa ny teo anivon’ny zandary fa miakatra amin’ny ambonimbony kokoa ny fanadihadiana ataon’izy ireo hatreto, mahakasika ity resaka fivarotana basy tsy ara-dalàna, hikarohana sy hitadivana izay mety ho loharano nipoiran’izany fitaovam-piadiana tsy ara-dalàna izany.
Le drame sanitaire qui secoue Ambohimalaza depuis le 14 juin continue de s’aggraver. Le centre hospitalier universitaire Joseph Ravoahangy Andrianavalona (HJRA) a enregistré un 24e décès dans la nuit du dimanche 6 au lundi 7 juillet, selon une source hospitalière. Ce patient faisait partie des personnes prises en charge dans le cadre de la suspicion d’empoisonnement collectif survenue mi-juin. À la mi-journée, hier, mardi 8 juillet, le bilan officiel établi par l’HJRA s’élève à 24 morts dont les nombres de décès remontent à 27 depuis le début de ce drame, 13 personnes encore hospitalisées, 15 patients guéris et autorisés à regagner leur domicile, sur un total de 52 cas admis dans l’établissement. L’évolution de la situation reste préoccupante, d’autant que les circonstances exactes de cette intoxication de masse demeurent floues. Les autorités sanitaires restent en alerte, mais les résultats des analyses toxicologiques, censés confirmer ou écarter la thèse de l’empoisonnement, se font toujours attendre. Une enquête a été ouverte, et des prélèvements ont été envoyés à l’Institut Pasteur de Madagascar et ont été envoyés à l’etranger, selon les informations précédemment communiquées par le ministère de la Santé publique. Pour l’heure, aucune piste officielle n’a été exclue. Des témoignages évoquent la consommation d’aliments ou de boissons contaminés, mais aucun lien formel n’a encore pu être établi. En attendant des conclusions scientifiques, les familles des victimes vivent dans l’angoisse, tandis que les autorités locales appellent à la prudence et au respect des règles d’hygiène alimentaire. Les habitants de la commune d’Ambohimalaza restent particulièrement inquiets, redoutant d’autres cas ou une éventuelle propagation du phénomène.
Miainga amin’ny fifidianana ny fametrahana ny fototra, no tsy tokony hiady an-trano mba hahafahana manatsara ny antoko politika TGV aty Betsiboka. Tsy tokony hifanilika amin’ny fototra iangana ny mpikambana rehetra satria samy te handray andraikitra sy anjara izy ireo, raha ny fanazavana nataon-dRtoa Rahantanirina Lalao, » Coordinatrice provincial TGV. Ny marainan’ny alatsinainy faha-07 jolay taona 2025 teo moa no notanterahina ny fikaonandoham-paritra ho an’ireo mpikambana ao amin’ny antoko politika TGV aty amin’ny faritra Betsiboka. « Carnaval » namakivavaky ny tanàna sy ny dinidinika ambany tafon-trano tao amin’ny Espace Tiana Royal no nanamarihana ny lanonana rehetra.
Voaheloka higadra mandra-pahafaty i Nono, ilay tompon’antoka mivantana tamin’ny famonoana an’i Emma Jeannine. Naharitra adim-pamantaranandro fito be izao ny raharaham-pitsaràna ady heloka tsotra tao Toaamasina ny 1 jolay teo. Niaiky ny famonoana ho faty tamin’ny fomba feno habibiana izy. Fa niaiky koa fa nisy naniraka azy hanao izany ary dia tsy niala tamin’ny anadahin’ilay ramatoa izy. Rehefa nivoaka anefa ny didy dia izy irery no tratra farany fa ireo niaraka voarohirohy taminy dia tao afaka madiodio (ny mpiambina ilay ramatoa) ary tao koa ny afaka noho ny fisalasana dia i Jasmin (anadahiny) sy i Jorckael. Avy hatrany dia niteraka resabe ity didy ity ary nahoraka tao Vatomandry (sady fonenanna no fiavian’ilay ramatoa 62 taona novonoina ny febroary 2024) sy Toamasina (toerana nitsaràna ny raharaha). Raharaha famonoana tamin’ny fomba feno habibiana an’i Emma Jeannine, ramatoa 62 taona tao Vatomandry, ny 4 febroary 2024. Na ny solon-tenan’ny fampanoavana aza dia nanao fanoherana ny didy ary misy fiakarana eo anivon’ny fitsaràna ambony araka izany ny raharaha. Mbola mijanona am-ponjan’Ambalatavoahangy avokoa araka izany ireo voakasika rehetra mandra-pivoakan’ny didin’ny fitsaràna ambony na koa raha toa ka mety mbola hiakatra eo anivon’ny fitsaràna an-tampony ny raharaha. Ny volana oktobra 2024 dia efa niteraka resabe ny fahazoan’i Jasmin fahafahana vonjimaika ary toa manampy trotraka ny ahiahin’ny olona ny nahazoany ity fahafahana noho ny fisalasalàna ity rehefa nivoaka ny didy. Mendrika ny hanokafana fanadihadiana lalina ny momba ity didim-pitsarana ady heloka tsotra ity raha ny fanazavan’ny mpanaraka akaiky ny raharaha, isan’izany ny firaisamonim-pirenena.