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dimanche, août 17, 2025
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L’imprévisibilité de Donald Trump

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Tanà : Roalahy manao fanamiana polisy manery mandoa vola

« Le président Donald Trump est imprévisible ». C’est ainsi que les observateurs parlent du locataire de la Maison Blanche, en observant son comportement durant ces six mois où il a de nouveau dirigé la plus grande puissance du monde. Il a ainsi réussi à déstabiliser tous ses adversaires, mais aussi ses alliés. Les dirigeants auxquels il s’est adressé et qui ont été victimes de son tempérament belliqueux ont acquiescé dans un premier temps, mais ils se sont aperçus que ce dernier, quand il était forcé par la conjoncture, savait reculer. Aujourd’hui, certains disent qu’il sait ce qu’il veut et utilise à bon escient ce trait de caractère qui lui permet de convaincre ses interlocuteurs.

L’imprévisibilité de Donald Trump

Dès son arrivée à la Maison Blanche, Donald Trump a signé des décrets à la pelle. Les mesures prises ont paru brutales. Les expulsions d’immigrés ont été massives, les fermetures d’organismes non gouvernementaux se sont multipliées. Avec Elon Musk, il a décidé de réduire les dépenses publiques et a licencié de nombreux fonctionnaires. Il a augmenté les droits de douane à un taux jamais égalé. Tous les pays du monde ont été soumis à ce régime. Un bras de fer s’est engagé avec la Chine qui a appliqué la règle de la réciprocité. Il a cependant compris qu’il ne fallait pas aller trop loin même si les États-Unis sont la première puissance du monde. Ses relations avec le Canada se sont envenimées quand il a dit vouloir en faire le 51e État des États-Unis. Au niveau de la politique internationale, il a été très actif. Il a pris langue avec Poutine et espérait le convaincre d’arrêter la guerre avec l’Ukraine. Rien n’y a fait et il a fini par perdre patience. Au Proche-Orient, il n’a pas réussi à empêcher l’aggravation de la situation. Il a joué de son imprévisibilité pour attaquer l’Iran et parvenir à un cessez-le-feu entre Israël et l’Iran. Il est décidé à régler le conflit à Gaza et à y parvenir coûte que coûte. Les Européens ont pris la mesure de son attitude et ont commencé à s’y adapter. Elle peut lui servir tout comme elle peut lui porter préjudice. L’avenir nous le dira.

Patrice RABE

Transfert : Thomas Fontaine rejoint Goal FC en National 2

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Le défenseur international malgache, Thomas Fontaine, a officiellement signé avec Goal FC, club évoluant en National 2 française. Cette arrivée intervient après une période sans contrat, consécutive à son départ de Sochaux. À 34 ans, Fontaine entame une nouvelle étape de sa carrière dans une division qu’il n’avait encore jamais fréquentée. Formé au centre de formation de l’Olympique Lyonnais, le joueur originaire de La Réunion s’est rapidement fait remarquer pour ses qualités défensives. Il a ensuite évolué principalement en Ligue 2, sous les couleurs de clubs reconnus tels que Clermont Foot, AJ Auxerre et FC Lorient, accumulant de l’expérience et du temps de jeu. De retour en France la saison dernière, après deux années passées à l’étranger, Fontaine a opté pour Goal FC afin de relever un nouveau défi. Le club, situé dans la région lyonnaise, affiche des ambitions de montée en National. Toujours engagé avec la sélection nationale malgache, Fontaine reste un élément respecté des Barea.

Manjato Razafy

Football : « Gianni Infantino ne viendra pas à Madagascar », selon le K2HB

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Tanà : Roalahy manao fanamiana polisy manery mandoa vola

Le Komity Hamerina ny Hasin’ny Baolinakitra (K2HB) tire la sonnette d’alarme sur l’état du football malgache. Lors d’une conférence vendredi à Ankadifotsy, son président, Jean Ignace Randrianirina (Ramasy), a dénoncé une « mauvaise gestion » du football malgache. Celin Rakotomalala, membre du K2HB, a ajouté que : « Gianni Infantino, président de la FIFA, ne viendra pas à Madagascar », contredisant l’annonce du président de la FMF, qui affirmait que le patron de la FIFA serait présent pour inaugurer le Centre Technique National (CTN) de Carion, rénové grâce à FIFA Forward et prévu pour septembre. Le numéro Un du ballon rond malgache a réitéré son engagement : « Je ne cesserai de chercher des moyens pour développer et améliorer notre football ».

H.S

Rallye TMF : 30 équipages au départ de la deuxième manche du championnat

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(Crédit : Compte Tour Magazine)
(Crédit : Compte Tour Magazine)

Le 20e Rallye Team Mika Faniry (TMF), comptant pour de la deuxième manche du championnat de Madagascar, a débuté hier et se poursuit ce week-end.

La compétition se déroule autour de la RN4 avec un total de 370,230 km de parcours, dont 130,3 km en douze épreuves spéciales (ES), six d’entre elles étant distinctes. Au total, 30 équipages ont pris le départ d’hier avec l’ES 1 reliant Andriantany à Ambohitromby, suivie de deux passages sur le circuit TMF à Ivato. Déjà vainqueur de la première manche en mai, l’équipage Faniry Rasoamaromaka–Mahenintsoa Randriambololona, au volant d’une Peugeot 208 T16, vise une deuxième victoire consécutive. Face à eux, plusieurs concurrents entendent faire valoir leurs ambitions, à commencer par Daniel Rabetafika et Iando Rakotondravoavy (Subaru N17), deuxièmes lors du Rallye Motul, ainsi que Aro Kiady et Fanja Rajemison (Subaru NF), classés troisièmes. Certains équipages espèrent faire oublier leurs faux pas initiaux. Mathieu Andrianjafy, surnommé « l’Enfant terrible » et champion de Madagascar en titre, revient en piste avec son ancien Subaru et un nouveau copilote, Herii Possible, après un abandon mécanique lors de la première manche. Mika Rasoamaromaka (Mitsubishi Evo X), également contraint à l’abandon en mai, fait équipe avec Fafah pour retrouver le podium. D’autres, comme Ndrianja et Aina (Subaru NF), se positionnent aussi pour créer la surprise. La course se poursuit ce jour avec cinq ES prévues, dont trois inédites. Enfin, la dernière journée de demain se conclura par quatre épreuves, dont deux nouvelles. Avec six manches inscrites au calendrier du championnat national, cette deuxième étape représente une phase décisive dans la lutte pour le titre.

Manjato Razafy

Afrobasket 2025 – Préparation : Les Ankoay affrontent l’équipe de Mil Yon ce jour

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En pleine préparation sur le sol français pour l’Afrobasket 2025 qui se tiendra en Angola, les Ankoay s’apprêtent à disputer, ce jour, le second match test. Ce samedi 12 juillet, les protégés du nouveau sélectionneur, John Douaglin, affrontent l’équipe de Mil Yon au Complexe sportif Gilles Boutin à Cormeilles-en-Parisis, en région parisienne. Le match du jour contre une sélection locale francilienne, s’inscrit dans une série de rencontres amicales visant à évaluer le travail tactique et physique mis en place depuis le début du stage. Hier, les Ankoay ont eu déjà une première mise en jambes face à la « Team Paris ». Ces confrontations permettent au staff technique d’observer les joueurs en situation de jeu, de tester différentes combinaisons et d’ajuster les systèmes de jeu. Pour les joueurs, c’est l’occasion de se mesurer à des adversaires combatifs et de gagner en rythme avant les échéances plus relevées qui les attendent. Arrivée en France le 7 juillet pour un stage intensif qui se prolongera jusqu’au 25 juillet, la sélection malgache peaufine sa stratégie et sa cohésion d’équipe en vue du championnat d’Afrique. Ce camp d’entraînement en France, qui sera suivi d’un second en Espagne, est essentiel pour permettre aux joueurs évoluant à Madagascar et à l’étranger de trouver leurs automatismes sous la houlette du nouveau coach.

T.H

Motocross – MX de Bras-Panon : L’Acad’Mx Racing Team, entre apprentissage et détermination

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L’Acad’Mx Racing Team a marqué de son empreinte le mythique MX de Bras-Panon, à La Réunion, le week-end des 5 et 6 juillet 2025. Avec Sincère Leung Yen, Mathyas Ram et Mathias Plantive, l’équipe a livré des performances pleines de promesses, mêlant expérience, résilience et apprentissage face à une concurrence relevée. Sincère Leung Yen, habitué des pistes réunionnaises, a montré de belles choses dans la catégorie Junior. En signant une solide 3e place lors de la première manche, il semblait bien parti pour viser le podium. Malheureusement, une chute dans la seconde manche l’a relégué à la 4e position, lui offrant une 4e place au général. « Une légère déception pour lui, mais aussi une étape cruciale dans son apprentissage », a commenté Mathias Plantive, leader de l’équipe. « Ce genre de course, parfois frustrante, reste essentielle pour construire la suite : accepter, digérer, rebondir plus fort ». Pour Mathyas Ram, jeune talent en catégorie 65cc, le MX de Bras-Panon a été un véritable test de caractère. Très tendu avant la course, il a dû batailler autant contre ses nerfs que contre ses adversaires. « Les essais et la première manche ont été difficiles, mais il a su se libérer en seconde manche, avec une prestation nettement plus engagée », a souligné Mathias Plantive. Dans la catégorie reine, Mathias Plantive a fait preuve d’une belle régularité. Avec un 6e temps aux essais chronométrés, il a enchaîné trois manches solides, terminant à chaque fois 5e. « C’était fluide, mais il reste un cap à franchir pour se rapprocher du trio de tête », a-t-il analysé. Conscient du travail à fournir, Mathias ne manque pas de détermination : « Cela demandera du temps, de l’énergie et des heures sur la moto, mais la motivation est là ». Pour l’Acad’Mx Racing Team, ce MX de Bras-Panon aura été riche en enseignement.

Heriniaina Samson

Classement FIFA : Madagascar maintient sa 115e position

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Madagascar stagne à la 115e position de la dernière mise à jour du classement FIFA.
Madagascar stagne à la 115e position de la dernière mise à jour du classement FIFA.

Madagascar conserve sa 115e place au classement mondial de la FIFA, selon la dernière mise à jour publiée le 10 juillet 2025. Les récents matchs disputés par les Barea lors de la dernière fenêtre internationale de la FIFA n’ont pas modifié leur position.

En effet, la défaite de l’équipe A en amical face à la République démocratique du Congo (RDC) et la quatrième place obtenue par les Barea A’ lors de la COSAFA Cup 2025 n’ont pas eu d’impact significatif sur le classement mondial de la FIFA, selon la dernière mise à jour. Du côté des compétitions continentales, l’équipe locale de Madagascar, les Barea A’, a décroché une qualification méritée pour la phase finale du Championnat d’Afrique des Nations (CHAN) 2024, qui se tiendra en août au Kenya, en Ouganda et en Tanzanie. Placée dans le groupe B, Madagascar affrontera des adversaires redoutables : la Tanzanie (hôte), la Mauritanie, le Burkina Faso et la République centrafricaine. Cette qualification marque une étape importante pour le football malgache, le CHAN étant une vitrine pour les talents locaux évoluant dans le championnat national.

En parallèle, l’équipe nationale A des Barea se prépare pour des échéances cruciales dans les éliminatoires de la Coupe du Monde 2026. Lors des 7e et 8e journées, prévues en septembre 2025, Madagascar accueillera la République centrafricaine et le Tchad. Ces rencontres, disputées à domicile, pourraient être déterminantes pour la suite de la campagne de qualification. Actuellement dans le groupe I, Madagascar a montré des signes encourageants, et est également toujours dans la course.

Heriniaina Samson

VBG : Une femme « lesbienne » violentée par son mari

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Tanà : Roalahy manao fanamiana polisy manery mandoa vola

A.V.R est une mère de famille. Elle a eu deux enfants avec son compagnon qui est considéré comme son mari au regard du droit coutumier et aux yeux de la société. Elle a fait une fausse couche après avoir subi des violences conjugales de la part de celui avec qui elle partage sa vie. Et ce, après qu’elle aurait avoué à ce dernier, avoir une attirance envers une personne de son propre genre. En d’autres termes, elle serait « homosexuelle ou lesbienne » mais non moins victime.

Caractéristiques

«  Elle est victime d’outrage sexiste et de Violence Basée sur le Genre (VBG) prévus par la loi 2019-008 », selon une haute responsable de la Police. En expliquant que « les caractéristiques d’une VBG sont la persistance et la répétition des faits dans une relation de couple ou relation conjugale ». Et de faire savoir que « la victime peut saisir la Brigade Féminine de Proximité (BFP) pour un rappel dans le cadre de la loi à l’endroit de l’auteur de la VBG ou déposer une plainte auprès de la Police des Mœurs et de Protection des Mineurs (PMPM) voire faire carrément une plainte à parquet ».

Maltraitance d’enfant

Dans le cas d’espèce, la victime a porté plainte devant la Gendarmerie contre son compagnon qui aurait, de surcroît, tenté de kidnapper leur petit garçon âgé d’à peine un an et menacé de tuer la jeune femme. « L’homme pourrait être également poursuivi pour maltraitance d’enfant si les VBG se font en sa présence », ajoute la haute gradée de la Police. En faisant remarquer qu’on est en présence d’une relation d’agresseur et agressée.

R.O

CSI : « La loi actuelle entrave la lutte contre la corruption électorale »

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Tanà : Roalahy manao fanamiana polisy manery mandoa vola

À l’instar d’autres pays africains, Madagascar a célébré hier la Journée africaine de Lutte contre la corruption (JALCC) à travers ses structures nationales de lutte contre la corruption, notamment le Système anti-corruption  (SAC). L’événement s’est déroulé sous le thème de la promotion de la dignité humaine dans la lutte contre la corruption. Lors des débats qui ont marqué cette célébration, plusieurs intervenants ont attiré l’attention sur l’importance d’ancrer les valeurs humaines au cœur des stratégies anti-corruption. Une intervention en particulier a retenu l’attention : celle du président du CSI ou  Comité pour la Sauvegarde de l’Intégrité  qui a mis en lumière les lacunes du cadre légal en matière de lutte contre la corruption électorale.

Selon ses explications, la législation en vigueur constitue un véritable frein à la lutte contre les pratiques de corruption durant les périodes électorales. « Si les citoyens considèrent que la fraude électorale et la distribution d’argent avant le scrutin font partie des formes de corruption, force est de constater qu’aucune disposition légale ne le stipule clairement à l’heure actuelle », a-t-il déclaré. En conséquence, les organes de lutte contre la corruption se trouvent dans l’incapacité de poursuivre les auteurs de tels actes, même s’ils sont candidats à une élection. Ces comportements sont encore juridiquement classés comme de simples infractions, et non comme des actes de corruption à proprement parler. Face à cette situation, nombreux sont ceux qui réclament une réforme des textes existants et une gouvernance plus transparente afin de prévenir les effets néfastes de la corruption électorale sur la vie des citoyens. Une telle initiative serait un pas important vers une démocratie plus saine et plus équitable.

Julien R.

MSA : Un nouveau centre de formation professionnelle à Andakana

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La MSA a été inaugurée hier à Andakana.
La MSA a été inaugurée hier à Andakana.

« Former l’élite de demain », tel est l’objectif que s’est fixé le Groupe Sodiat avec la création de la Madagascar Security Academy (MSA), officiellement inaugurée hier à Andakana.

Ce centre de formation d’envergure, initié par le président directeur général du Groupe SODIAT, Maminiaina Ravatomanga, vient enrichir le paysage de la formation professionnelle à Madagascar. Il se spécialise dans les secteurs clés tels que la sécurité privée, la sûreté aéroportuaire, l’hôtellerie et le management de luxe, le secteur vétérinaire et le travail canin. La cérémonie d’ouverture a été marquée par deux temps forts : une visite guidée du site le matin, suivie d’une journée portes ouvertes l’après-midi, en présence de plusieurs autorités dont des députés, sénateurs et anciens ministres.

Un projet « Vita Malagasy »

Lors de son discours, Bruno Lemasson, représentant de la Madagascar Security Academy, a déclaré que « la MSA n’est pas qu’un simple centre de formation, mais un véritable lieu de transmission, de transformation et d’excellence. » Il a souligné que chaque module intègre la technique, la législation, la psychologie et l’éthique, dans une approche pédagogique innovante visant à former des professionnels compétents, responsables et ambitieux. Il a aussi affirmé que  laMSA est unprojet « vita malagasy »  né d’une vision forte, visant à hisser la compétence locale à un niveau international.  Il a remercié tous les partenaires, techniciens, formateurs et collaborateurs ayant contribué à concrétiser cette initiative. La Madagascar Security Academy s’impose ainsi comme « une réponse concrète aux défis de formation à Madagascar, avec une ambition claire afin de valoriser les métiers porteurs, structurer les filières d’avenir et bâtir une génération de professionnels d’excellence », a-t-il conclu.

Infrastructures modernes

La MSA dispose d’infrastructures modernes notamment d’un amphithéâtre de 274 places, d’une clinique vétérinaire intégrée, de simulateurs aéroportuaires, d’un stand de tir, d’une piscine semi-olympique, d’un terrain de golf, ainsi que de restaurants d’application dirigés par le chef Toky, figure de proue de la gastronomie malgache. Son département cynotechnique regroupe plus de 60 chiens spécialisés, encadrés par 49 agents formés. Interrogée sur les garanties de qualité, Erika Ranarivony, responsable communication du Groupe SODIAT, répond  « chaque certificat délivré par la MSA est sécurisé par un QR code  et un identifiant unique, assurant traçabilité et reconnaissance internationale, ».  Elle a également indiqué que les formations sont accessibles aux entreprises comme aux particuliers, avec des tarifs dégressifs selon le nombre de stagiaires, et une inscription en ligne facilitée.

Nadia R.