- Publicité SW45 -
mercredi, mars 12, 2025
Accueil Blog Page 9944

Ils ont dit

0

Herilanto Randriamanalina dit Bomba, entraîneur malgache : « Les deux jours de repos ont affecté le jeu des joueurs. Au troisième quart-temps, la défense était très molle et ils ont eu beaucoup de précipitations et de maladresses, mais, ils ont su rattraper au money-time ».

Dr Jean Anicet Andriamosarisoa, ministre de la Jeunesse et des Sports : « Je suis entièrement reconnaissant envers les efforts que nos joueurs ont déployé tout au long de ces éliminatoires. Je tiens aussi à féliciter les supporteurs malgaches qui étaient là à tous moments pour soutenir notre équipe. J’encourage et souhaite beaucoup de succès aux joueurs pour les quarts de finale. L’Etat malagasy et le peuple malagasy sont derrière vous jusqu’au bout ».

Rosa Rakotozafy, Directeur du Sport Fédéral : «  Le suspense était au rendez-vous jusqu’à la dernière seconde. Ils ont su réveiller au bon moment. Les résultats sont jusqu’ici satisfaisants, mais il faut qu’on règle les petits problèmes de concentration. Je félicite les supporteurs pour leur venue massive et espère cette mobilisation dans toutes les disciplines. Pour les quarts de finale, je suis très confiante et nos joueurs ont la chance et la technique d’arriver en finale. ».

T.H

FIER Mada : Prochaine étape, les visiteurs internationaux

0
FIER Mada a connu une bonne affluence dès sa première journée.
FIER Mada a connu une bonne affluence dès sa première journée.
FIER Mada a connu une bonne affluence dès sa première journée.

Le Premier ministre Kolo Roger a procédé hier à l’inauguration de FIER MADA dans l’enceinte du Collège Saint-Michel

Miel, fromage, dinde, poisson, manioc, maïs, fruits en tout genre, légumes….Ce ne sont pas les produits agricoles qui manquent à la Foire Internationale de l’Economie Rurale quoi a débuté hier au Collège Saint-Michel Amparibe. Au grand bonheur des visiteurs qui ont, à travers FIER MADA de découvrir la qualité des produits de l’agriculture, mais aussi de l’artisanat malgache.

Bonne qualité. « Les consommateurs de la Capitale reconnaissent actuellement la bonne qualité et le prix attractif des produits malgaches » a d’ailleurs reconnu Jacques Ramanantsoa, le Président de FIER Mada. Une affirmation confirmée par la présence massive des visiteurs dès la première journée de la manifestation, hier. Un public qui a également pu découvrir l’ingéniosité des créateurs malgaches. Pour ne citer que ce fabricant de réchaud à gaz, fonctionnant avec des copeaux de bois, très économique, ou encore les petits matériels agricoles bon marché. En tout cas, le public a le choix entre une multitude de produits agricoles. Au total FIER MADA 2014 compte 180 stands occupés en grande partie par des professionnels de l’économie rurale qui comptent tirer profit de cette manifestation de plus en plus prisée par les Tananariviens.

Visiteurs internationaux. Mais les organisateurs ne comptent pas se contenter du public local. D’après le Président de FIER MADA, les participants souhaitent de plus en plus la venue des visiteurs internationaux. Une manière en somme de chercher à percer sur les marchés régional et international. « Notre objectif est de faire connaître aux visiteurs internationaux, cette bonne qualité des produits agricoles et artisanaux malgaches » selon toujours Jacques Ramanantsoa. Mais ce souci de percer sur le marché international s’explique aussi par le souhait des acteurs de l’économie rurale de se faire un peu plus d’argent à travers l’exportation. En effet, sur le marché local, les producteurs se plaignent notamment de la tromperie dont font preuve certains intervenants du flux des produits agricoles. Les intermédiaires notamment ont toujours cette tendance à acheter à un prix de misère auprès des producteurs ; portant ainsi préjudices aux agriculteurs qui, parfois sont complètement désarmés, face à ces mauvaises pratiques. En somme, il est plus que jamais, temps de mettre en place un commerce équitable où les intervenants doivent se soucier d’avantage des intérêts des paysans producteurs qui sont à la base du système.

R.Edmond

Aires protégées : Une cogestion durable pour leur conservation

0

Les communautés riveraines s’impliquent dans la gestion de parc à tout en bénéficiant des sous-projets servant à améliorer leurs conditions de vie.

Madagascar National Parks a initié la mise en œuvre d’un projet d’accompagnement des communautés riveraines des 28 aires protégées réparties dans toute l’île. L’objectif consiste à mettre en place une gouvernance participative pérenne des ressources naturelles à l’intérieur et autour de ces parcs avec les groupements des communautés locales. Ces dernières bénéficient en contrepartie un financement de sous-projets de développement servant à améliorer les conditions socio-économiques locales. Il s’agit notamment d’une cogestion durable entre le MNP et les communautés riveraines pour une meilleure conservation de ces aires protégées.

Activités de conservation. Pour le cas du parc national de l’Isalo, le MNP qui est le maître d’œuvre du projet d’accompagnement des communautés riveraines a confié sa mise en œuvre au Cabinet BIODEV Consulting. Notons que ce projet est financé par la Banque Mondiale dans le cadre du financement additionnel du PE III. « En premier lieu, nous avons restructuré et formé les comités locaux du parc, issus de tous les « fokontany » dans la zone périphérique de l’aire protégée en matière de cogestion. Le but est de les intégrer aux activités de conservation et de gestion du parc dans le dessein de freiner les diverses pressions anthropiques sur les ressources naturelles, entre autres », a expliqué Aimé Andriarimanana Rasamison, le directeur de BIODEV lors d’une conférence de presse hier. Ainsi, les populations riveraines assurent la mise en place des pare-feux, participent à la lutte contre les feux de brousse et effectuent les patrouilles systématiques à l’intérieur du parc avec les agents du MNP.

Sous-projets. Par contre, de nombreux sous-projets identifiés de manière participative avec ces comités locaux du parc seront mis en œuvre au profit de ces communautés riveraines. Il s’agit, entre autres, des activités génératrices de revenu comme l’élevage porcin avec la construction de porcherie et une dotation de broyeur, de la construction d’un barrage hydro-agricole pour améliorer la production rizicole et développer les cultures maraîchères et de la construction d’un gîte d’étape. La réhabilitation des infrastructures scolaire la dotation de matériels et intrants agricoles, voire-même de motoculteur pour une extension des activités agricoles et l’équipement du logement des gendarmes sont également demandés par les communautés riveraines bénéficiaires. « Le financement de ces sous-projets constituent une mesure de compensation pour les communautés riveraines afin qu’elles ne détruisent plus les aires protégées, pour leur survie. Certaines d’entre elles ont été même évacuées du parc car elles y résidaient avant. BIODEV n’est autre que le maître d’ouvrage de ce projet. Après son départ, les agents du MNP assurent le suivi-évaluation de la pérennisation des activités de ces communautés riveraines bénéficiaires », a conclu Aro Rajaonarivo, directeur du parc national de l’Isalo. Par ailleurs, une ceinture verte autour du parc a été mise en place dans le cadre de ce projet d’accompagnement des communautés riveraines du parc afin de créer des sites de transfert de gestion des ressources naturelles à leur profit.

Navalona R.

Antsirabe : Fiara avy nitondra mpiteraka, notifirin’ny FIP

0

Fiara Sprinter iray avy nitondra olona hiteraka no voatifitry ny polisin’ny FIP  omaly alarobia hariva tokony ho tamin’ny valo ora alina tao Tsivatrinikamo.

Nirefotra  ny basy kalachnikov omaly alina tao Tsivatrinikamo, indroa ny fipoahana raha ny nambaran’ilay lehilahy niantefan’ny bala. Toy izao ny fitantaran’ilay lehilahy niharam-boina. Tokony ho tamin’ny 8 ora alina, nitondra ny anabaviny handeha  hiteraka izy, efa maika fa  aina no hovonjena ka nandrehitra ny jiro famantarana  « détresse » . Rehefa nandalo teo amin’ny sakana fisavana  fanaon’ny mpitandro filaminana  anefa ity fiara  dia tsy nijanona na dia nosakanana aza fa maika hamonjy ny hopitaly. Niverina ilay fiara Sprinter  avy eo ka nijanona teo amin’ilay polisy misy ny sakana. Nanazava ny antony tsy nijanonany  ilay mpamily. Samy niaka-peo ny roa tonta ka teo am-pamelomana ny fiara handeha  ilay mpamily  no avy hatrany dia namahana ny basy teny an-tanany ilay polisy  ka nitifitra ny kodiarana, nivily anefa ny bala. Rehefa tafatsoaka ilay fiara dia mbola nitifitra ihany ilay polisy ka teo am-baravarana aorian’ilay fiara  ny bala no niditra, namakivaky ny fiara ary niantefa tamin’ilay lehilahy teo anilan’ilay mpamily. Soa aloha fa tsy nahakasika ny vatany ny bala fa nandalo teo amin’ny tongony ka nandratra ny feny. Vokatry ny ratra nahazo azy dia mbola tazomina ao amin’ny hopitaly CHRR ity lehilahy ity tsaboina, tsy atahorana ny ainy. Nilaza kosa ny teo anivon’ny mpitandro filaminana fa mbola   ao anatin’ny fanadihadiana tanteraka amin’izao fotoana. Tantara mitohy noho izany ity raharaha ity ka samy miandry izay ho tohony ny mpanara-baovao rehetra.

Andry N.

Tanjombato : Mpivarotra rongony maromaro voasambotra

0

Manao sesilany ny olona voasambotra noho ny fivarotana rongony eto an-drenivohitra. Ny talata teo dia nahatratra olona efatra ny pôlisy. Teny Tanjombato Ankaraobato, ary amoron-dàlana fa tsy mba tany amin’ny elakelan-trano akory no mivarotra ireo olon-dratsy. Isan’ny voasambotra tao anatin’izany ny lehilahy antsoina hoe Ramiaramila, 49 taona. Rongony efa anaty fonosana miisa 20 ary rarany 200 girama, saika hamidy, no sarona teny aminy. Tsy ireo mpivarotra ihany fa mbola nisy hafa, mpanjifa, ihany koa nosamborina. Nambaran-dRamiaramila fa amidiny 500 ariary ny fonosana iray. Izany hoe vidiany 10.000 ariary ny iray sachet, eny Namontana, ary amidiny amin’ny antsinjarany avy eo. Efa herintaona izy no nanao io asa fivarotana zava-mahadomelina io. Ankoatra izay dia nisy lehilahy iray hafa koa tra-tehaky ny pôlisy teny Ambodivona omaly, teo am-pivarotana rongony hatrany. Nahitana rongony 45 fonosana lehibe tany aminy ary niaiky izy fa io no asa fivelomany. Avy any Mahajanga ny mpamatsy azy ary efa efa ho telo volana izy no nanao ity asaratsy ity.

D.R

Tennis / Tournoi des princes : Va pour les phases finales

0
Les deux cousines Christina et Maholy chez les moins de 10 ans actuellement.
Les deux cousines Christina et Maholy chez les moins de 10 ans actuellement.
Les deux cousines Christina et Maholy chez les moins de 10 ans actuellement.

Du 4 au 10 août, le tennis club de l’ACSA accueille une centaine d’enfants pour la 14e édition du tournoi des princes. Un détour s’impose pour les quarts de finale qui commencent ce jour.

Les courts de l’ACSA étaient déjà vides hier vers 16h, signes que les enfants ont presque tous terminé les phases éliminatoires de cette 14e tournoi des Princes. Ce jour à partir de 9h30, les quarts de finale seront programmés. Les éliminatoires ont été probants pour Vahia Rabarijaona par exemple en U14 après un 6/1, 6/3 devant Tiavina ou un 6/0, 6/0 avec Faniry et Haritsiky. Il en est de même chez les petites de moins de 10 ans avec Kristina Rakotobe, auteure d’un 5/0, 5/2 face à Mihatafita et d’un 5/0, 5/0 avec Miangaly. Chez les moins de 12 ans, Maholy Razakaniana a bataillé dur pour sa place en faisant un dur match contre Vanila en 7/5, 7/6. La veille, elle a fait 7/5, 6/0 contre Soa dans leur poule. Pour les moins de 16 ans garçons, Cédric Ravoson a dû s’incliner devant Itokiana en 4/6, 1/6. Cédric a produit un jeu d’attaque et très agressif, mais la régularité de son adversaire a pris le dessus. «J’étais trop sûr de moi que j’ai accumulé les fautes » a-t-il déclaré. En général, cette compétition donne un aperçu de ce que sera les sommets nationaux des jeunes dans un mois. Les prestations de chaque entraîneur seront restées sur terrain ainsi que l’assiduité et l’application des joueurs en entraînement. D’ailleurs, c’est clair, en tennis, sans entraînement, il ne faut pas rêver de résultats.

Anny Andrianaivonirina

Matthieu Mace : « Telma aide à trouver des modèles pour les jeunes malgaches « 

0

Entre les matches de basket-ball au Palais des Sports, le Directeur Général Adjoint Commercial, Matthieu Mace, s’est livré à une pette interview pour faire part de sa satisfaction sur le déroulement de l’Afrobasket mais aussi sur autre chose. Récit.

Midi Madagasikara : Qu’est-ce qui a motivé le groupe Telma à rempiler pour une quatrième édition de l’Afrobasket ?

Matthieu Mace : « Quand le président du FIBA Afrique est arrivé, il a tout de suite demandé si Telma est là. En clair, il s’agit d’une marque confiance qui nous honore et cela nous incite à investir davantage ».

Midi : Peut-on savoir dans quel domaine Telma est intervenu pour cette année ?

Matthieu Mace : « Cette année et puisque notre devise est « la victoire est en nous », nous sommes intervenus même dans la préparation de l’équipe. L’objectif est d’avoir des conditions optimales pour arriver au but fixé qui est la victoire. Pour le moment on savoure l’instant présent car derrière, il y a cette satisfaction d’avoir pu créer un événement, un très grand de surcroît, pour le peuple malgache en général et les férus de basket-ball en particulier. Je suis personnellement satisfait du système de billeterie par M’Vola car le procédé a marché au grand bonheur du public. »

Midi : Pensez-vous que nos gars iront jusqu’au bout ?

Matthieu Mace : « C’est ce qu’on espère tous. Ceci dit, je me rallie aux propos de l’entraîneur qui dit que Madagascar a toutes les chances dans la mesure où ses adversaires jouent contre 5 joueurs et 5000 personnes. »

Propos recueillis par Clément RABARY

Assainissement : Un changement de comportement difficile malgré les sensibilisations

0
La prise de responsabilité de l’Etat a été fortement recommandée pour que les travaux d’assainissement puissent être perénnisés.
La prise de responsabilité de l’Etat a été fortement recommandée pour que les travaux d’assainissement puissent être perénnisés.
La prise de responsabilité de l’Etat a été fortement recommandée pour que les travaux d’assainissement puissent être perénnisés.

Les travaux d’assainissement relatifs au curage des canaux de drainage de la capitale continuent bien que les résultats soient pour certains, peu remarquables.

Jusqu’à maintenant, 85 000 m 3 de déchets ont pu être enlevés depuis le début de la campagne de curage d’urgence du canal Andriantany, du C3, du Génie Rural, et des 98 ha de bassin, qui a commencé vers la fin de l’année dernière, financée par l’Union européenne, à hauteur de 3,3 milliards d’Ariary. Ce qui équivaut, selon les explications à 85 000 m3 d’inondation évitée, selon l’Ong Lalana (chargé du suivi de l’effectivité des travaux et la mise en place d’actions de communication et de sensibilisation auprès des autorités locales et des usagers des canaux afin de pérenniser les résultats des travaux). En outre, selon toujours les explications, les camions transporteurs de déchets ont pu effectuer 2291 voyages. Ces quelques détails sont cités pour montrer que les travaux connaissent quand même un avancement, malgré les critiques de certains observateurs. En effet, l’APIPA ou l’Autorité pour la Protection contre les Inondations de la Plaine d’Antananarivo, est chargé du nettoyage (phase I) et du curage à fond (phase II) de ces trois canaux de drainage. Celle-ci entame la phase II à l’heure actuelle. La situation est un peu pareille pour le SAMVA (Service Autonome de Maintenance de la Ville d’Antananarivo), l’un des exécuteurs du projet, malgré ses quelques retards.

Des causes multiples. En fait, le délai d’exécution des travaux a été estimé à 10 mois, depuis la fin de l’année dernière. De ce fait, normalement, celui-ci devrait maintenant être sur le point de s’achever. Ce qui fait qu’aucun déchet flottant ne devrai plus être visible sur tous ces canaux et sur les 98 ha de bassins ciblés, à l’heure actuelle. Ce qui n’est pas vraiment le cas. Les causes en sont multiples, entre autres, l’entêtement de certains usagers à y jeter leurs déchets quotidiens, selon les explications émanant de l’Ong Lalana. « Malgré nos efforts, un changement total de comportement des habitants des bas quartiers demeure cependant difficile à acquérir. Ces derniers sont quand même conscients du fait que les canaux ne sont pas déstinés pour les ordures mais pour les eaux, et il semble qu’il leur est difficile d’arrêter leurs mauvaises habitudes, en particulier les commerçants informels. Et il y en a qui jettent leurs fautes sur les passants», a confié Jessé Randrianarisoa, Chef dudit projet. Pendant tout ce temps, cette entité a déjà effectué de nombreuses études concernant ce sujet. Ce qui lui a également permis de constater que la pauvreté dans laquelle vivent les riverains peut en être l’une des causes. «Outre leur mentalité, cela peut être aussi la condition dans laquelle ils vivent, qui leur obligent à faire», poursuit-on.

Une sensibilisation renforcée. Quoi qu’il en soit, les travaux continuent et ne pourront s’achever que vers octobre, a-t-on dit. Mais les sensibilisations ne vont pas s’arrêter pour cet Ong. «Malgré tous ces obstacles, nous n’allons pas nous décourager», poursuit Jéssé R. Ainsi, l’on rassure que la sensibilisation va être intensifiée vers les cibles plus spécifiques, à savoir: les commerçants informels, les balayeurs de rues de la CUA et les agents de curage du SAMVA. Ce, afin d’éviter les dysfonctionnements de communication qui ont, à certains moments, empêché une coordination sérieuse entre les différents acteurs de l’assainissement. «Pour preuve, certains chefs de fokontany nous ont confié qu’ils ont eu du mal à trouver la ou les personnes à qui s’adresser quand ils veulent exprimer leurs souhaits, tout en n’arrivant pas non plus à maîtriser leurs subordonnés, faute de techniques de communication efficace», a-t-on expliqué. Dans cette optique, une série de formations sur le plaidoyer a été octroyée aux acteurs directs ou indirects de l’assainissement, les 19 et 20 juin derniers. En d’autres termes, tous les présidents de « fokontany », les chefs d’établissements scolaires, et les présidents des RF2 « Rafitra Fikojana ny Rano, Fidiovana sy Fanadiovana » longeant les canaux de drainage et les bassins ont bénéficié d’une formation de renforcement de capacité. Dans cette même visée, ils vont également faire l’objet d’un suivi formatif qui leur permettra de mieux appliquer les acquis. Bref, il a été clair que c’était une aide d’urgence par les bailleurs de fonds, afin d’éviter les risques d’inondation. Mais après, d’ailleurs c’est selon les recommandations, l’Etat devrait enfin mettre en place une stratégie pouvant aider à pérenniser les activités liées à l’assainissement dans le pays.

Arnaud R.

Classement

0

Poule A

1er Madagascar (6 points).

2e Mali (5 points).

3e Mozambique (4 points).

4e Bénin (3 points).

Poule B

1er Egypte (7 points).

2e Tunisie (7 points).

3e Côte d’Ivoire (6 points).

4e Angola (6 points).

5e Gabon (4 points).